Place du 19 Avril 1944, 76000 Rouen Appartement Prix m2 moyen 2 396 ⏠de 1 554 ⏠à 3 228 ⏠Indice de confiance Maison Prix m2 moyen 2 024 ⏠de 1 313 ⏠à 2 728 ⏠Indice de confiance Place du 19 Avril 1944, 76000 Rouen Remarque les prix indiquĂ©s ci-dessous sont ceux de la ville de Rouen Appartement Loyer mensuel/m2 moyen 18,0 ⏠de 13,0 ⏠à 31,8 ⏠Indice de confiance Maison Loyer mensuel/m2 moyen 17,2 ⏠de 13,0 ⏠à 21,8 ⏠Indice de confiance Consulter le prix de vente, les photos et les caractĂ©ristiques des biens vendus Place du 19 Avril 1944, 76000 Rouen depuis 2 ans Obtenir les prix de vente En aoĂ»t 2022 Ă Rouen, le nombre d'acheteurs est supĂ©rieur de 14% au nombre de biens Ă vendre. Le marchĂ© est dynamique. ConsĂ©quences dans les prochains mois *L'indicateur de Tension ImmobiliĂšre ITI mesure le rapport entre le nombre d'acheteurs et de biens Ă vendre. Lâinfluence de lâITI sur les prix peut ĂȘtre modĂ©rĂ©e ou accentuĂ©e par lâĂ©volution des taux dâemprunt immobilier. Quand les taux sont trĂšs bas, les prix peuvent monter malgrĂ© un ITI faible. Quand les taux sont trĂšs Ă©levĂ©s, les prix peuvent baisser malgrĂ© un ITI Ă©levĂ©. 60m2 Pouvoir dâachat immobilier dâun mĂ©nage moyen rĂ©sident 58j DĂ©lai de vente moyen en nombre de jours Le prix moyen du m2 pour les appartements Place du 19 Avril 1944 Ă Rouen est de 2 396 ⏠et peut varier entre 1 554 ⏠et 3 228 ⏠en fonction des biens. Pour les maisons, le prix du m2 y est estimĂ© Ă 2 024 ⏠en moyenne; il peut nĂ©anmoins valoir entre 1 313 ⏠et 2 728 ⏠en fonction des adresses et le type de la maison. Rue et comparaison Prix mÂČ moyen 51,7 % plus cher que le quartier Centre Rive Droite Ouest 1 579 ⏠51,7 % plus cher que Rouen 1 579 ⏠à proximitĂ© Cette carte ne peut pas sâafficher sur votre navigateur ! Pour voir cette carte, nâhĂ©sitez pas Ă tĂ©lĂ©charger un navigateur plus rĂ©cent. Chrome et Firefox vous garantiront une expĂ©rience optimale sur notre site.Rouenest une ville du dĂ©partement de la Seine-Maritime dans la rĂ©gion de Normandie comptant 112 321 habitants appelĂ©s les rouennais. La commune de Rouen s'Ă©tend sur 21,4 kmÂČ. Toutes les informations locales de la ville de Rouen, code postal 76000, sont disponibles sur la page: MĂ©tĂ©o, plan, immobilier, Ă©conomie, culture, sorties
Histoire de la Normandie Mise Ă jour 18 novembre 2015 De l'invasion des Vikings Ă nos jours, revivez l'histoire de la Normandie. Naissance de la Normandie ducale...Vers lâan 800, les premiĂšres invasions "normandes" ont lieu sur le Royaume de France. En 841, des incendies sont dĂ©clenchĂ©s dans de nombreux monuments religieux comme les abbayes Saint-Ouen de Rouen fondĂ©e vers 553 et celle de JumiĂšges fondĂ©e vers 654.En 911, le roi carolingien Charles III de France, dit Charles le Simple et le chef viking Hrolf dit Rollonâ signent le traitĂ© de Saint-Clair sur Epte. Cet accord est principalement conclu pour mettre fin aux hostilitĂ©s pillages et invasions des Scandinaves, accordant lâimplantation des Normands en Neustrie. En retour, Rollon doit assurer la protection des territoires entre la Mer et lâEpte, avec