RĂ©dactionAffaires de Gars 04/09/2015. Angelina Jolie est l’actrice prĂ©fĂ©rĂ©e de bien des gars! Elle est sĂ©duisante, talentueuse et cumule plein de rĂŽles mĂ©morables. rĂ©cemment tombĂ© sur une vidĂ©o d’elle dans un cours d’acteurs datant de 2000. "Bah Ă©coute, dĂ©jĂ , lÂŽauteur, peut ĂȘtre que pas tout le modne le connaissait, et dans ce cas"Dans le cas oĂč qqun ne connaissait pas lÂŽauteur tu pouvais te permettre de te prononcer sur la phrase et dire "JÂŽai Ă  dire que de toute façon, imagination ou pas, les hommes prĂ©fĂšrent une jolie femme rĂ©elle que celle quÂŽils visionnent dans leur imagination pendant quÂŽils en bais*nt une autre"... TÂŽes bizarre, toi Autrement, M. Proust fait lÂŽĂ©loge de la femme et toi tÂŽessaies de le dĂ©monter!?... DÂŽautant plus jÂŽcrois que lÂŽessentiel Ă  saisir, cÂŽest quÂŽun homme qui Ă  un minimum dÂŽimagination trouve toutes les femmes jolies; et que ceux qui nÂŽen ont pas peuvent se rabattre que sur celles qui "ont des grosses miches" par exemple. Celles qui ne sont pas naturels, boostĂ©e aux "Flash", ... qui attirent lÂŽ oui dĂ©jĂ  plus satisfait.
Laissonsle choix au Hasard, cet homme de paille de Dieu. Marguerite Yourcenar . Laissons l'amour de Dieu à nos poÚmes et cachons-le sous notre prose : c'est une façon de le respecter que de le chanter ou de le taire. Max Jacob. Laissons les jolies femmes aux hommes sans imagination. Marcel Proust. 11 Dieu apparaßt autant que nous le laissons transparaßtre. Il est
-*`*-..-*`*-. `.,ÂŻ`.'ÂŻ .-LES COEURS DE L' `.,ÂŻ`.'ÂŻ *`*-COUCOU. `.,ÂŻ`.'ÂŻ .-*`*TOI-. .-*`*-.*`*-. `.,ÂŻ`.'ÂŻ .-*`*-. .-*`*-. .-*`*-.ÂŻ`.'ÂŻ '.-*`*-. .-*`*-.*`*-. `.,ÂŻ`.'ÂŻ .-*`*-. .-*`*-. .-*`*-.ÂŻ`.'ÂŻ '.-*`*-. .-*`*-.*`*-. `.,ÂŻ`.'ÂŻ .-*`*-. .-*`*-..-*`*-..-*`*-. `. *....-*`*-.ÂŻ`.'ÂŻ ' .-*`*-..-*`*-. `.,ÂŻ`.'ÂŻ .PASSE-*`*-. .-*`*TE-. `.,ÂŻ`.'ÂŻ .-*`*-. .-*`*-. `.,ÂŻ`.'ÂŻ .-*`*-. .-*`*.-*`*-..-*`*-. `.,ÂŻ`.'ÂŻ .-*`*- ...*`*-. `.,ÂŻ`.'ÂŻ .-*`*-. .-*`*SOUHAITER-..-*`*-.ÂŻ`.'ÂŻ '.-*`*-. .-*`*-..-*`*UNE-. `.,ÂŻ`.'ÂŻ .-*`*-. .- *`*-. `.,ÂŻ`.'ÂŻ .-*`*-. .-*`*-..-*`*-.ÂŻ`.'ÂŻ '.-*`*-. .-*`*-..-*`*-. `.,ÂŻ`.'ÂŻ .-*`*-. .- *`*-BELLE. `.,ÂŻ`.'ÂŻ .-*`*-. .-*`*-..-*`*ET-.ÂŻ`.'ÂŻ '.-*`*-TRES. .-*`*-..-*`*-. `.,ÂŻ`.'ÂŻ .-*`*-. .-*`* *`*-. `.,ÂŻ`.'ÂŻ .-*`*-. .-*`*-..-*`*-.ÂŻ`.'ÂŻ '.-*`*-. .-*`*BONNE-..-*`*-. `.,ÂŻ`.'ÂŻ .-*`*-. .* ..***`*JOURNEE-. `.,ÂŻ`.'ÂŻ .-*`*-. .-*`*-..-*`*-.ÂŻ`.'ÂŻ '.-*`*-. .-*`*-..-*`*-. `.,ÂŻ`.'