notamment des emplacements stratĂ©giques comme lâestuaire de la Seine et la ville de Rouen. Rollon fonde ainsi le DuchĂ© de se convertit en 912 Ă la religion chrĂ©tienne sous le nom de Robert, conformĂ©ment Ă lâaccord conclu lors du 924, le Roi Raoul de France cĂšde le Bessin Ă Rollon. En 933, la Normandie sâagrandit avec lâannexe de lâAvranchin, du Cotentin et des Ăźles Anglo-Normandes par Guillaume Longue ĂpĂ©e, fils de Rollon. Un territoire occupĂ© jusquâici par les Bretons. Par la suite, Robert le Magnifique y ajoutera le Vexin Normands firent de la rĂ©gion une contrĂ©e prospĂšre et finirent par sâassagir en entreprenant notamment la reconstruction des sites religieux dĂ©vastĂ©s par leurs actes JumiĂšges, Saint-Wandrille, Rouen, Cerisy... Descendant de la lignĂ©e de Rollon, fils illĂ©gitime de Robert le Magnifique et dâArlette VertprĂ©, Guillaume II de Normandie voit le jour Ă Falaise en 1027. Avant de partir pour sa croisade en 1035, Robert le prĂ©sente comme son hĂ©ritier. La mĂȘme annĂ©e, seulement ĂągĂ© de 8 ans, "Guillaume le bĂątard" devient Duc de Normandie, suite Ă la mort de son pĂšre, survenue sur le chemin du retour en Terre Sainte. En 1050, Guillaume Ă©pouse Mathilde de Flandre et fait de la Normandie un duchĂ© si puissant quâil provoque la crainte du Roi de France. Et pour cause, il sera, durant de longues saisons, le duchĂ© le mieux organisĂ© des Ătats dâ 1066, aprĂšs sa victoire dans la bataille dâHastings, Guillaume sâempare de la couronne dâAngleterre. Il devient Guillaume Le meurt Ă Rouen le 9 septembre 1087 Ă lâĂąge de 60 ans. Sa dĂ©funte femme, Mathilde, reposant Ă lâAbbaye aux Dames depuis 1083, il se fait inhumer dans lâAbbaye aux Hommes Ă Caen, conformĂ©ment Ă sa volontĂ©. Le tombeau de Guillaume le ConquĂ©rant est placĂ© au milieu du chĆur dans lâAbbaye aux Hommes. ProfanĂ©e et dĂ©truite Ă plusieurs reprises, son actuelle pierre tombale date de peut y lire les inscriptions suivantes HIC SEPULTUS EST INVICTISSIMUS GUILLELMUS CONQUESTORNORMANNIĂ DUX ET ANGLIĂ REX Ici repose lâinvincible Guillaume Le ConquĂ©rant, duc de Normandie et Roi dâAngleterre,fondateur de cette maison, qui mourut lâannĂ©e 1087Le 26 septembre 1106, Ă l'issue de la bataille de Tinchebray, le duc Robert Courteheuse, fils hĂ©ritier de Guillaume le ConquĂ©rant, est fait prisonnier par les soldats du Roi dâAngleterre Henri 1er Beauclerc, plus jeune fils du ConquĂ©rant. Le duchĂ© de Normandie est ainsi rattachĂ© au Royaume dâ 8 septembre 1157, naquit Richard 1er dâAngleterre dit Richard CĆur de Lion, Ă Oxford Angleterre. En 1189, aprĂšs la mort de son pĂšre Henri II PlantagenĂȘt, il hĂ©rite du trĂŽne dâAngleterre et devient Ă©galement Duc de 1191, le Roi de France, Philippe Auguste, jusque-lĂ alliĂ© de la Couronne Anglaise, profite de lâabsence de Richard CĆur de Lion pendant son voyage en Terre sainte, pour entreprendre la reconquĂȘte de la Normandie. Le 6 avril 1199, Richard meurt aprĂšs onze jour de blessure lors du siĂšge du ChĂąteau de ChĂąlus. Son frĂšre cadet, Jean Sans Terre, lui succĂšde sur le trĂŽne dâAngleterre en 1199 et devient Ă son tour Duc de Normandie Ă 6 mars 1204, la Normandie redevient dĂ©finitivement française suite Ă la prise de ChĂąteau-Gaillard des Andelys par les armĂ©es de Philippe Auguste. Le 21 mai, la ville de Caen tombe aux mains des Français. Rouen est reprise le 24 juin 1204 par les troupes victoires mettent un terme Ă lâaventure anglo-normande qui dura prĂšs de 150 ans. Seules les Ăźles anglo-normandes Jersey et Guernesey resteront sous la souverainetĂ© de la couronne dâ tout le Moyen-Age et lâAncien RĂ©gime, la Normandie dispose dâune organisation et dâinstitutions spĂ©cifiques reconnues par le pouvoir royal. La Cour et les premiĂšres institutions sont itinĂ©rantes. Ainsi plusieurs villes disposent dâun chĂąteau ducal Rouen, Caen, FĂ©camp.Pendant la Guerre de Cent Ans1337-1453, la Normandie Ă©tait au centre dâun vĂ©ritable enjeu entre le roi de France et le roi dâAngleterre, par son passĂ© historiquement partagĂ© entre les deux couronnes. La guerre dĂ©bute et le roi Philippe VI demande aux Normands de lui fournir marins et bateaux, Rouen demeure ĂȘtre le seul chantier naval qui puisse construire des navires de flotte française sombre face Ă lâarmĂ©e anglaise lors de la bataille de lâĂcluse, prĂšs de Bruges en II de Navarre, dit Charles le Mauvais, un puissant seigneur nĂ© Ă Ăvreux, dĂ©clenche la guerre civile entre les 1420, le traitĂ© de Troyes prĂ©voit quâaprĂšs la mort du roi de France, Charles VI, sa succession soit effectuĂ©e par son beau-fils, le roi Henri V dâAngleterre. Cependant, la succession prĂ©vue nâaura pas lieu puisque le roi dâAngleterre meurt avant son homologue français lors de lâannĂ©e 21 octobre 1422, aprĂšs la mort de Charles VI, son fils Charles VII, devient le nouveau roi de France. Le nouveau souverain entreprend de reconquĂ©rir le pays et pardonne les Normands qui ont collaborĂ©s avec lâ prisonniĂšre par les Bourguignons Ă CompiĂšgne, Jeanne dâArc a Ă©tĂ© conduite Ă Rouen pour ĂȘtre jugĂ©e par un tribunal prĂ©sidĂ© par lâĂ©vĂȘque de Beauvais Pierre Cauchon, partisan des anglais. La premiĂšre sĂ©ance sâest tenue Ă la Chapelle Royale du ChĂąteau de Rouen, le 21 fĂ©vrier 1431. Elle a Ă©tĂ© brĂ»lĂ©e vive le 30 mai 1431, sur la place du Vieux-MarchĂ© Ă Ă la guerre de Cent Ans 1337-1453, la Normandie connaĂźt une pĂ©riode prospĂšre. En 1466, le duchĂ© de Normandie est partagĂ© en bailliages entitĂ©s territoriales, puis subdivisĂ© en vicomtĂ©s, lesquels seront seulement supprimĂ©s en 1469, le roi de France Louis XI met fin au titre de Duc de ville du Havre et son port sont officiellement fondĂ©s par le roi François 1er en 1542, la Normandie est divisĂ©e en 2 gĂ©nĂ©ralitĂ©s celle de Rouen et celle de Caen. Puis, viendra sâajouter la gĂ©nĂ©ralitĂ© dâAlençon en 1636. Les trois gĂ©nĂ©ralitĂ©s normandes prendront fin lors de la crĂ©ation des dĂ©partements en 1790. Durant le XVIe siĂšcle, la Normandie devient la province la plus protestante au nord du royaume. Des temples sont construits Ă Rouen, Saint-LĂŽ, Le Havre, Caen, Coutances, Dieppe... Des tensions entre communautĂ©s se concrĂ©tisent par la guerre