ÂŻ .-*`*-. .-*`* *`*-. `.,ÂŻ`.'ÂŻ .-*`*-. .-*`*-DES..-*`*-.ÂŻ`.'ÂŻ '.-*`*-MILLIERS. .-*`*-..-*`*-. `.,ÂŻ`.'ÂŻ .-*`*-. .-*`* .-*`*-..-*`*-. `.,ÂŻ`.'ÂŻ .-*`*-. .-*`*.-*`*-..-*`*-. `.,ÂŻ`.'ÂŻ .-*`*-. .-*`* .-*`*DE-..-*`*-. `.,ÂŻ`.'ÂŻ .-*`*GROS -. .-*`*.-*`*-..-*`*BISOUS-. `.,ÂŻ`.'ÂŻ .-*`*-. .-*`* .-*`*-..-*`*-. `.,ÂŻ`.'ÂŻ .-*`*-. .-*`*.-*`*-..-*`*-. `.,ÂŻ`.'ÂŻ .-*`*-. .-*`* .-*`*-..-*`*DE-. `.,ÂŻ`.'ÂŻ .-*`*-TON. .-*`*.-*`*-..-*`*AMIE-. `.,ÂŻ`.'ÂŻ .-*`*-. .-*`*.-*`* `.,ÂŻ`.'ÂŻ
Laissonsles jolies femmes aux hommes sans imagination ! Citation de Marcel Proust sur Femmes Une citation au hasard ? >> Laissons les jolies femmes aux CITATION SUR LES FEMMES [7] Citation femmes Le 16-06-2012 Laissons les jolies femmes aux hommes sans imagination. DES CITATIONS AU HASARD QUE VOUS POURRIEZ AIMER Si l'on devait vivre Ă©ternellement, tout deviendrait monotone. C'est l'idĂ©e de la mort qui nous talonne. C'est la hantise et le dĂ©sir de l'homme de laisser une trace indĂ©lĂ©bile de son Ă©phĂ©mĂšre passage sur cette terre qui donnent naissance Ă  l'art. Celui qui ne peut plus Ă©prouver ni Ă©tonnement ni surprise est pour ainsi dire mort; ses yeux sont Ă©teints. Les hommes ne sont convaincus de vos raisons, de votre sincĂ©ritĂ© et de la gravitĂ© de vos peines, que par votre mort. Tant que vous ĂȘtes en vie, votre cas est douteux, vous n'avez droit qu'Ă  leur scepticisme. Si tu veux pouvoir supporter la vie, sois prĂȘt Ă  accepter la mort ! Si mon enfant Ă©tait atteint d'une atroce souffrance, et qu'il n'existait aucun remĂšde pour allĂ©ger sa douleur, je considĂ©rerais comme mon devoir de lui donner la mort. La mort est une possibilitĂ© que chacun porte en soi Ă  chaque instant. Pour l'homme qui pense, la mort n'est pas une fin mais un commencement. La mort est douce... Ce qui fait souffrir avec certains poisons, certaines blessures maladroites, c'est la vie. Pour tout croyant, la mort est une promotion. Le sage fait son deuil de sa mort. Fuis les honneurs et l'honneur te suivra ; convoite la mort et la vie te sera donnĂ©e. La mort ne m'aura pas vivant. Au fond, personne ne croit Ă  sa propre mort, et dans son inconscient, chacun est persuadĂ© de son immortalitĂ©. La mort ignore la politesse. Elle ne prend jamais rendez-vous. Mais elle accepte ceux qu'on lui donne. Commencez la rĂ©volution sans nous. On prĂ©fĂšre ĂȘtre cons et vivants que morts et pleins d'idĂ©es.
Laissonsles jolies femmes aux hommes sans imagination ! Marcel Proust La mémoire est chose plus dangereuse que l'imagination. Kazimierz Brandys L'imagination est la folle du logis. Nicolas de Malebranche L'imagination est amie de l'avenir. Rivarol
LA MUSIQUE EST DE TOUS LES ARTS CELUI QUI EST VÉRITABLEMENT COMPRIS, ET SENTI, PAR LE PLUS PETIT NOMBRE DE GENS. - P. Lalo - homme30ans recherche femmes ou transgenres entre 20 et 50ans pour passer de bons moments intenses a deux ou a plusieurs. Bonjour, je suis un homme de 36 ans vivant a Longueuil et je recherche une femme entre 24 et 40 ans qui vit aussi a Longueuil pour du sexe torride. Tu peux me laisser un message . Citation du Jour Proverbes Citations Au Hasard ThĂ©matiques Tops Top 24 Tops de la semaine Tops du mois Collections Citations Quotidiennes Connexion Menu Chercher RĂ©cent Populaires Top 10 Tendances Login Passez en mode sombre, plus agrĂ©able pour vos yeux la nuit. Passez au mode de lumiĂšre qui est plus agrĂ©able pour vos yeux pendant la journĂ©e. Menu Login 6 Vues 0 Votes par Marcel Proust dansFemmes, Imagination, Sans, ⭐ Citations ⭐ Laissons les jolies femmes aux hommes sans imagination ! Marcel Proust Laissons les jolies femmes aux hommes sans imagination ! Marcel Proust Qu'en pensez-vous? 0 Points J'aime Je n'aime pas Laisser un commentaireVotre adresse de messagerie ne sera pas publiĂ©e. Commentaire Nom Adresse de messagerie Site web Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site web dans le navigateur pour mon prochain commentaire. PrĂ©venez-moi par e-mail en cas de rĂ©ponse Ă  mon commentaire. Notifiez-moi des commentaires Ă  venir via e-mail. Vous pouvez aussi vous abonner sans commenter. © 2022 Les Plus Belles Citations Retour au sommet
Laissons les jolies femmes aux hommes sans imagination." Marcel Proust. Aujourd'hui, c'est la sortie du livre de mon adaptation théùtrale d'UN AMOUR DE SWANN
L’espace, le vide spatiale, proche du nĂ©ant infinie mais abritant lui, la vie. Des milliers de vies que nous pouvons admirer prĂšs de chaque Ă©toile. Du moins l’imaginer, les limites des vaisseaux Ă©tant encore prĂ©sent bien qu’on pourrait soupçonner la Shin-Ra d’avoir des appareils qui pourraient visiter ces mondes si Ă©loignĂ©s. À travers un hublot de son vaisseau Gummi, Bell tendait de voir quoi que ce soit mais sa vue ne lui laissait d’autre choix qu’un univers sombre, sans Ă©toiles ni soleil brillants de mille feux mais seulement des cercles pour les planĂštes que ses yeux pouvaient distinguer. VĂȘtu seulement de sa chemise et de son pantalon, ses bottes rĂ©sonnaient Ă  chaque pas tandis que le ruban qu’il avait l’habitude de porter en nƓud restait dans la poche de sa veste. Il restait peu de temps avant qu’il n’atteigne le monde oĂč rĂ©side la princesse de la Coalition, princesse Ă  laquelle le virus pensait en regardant la valise qui contenait son trĂ©sor de guerre et son prĂ©sent. À bien y repenser, lui offrir un collier Ă  pic en or pur n’était une si belle idĂ©e. L’or est une matiĂšre prĂ©cieuse mais dans sa forme actuelle, ça ressemblerait plus Ă  un cadeau pour Kuzfo, le loup qui gardait le chĂąteau. MĂȘme s’ils n’avaient pas eu l’occasion de sa parler, Bell savait que l’animal ne l’avait pas en estime, et qu’un objet pareil n’arrangerait rien. J’expliquerais qu’il se mit Ă  penser, explique qu’il l’avait ramenĂ© pour l’or et non l’objet en lui-mĂȘme