en 1562. AprĂšs ses victoires Ă Arques 1589 et Ă Ivry 1590, le roi de France Henri IV finit par se convertir au catholicisme et les Normands renoncĂšrent Ă leur tour au XVIIe siĂšcle, forte de son dynamisme maritime, la Normandie participe activement aux Grandes dĂ©couvertes et au commerce international. Les ports normands deviennent des points de dĂ©part pour les explorateurs et colonisateurs 1604, Samuel de Champlin quitte Honfleur pour fonder lâAcadie de lâautre cotĂ© de lâAtlantique et la ville de QuĂ©bec en 1625 Ă 1635, Pierre Belain dâEsnambuc, flibustier normand nĂ© Ă Allouville, prend possession de la Guadeloupe, de la Martinique, de Saint-Christophe et de Guerre reprend avec lâAngleterre en 1689. Le littoral normand est de nouveau le terrain de nouvelles attaques. Les 22 et 23 juillet 1694, Dieppe est bombardĂ©e par la flotte anglo-hollandaise. Un incendie dĂ©truit une grande partie de la ville. Du 25 au 31 juillet 1694, la ville du Havre se fait bombarder Ă son tour par lâarmĂ©e 22 dĂ©cembre 1789, suite Ă la rĂ©volution française, la province nommĂ©e Normandie et Perche est divisĂ©e en 5 dĂ©partements le Calvados, lâEure, la Manche, lâOrne et la Seine-InfĂ©rieure devenue Seine Maritime en 1955. Le comtĂ© du Perche est ajoutĂ© au dĂ©partement de lâ 26 fĂ©vrier 1790, la France compte 83 dĂ©partements dĂ©limitĂ©s gĂ©ographiquement. La dĂ©cision prend effet le 4 mars 1800, NapolĂ©on Bonaparte met fin Ă la chouannerie. Il capture le chef des chouans, le comte de FrottĂ©, Ă Alençon. Ce dernier sera fusillĂ© le 18 fĂ©vrier NapolĂ©on ordonne en 1802 de reprendre les travaux de la grande digue de Cherbourg dĂ©butĂ©s en 1789. Un chantier titanesque visant Ă rĂ©sister Ă un nouveau dĂ©barquement anglais. La digue centrale sera achevĂ©e en 1853. Lors du XIXe siĂšcle, la Normandie devient le berceau de grands Ă©crivains comme Guy de Maupassant Tourville sur Arques, Gustave Flaubert et Maurice Leblanc Rouen, Alphonse Allais Honfleur et tant dâ province inspire Ă©galement le grand peintre Claude Monet qui fait de la Normandie un haut-lieu du mouvement impressionniste, Ă travers ses toiles du Havre et ses jardins de Giverny, petit village de lâEure oĂč il sâĂ©teint en PremiĂšre Guerre Mondiale nâa pas tellement concernĂ© la Normandie, territorialement parlant, mais aux nombreuses victimes de la Guerre sâajoute une chute du taux de natalitĂ© dans la province, qui avait dĂ©jĂ commencĂ©e au siĂšcle 1936, les plages normandes deviennent un lieu de dĂ©veloppement touristique et Ă©conomique, avec la crĂ©ation des congĂ©s par le Front Populaire. Les français dĂ©couvrent la Mer. La Normandie sera particuliĂšrement occupĂ©e lors de la Seconde Guerre Mondiale. VĂ©ritable théùtre de la reconquĂȘte de lâEurope par les AlliĂ©s, le territoire normand fut notamment le point de dĂ©part de lâOpĂ©ration Overlord, menĂ©e simultanĂ©ment sur les plages de Calvados et de la Manche. La plus grande opĂ©ration amphibie de toute lâhistoire militaire mondiale. Le 6 juin 1944, 156 000 soldats alliĂ©s, amĂ©ricains, britanniques et canadiens foulent le sol