FaĂźte que ça marche. Les heures passĂšrent, l’ex-mercenaire pu se vĂȘtir correctement aprĂšs s’ĂȘtre dĂ©barrassĂ© du sable qu’il avait dans les cheveux et entreprit de se placer correctement en orbite juste au-dessus du chĂąteau de la bĂȘte. Il agrippa sa valise
et ne parvenait pas Ă  la soulever. L’or est un matĂ©riau lourd alors imaginez un collier qui ornait la gorge d’un monstre de prĂšs de 3mĂštres avec une chaĂźne. Non, cet homme en bleu n’a pas encore la force nĂ©cessaire pour la porter. AprĂšs une vague incantation, il invoqua l’aide de 5 Waddle Dee qui portaient le prĂ©sent en problĂšme ainsi que l’invocateur qui se fit pousser dessus par l’un de ses monstres avant d’aller au tĂ©lĂ©porteur et de se retrouver tous ensemble pas loin de l’entrĂ©e du chĂąteau. PortĂ© par ses monstres, l’invocateur ne pouvait s’empĂȘcher de repenser Ă  sa premiĂšre rencontre avec Ariez dans les jardins et Ă  sourire lĂ©gĂšrement, partagĂ© entre deux sentiments que son crĂ©ateur n’avait pas en mĂ©moire. D’un cĂŽtĂ©, ses compagnons de l’époque comptaient sur lui lorsqu’il a fait exploser le mur des jardins pour faire diversion. Ils sont passĂ©s par cette grille, ils ont fait face au chĂąteau comme lui le faisait en ce moment. De l’autre, le charme de la princesse qui l’avait tout de suite fait oublier sa mission. Certes il ne cache pas son penchant prononcer pour le sexe opposĂ© mais voir l’envie mĂȘme se prĂ©senter sur son trĂŽne de fĂ©lin, fiĂšre malgrĂ© ses restants de combats Ă©prouvant
 Bell croit dĂ©sormais qu’il avait eu un semblant de coup de foudre, un instant mais assez pour la suivre. À bien y rĂ©flĂ©chir, il ne la voyait pas comme une chef, pas comme Oakley l’a Ă©tĂ© ou ses prĂ©dĂ©cesseur chez les mercenaires mais plus
Comment expliquer ça
Quelqu’un qu’on aimerait voir sourire. ...Personne pour ouvrir ? MĂȘme en toquant Ă  la porte, personne ne venait pour ouvrir comme dans tout chĂąteau qui se respecte. Se disant que ça doit ĂȘtre la pause, l’homme en bleu laissa un Waddle Dee en pousser une et la refermer une fois qu’ils Ă©taient entrĂ©. Il se leva, lasser d’ĂȘtre assit sur une valise inconfortable, et ce contre l’insistance de ses monstres qu’il remit en place en donnant un coup avec le tranchant de sa main sur la tĂȘte de l’un d’eu. Moins qu’une baffe, cela suffisait dans leur condition. Rien, pas mĂȘme un rat ou un sans-cƓur qui traĂźnerait dans le hall pourtant ne l’était pas autant malgrĂ© son aspect lugubre. L’ex-mercenaire n’eu le temps de faire que quelque pas avant d’entendre une voix Ă©touffĂ©e provenant un tiroir au sol d’un tel ou tel meuble qui n’était plus lĂ . En le retournant, Bell eu la surprise de voir une petite tasse Ă©brĂ©chĂ©e sautiller pour s’éloignant en pleurant avant qu’il ne le !!On se calme ! Je ne suis pas un ennemi ! Remarquant trop tard qu’il tenait le pauvre enfant par ce qui lui servait de nez, le virus le posa doucement sur la paume de sa main gauche en se levant et ainsi l’empĂȘcher de fuir au risque de se briser sur le sol. Qu’est-ce qui se passe ici ? Pourquoi tu fuis comme ça au juste ?C’est Ă  cause de la princesse ! Depuis qu’elle est rentrĂ©e l’autre jour, tous les domestiques ont dĂ» quitter le chĂąteau
mais comme je ne voyait pas ma maman, je suis restĂ© et le tiroir m’est tombĂ© dessus et
et
J’ai perdu ma maman !! Pleurant Ă  grosse gouttes, Bell n’était pas encore habituĂ© Ă  ces objets animĂ©s, quand bien mĂȘme ce sont des personnes maudite. Mais pourquoi quitter le chĂąteau ? Ariez l’a ordonnĂ© ?J’en sais rien. J’ai vu les autres courir vers les sorties comme s’ils la fuyaient
Tu peux m’aider Ă  retrouver ma maman ?Euh
tu sais, vu tes infos, je devrais aller voir Ariez avant tout, alors
J’le savais ! Tu n’es qu’un mĂ©chant comme tout les autres qui viennent ici ! Laisse-moi partir ! Mon copain Natsu m’aurait aidĂ© sans hĂ©siter lui ! Alors que la tasse pleura de plus belle, Bell Ă©carta les yeux, surprit d’entendre ce nom d’une tasse de thĂ© qu’il prit soin de tenir dans les paumes de ses deux mains. Minute, tu connais Natsu ? Natsu Dragneel ? Un type aux cheveux rose ?J’me souviens plus de son nom mais il Ă©tait marrant et cassait bien le mĂȘme Natsu alors
Tu connais Natsu ?! Il va bien ?J’en sais rien
je suppose oui, ça fait longtemps que je ne l’ai pas vu. Les yeux prient d’un espoir soudain, la petite tasse fixait Bell en souriant qui se rĂ©signa Ă  l’aider et Ă  le porter dans la poche avant de son costume. Et tu crois que ta mĂšre se trouve oĂč exactement ?Peut-ĂȘtre en cuisine, j’essayais d’y aller mais le tiroir m’est tombĂ© dessus. La cuisine alors, le virus soupira un coup par pur rĂ©flexe, ne croyant pas qu’il aurait ce petit cĂŽtĂ© altruiste, surtout envers un gamin et surtout envers une tasse de thĂ© qui se trouve ĂȘtre un gamin. Marchant lentement, le bruit du collier et de la chaĂźne en or qui se balançaient Ă  chaque pas des Waddle Dee agaçaient mais ce n’était pas le moment pour leur donner un ordre aussi stupide que de tenter de faire moins de bruit. Le hall en vĂ©ritĂ© toute les salles, ça a Ă©tĂ© facile de se rendre pas loin du frigo et chercher sur une intuition de Zip la dĂźtes mĂšre. Bell posa la tasse Ă©brĂ©chĂ©e sur la table de travail, bien tentĂ© de se servir quelque chose en attendant que le fiston cherche sa mĂšre. Etonnement, il trouvait du thĂ© mais pas d’autre boisson ou alors des choses qui ne lui faisait guĂšre envie. Nous somme reliĂ©s Ă  peut-ĂȘtre une centaine de monde mais impossible d’avoir autre chose que du thĂ© dans ce monde ?! Enfin, en fouillant bien, il a pu trouvĂ© une bouteille d’alcool cachĂ© derriĂšre un meuble, couverte de poussiĂšre certes mais qu’un serviteur a eu la bonne idĂ©e de se la cachĂ©e pour quelque envies d’un verre. Alors que la tasse sautillait sur la table en cherchant du regard sa mĂšre, il se mit Ă  l’appeler comme tout garçon perdu dans un centre commercial. C’est Ă  ce moment que Bell cherchait un verre dans une armoire, sur le bout de ses pieds en Ă©quilibre sur sa valise portĂ©e par ses monstres. Le hasard, c’est le piment de la vie, trĂšs Ă©picĂ©s ou doux comme un agneau. Quelque chose bondit de l’armoire, rebondit sur le visage de l’invocateur qui perdit son Ă©quilibre et envoya valdinguer sa bouteille explosĂ©e le bout dans l’évier et se vider lentement. La main sur le front, l’ex-mercenaire se releva en s’appuyant sur la table de travail, en rage et bien dĂ©cidĂ© Ă  le que c’est que ce bordel ?! C’est trop demandĂ© de faire gaffe, saloperie de
Hein ? En ouvrant les yeux et en laissant sa main retomber le long de son corps, Bell avait un regard d’une femme sachant se faire obĂ©ir, une main de fer dans un gant de velours, bref, une gouvernante avec son fils cachĂ© derriĂšre. 