normand. Lors de cette intervention militaire de grande ampleur, de nombreuses villes sont dĂ©vastĂ©es. Ăvreux, Rouen mais surtout Caen et Le Havre sont les villes les plus touchĂ©es par les lâoffensive des alliĂ©s, les allemands reculent, et la libĂ©ration se poursuit de villes en villes Bayeux est libĂ©rĂ©e le 7 juin 1944, Cherbourg le 1er juillet, Caen le 19 juillet, Alençon le 12 aoĂ»t puis Ăvreux le 24 aoĂ»t. Il faudra attendre le 30 aoĂ»t 1944 pour que la ville de Rouen soit libĂ©rĂ©e par les alliĂ©s canadiens. Quant Ă Dieppe, la ville maritime attendra le 1er septembre. Le Havre est la derniĂšre ville normande libĂ©rĂ©e en date du 12 septembre 1944. Le 18 janvier 1955 , le dĂ©partement de la Seine-InfĂ©rieure devient la 1956, la France invente administrativement les rĂ©gions. La Normandie se retrouve divisĂ©e Ă nouveau en deux parties. Les dĂ©partements du Calvados, de la Manche et de lâOrne se retrouvent regroupĂ©s en Basse-Normandie. LâEure et la Seine-Maritime forment la 17 dĂ©cembre 2014, la rĂ©unification des deux rĂ©gions administratives en une unique Normandie est actĂ©e pour une entrĂ©e en vigueur au 1er janvier 2016.
Le14 mars 1909 il est Ă Rouen pour accompagner Marie Capoy avec Alfred Casella, Jean WiĂ©ner rend hommage Ă Hewitt dans le journal Ce soir du 27 avril 1945, quelques jours aprĂšs son retour d'Allemagne. Hewitt est mĂ©daillĂ© de l'ordre de la LibĂ©ration par dĂ©cret du 24 avril 1946. Son fils Jean (Maurice) Hewitt (1914-1990) et l'Ă©pouse de celui-ci, nĂ©e Nadine Fratkine Que voir, que visiter Ă Rouen une journĂ©e ? Que faire Ă Rouen en 2 jours ou 3 jours ? Comment y aller, oĂč stationner Ă Rouen ?Rouen, capitale de la Normandie et chef-lieu du dĂ©partement de Seine-Maritime, compte habitants, et habitants dans son ville se love dans un mĂ©andre de la Seine, aux pentes assez flĂšche de la magnifique cathĂ©drale de Rouen, la plus haute de France avec ses 151 mĂštres, domine fiĂšrement la capitale normande, ville aux vieilles rues et aux cent clochers » selon Victor patrimoine rouennais est exceptionnel Rouen est la sixiĂšme ville française comptant le plus de monuments centre historique est vaste, et pour cause Rouen, riche ville portuaire, a Ă©tĂ© jusquâau XVIIIe siĂšcle la seconde ville de France aprĂšs Paris par sa sont les meilleures activitĂ©s Ă Rouen ? Suivez le parcours de visite complet de la souris ! đSommaire1 Plan de Rouen2 Comment aller Ă Aller Ă Rouen en OĂč se garer gratuitement Ă Aller Ă Rouen en train3 Visiter Rouen les activitĂ©s incontournables4 Panorama de la cĂŽte Sainte-Catherine5 Visiter Rouen en 1 jour le vieux Rouen Ă Maisons Ă pans de bois Ă Place du Vieux-MarchĂ© de Ăglise Sainte-Jeanne-dâ Place de la Pucelle et hĂŽtel de Palais de justice de Place de la CathĂ©drale Notre-Dame de Rue Ăglise AĂźtre Rue Rue Rue Abbatiale Rue Quartier des musĂ©es6 Quais de Seine Ă Rouen7 Port de Rouen8 Jardin des Plantes de Rouen9 Visiter Rouen en 2 ou 3 jours les musĂ©es de MusĂ©e de MusĂ©e de la MusĂ©e de la Ferronnerie Le Secq des MusĂ©e des AntiquitĂ©s et musĂ©um dâHistoire naturelle de