DĂ©solĂ© d’avoir levĂ© la voix madame
Madame Samovar pour vous, jeune homme. Et je vous demanderais de ne plus prononcer de tels mots devant un enfant. Mais maman, il m’a aidĂ© alors que j’étais coincĂ© ! En plus, il m’a amenĂ© ici pour m’aider Ă  te chercher. C’est un copain Ă  Natsu !Natsu tu dis ? Moui
possible. En tout cas, merci pour avoir aidĂ© mon fils, monsieur
 ?Bell, Bell DiArmag mais juste Bell, Madame Samovar. Bell, merci Ă  vous et vu que vous n’avez plus de quoi boire, que diriez-vous d’un thĂ© ? Nos pots ont dĂ» quitter le chĂąteau mais il doit rester une boĂźte normale dans le fond de l’armoire juste Ă  l’étagĂšre en dessous du quel j’étais. Et je le bois dans quoi ? Je ne vois pas oĂč
Oh
J’avais oubliĂ© oui. En suivant les indications de Madame Samovar, Bell se mit Ă  faire chauffer de l’eau sur un Bambo qu’il avait prit la peine d’invoquĂ© et posĂ© sur sa tĂȘte une casserole moyenne remplit d’eau. Vu que ce monstre n’était qu’une boule de feu, ça devait lui ĂȘtre facile de rĂ©gulĂ© ses flammes tandis que l’invocateur reprit son numĂ©ro de cirque pour prendre une boĂźte en fer remplit d’assez de thĂ© pour une personne. Lorsque vint le moment de laisser le thĂ© s’infusĂ© dans la thĂ©iĂšre vivante, il hĂ©sita un peu mais encouragĂ© par cette derniĂšre, il continua avant de renvoyer son monstre tout feu tout flamme sans le faire exploser. Assit contre un meuble face Ă  la table de travail, il attendit. Il attendit que la mĂšre verse de son contenu dans son fils qui sautilla sans renversĂ© vers Bell qui le prit et bu malgrĂ© les rires de Zip. Et sinon
qu’est-ce qu’il s’est passĂ© au juste ? Le petit a dit que tout le monde a fuit
En effet, la princesse a demandĂ© Ă  tout le monde de partir et Ă  donnĂ© l’ordre que personne ne vienne
qu’est-ce que vous faĂźtes ici d’ailleurs ?Pas au courant, j’étais en mission et je suis venu ici pour mon rapport et un oubliez, il n’y a rien Ă  faire ici. Elle est dans sa chambre dans l’aile ouest et ne veut voir personne. Aucun d’entre nous ne sait ce qu’il lui arrive mais elle est rentrĂ©e l'autre jour presque larme. Nous avons bien essayĂ© de chercher monsieur Kuzfo mais aprĂšs tout les dĂ©gĂąts qu’il a fait, personne n’a osĂ© le suivre dans la forĂȘt. La thĂ©iĂšre semblait si froide, comme si elle avait devinĂ© quelque chose qui ne rendait pas Bell si sympathique Ă  ses yeux, et lui savait quoi. 
Je commence Ă  comprendre. Il ne faisait pas attention au regard de la mĂšre Samovar, ses explications et son ton suffisaient pour boulier de long discourt. Il leur proposa de les emmenĂ©s voir les autres en faisant signe Ă  un de ses Waddle Dee de les porter avec grand attention. Le fils Ă©tait ravi mais la mĂšre dĂ©sirait dire une derniĂšre chose, seul Ă  seul avant d’aller voir le moyen de transport. Nous devrions reparler de Natsu, Bell. Ou plutĂŽt, monsieur l’ex-mercenaire de l’équipe qui est venu il y a peu. 
.Oubliez ça, Mrs Samovar. Eux et moi, c’est finit
 Evitez aussi d’en parler autour de vous ou Ă  votre fils, il avait l’air heureux de voir un ami du lĂ©zard. L’ex-mercenaire ne la regardait pas en face, avait dĂ©jĂ  assez honte comme ça et le cas de la princesse le travaillait dĂ©sormais. Mrs. Samovar semblait comprendre et laissa l’homme en bleu seul dans la cuisine, une promesse de silence Ă©tait sĂ»re d’ĂȘtre tenue avec elle. Pour une thĂ©iĂšre, elle Ă©tait se mit en route vers l’aile ouest, d’un pas rapide et suivit par ses Waddle Dee de loin avec la valise. AprĂšs un moment Ă  monter des marches, l’ex-mercenaire trouva sur le sol une couronne. À y regarder de plus prĂšs, le couvre-chef royal Ă©tait celui que la princesse de l’envie portait toujours sur sa tĂȘte en permanence. Elle qui la portait tout le temps, c’était quelque chose de prĂ©cieux
 Alors que ses invocations rĂ©ussirent Ă  le rattraper, lui se mit Ă  courir pour de bon, tenant fermement la couronne dans sa main gauche. Les mots de madame Samovar, ses mots tournaient dans sa tĂȘte de donnĂ©es et ne cessaient de l’inquiĂ©ter d’avantage. À en croire cette gouvernante, il y aurait des chances pour que le loup-garou et la princesse se soient disputĂ©s et que ce soit terminĂ© sur de mauvais termes. AprĂšs tout, Ariez serait bien capable d’exagĂ©rĂ©e pour quelque chose d’aussi idiots que des paroles en l’air. Du peu qu’il connaissait sur Kuzfo, c’est bien qu’il garde l’envie comme son trĂ©sor et que mĂȘme aprĂšs des insultes, il reviendra Ă  coup sĂ»r. Alors
pourquoi courir ? Pourquoi ĂȘtre aussi inquiet pour sa chef, ou plutĂŽt sa cliente permanente. Allez savoir, mĂȘme lui l’ignorait mais parmi tout les chiffres qui composait son image d’organisme, l’homme aux cheveux noir et aux yeux rouges souri paisiblement en observant sa copie ratĂ©e. Il gravit les marches, manquant de tomber plus d’une fois et en serrant d’avantage la couronne dans sa main gauche et son souffle absent coupĂ©, il accĂ©lĂ©ra sa course pour les derniers mĂštres, des ailes ayant poussĂ©es dans son dos. Encore ce sentiment, comme lorsqu’il l’a vu avec ses bandages dans le jardin le jour de l’attaque. Bell serra un peu les dents, n’y comprenait rien alors qu’il ralentissait, appuyĂ© contre la porte fermĂ©e et laissant pendre son bras gauche. Ne se serait pas capable d’ĂȘtre essoufflĂ© alors qu’il ne respirait pas mais qu’importe, il devait rentrer en ignorant encore ses monstres qui montent les escaliers avec peine. La porte n’était pas fermĂ© Ă  clef, porte qu’il poussa lentement alors qu’il n’avait pas finit de rĂ©cupĂ©rer. La piĂšce Ă©tait plongĂ©e dans le noir, les volets fermĂ©s mais l’ex-mercenaire l’ignorait, lui qui n’a jamais distinguĂ© la lumiĂšre. En promenant son regard, il l’a vit. Assise sur son lit, les jambes ramenĂ©es contre elle, entourĂ©es de sa couverture mais voyait bien qu’elle portait une robe froissĂ©e en dessous. C’était bien la premiĂšre fois qu’il la voyait comme ça, sans sa couronne, ses cheveux libres de toute coiffure
l’air enfermĂ©e dans ses pensĂ©es. On n’aurait cru qu’elle n’avait pas encore remarquĂ© Bell qui s’était rapprochĂ© Ă  deux pas du lit, tenant la couronne dans ses deux mains comme un prĂ©sent et s’efforçant de sourire un peu pour lui remonter un peu le moral. P-princesse, tu vas ĂȘtre contente. Il n’y avait pas d’arme unique mais
 il possĂ©dait plus d’or sur lui que sur tous tes objets de grande valeur ! Je l’ai ramenĂ© et
regarde, j’ai retrouvĂ© ta couronne, tu as dĂ» l’égarer
L’inquiĂ©tude s’entendait dans sa voix mais en avait-il le droit ? L’Avarie avait-il ainsi le droit de porter la couronne de l’Envie entre ses mains ? Dit lui donc, princesse. DerniĂšre Ă©dition par Bell DiArmag le Jeu 2 FĂ©v 2012 - 2201, Ă©ditĂ© 1 fois Description: C'est bien la pire folie que de vouloir ĂȘtre sage dans un monde de fous!!!!

" Je suis ton pile, Tu es mon face Tu es l'envie et moi le geste, Toi le citron et moi le zeste Je suis le thĂ©, tu es la tasse, Toi la guitare et moi la basse Je suis la pluie et tu es mes gouttes, T'es le bouquet je suis les fleurs Tu es l'aorte et moi le cƓur, Toi t'es l'instant moi le bonheur T'es le guĂ©pard moi la vitesse, Tu es la main moi

laabasRecherche: 48 à 56 ans (Yeux : - Cheveux : Chùtain foncé - 155 cm - Statut civil: Divorcé) Région: Code postal : 14500, Truttemer-le-Petit 14, Calvados, France Bonjour, J'ai envie d'une belle rencontre. M. Proust disait : "Laissons les jolies femmes aux hommes sans imagination". ExdlR.
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