MusĂ©e Flaubert et dâHistoire de la MusĂ©e national de lâĂducation10 MusĂ©es de lâagglomĂ©ration de Rouen11 OĂč manger Ă Rouen les meilleures adresses de restaurants 12 OĂč dormir Ă Rouen13 Que faire Ă Rouen quand il pleut14 Avis de la souris sur Rouen15 Que voir aux alentours de Basse vallĂ©e de la Le Havre patrimoine mondial de lâ CĂŽte dâAlbĂątre16 Ces articles aussi vont vous intĂ©resser !Plan de RouenAfficher une carte plus grandeAller Ă Rouen en voiturePour aller Ă Rouen, il suffit dâemprunter lâA13 ou autoroute de Normandie, depuis le pĂ©riphĂ©rique parisien ou depuis Caen. En un peu plus dâune heure hors bouchons !, vous y ĂȘtes ! đLes Franciliens du nord de la rĂ©gion privilĂ©gieront lâA15 puis lâex-N14 via le 2X2 voies en Ăle-de-France devient une simple dĂ©partementale peu roulante en Normandie pas de zones de dĂ©passement, nombreux villages traversĂ©s. Mais câest un itinĂ©raire totalement 28 et lâA 29 relient rapidement Rouen Ă Amiens et Lille dâune part, et au Mans et Nantes dâautre se garer gratuitement Ă RouenIl nâest pas du tout Ă©vident de se garer Ă Rouen !Le centre-ville historique, grossiĂšrement Ă lâintĂ©rieur des boulevards circulaires bld de lâYser, bld de Verdun, etc ainsi quâautour de la gare de Rouen-Rive-Droite est payant et limitĂ© Ă 2 h ne souhaitez pas payer un parking souterrain environ 3⏠de lâheure ou 18 âŹ/jour ?Sachez quâon se gare gratuitement Ă Rouen sur la place du Boulingrin et dans les roues autour, au nord des boulevards de lâYser ou de sur le quai du PrĂ© aux Loups en amont du pont Corneille ou encore sur lâĂźle trouverez ici la carte dĂ©taillĂ©e des zones de stationnement payant Ă Ă Rouen en trainChaque jour, de nombreux trains directs ou semi-directs TER Normandie relient Paris-Saint-Lazare Ă Rouen et Le une frĂ©quence dâenviron un train par heure pour les trains directs et 1 h 12 de trajet sans en thĂ©orie⊠Lâaxe ferroviaire Paris-Rouen-Le Havre est particuliĂšrement saturĂ©, et les retards sont trĂšs frĂ©quents !La gare de Rouen-Rive-Droite est assez proche du centre historique, Ă moins de 600 mĂštres 10 mn de marche du Vieux Rouen, en descendant la rue Jeanne-dâ en passant le beau bĂątiment des voyageurs de style Art dĂ©co, inaugurĂ© en 1928, avec son campanile et ses fresques ! Visiter Rouen les activitĂ©s incontournablesla cathĂ©drale Notre-Dame et sa plus haute flĂšche de France, qui inspira Claude Monetle Vieux-Rouen et ses centaines de maisons Ă pans de boisle Gros-Horloge, lâimage emblĂ©matique de Rouenle magnifique palais de justice de Rouen, chef-dâĆuvre de lâart gothiquelâĂ©glise Saint-Maclou, joyau du gothique flamboyantlâinsolite aĂźtre Saint-Maclou, ancien charnier Ă la dĂ©coration macabrelâabbatiale Saint-Ouen, joyau du gothique rayonnant et son orgue remarquableles riches musĂ©es de Rouen, en particulier les Beaux-Arts et Le Secq des Tournelles, gratuits pour tousla cĂŽte Sainte-Catherine et son exceptionnel panorama sur Rouen et la vallĂ©e de la SeinePanorama de la cĂŽte Sainte-CatherineLa terrasse de la cĂŽte Sainte-Catherine, Ă Bonsecours, juste Ă lâest du centre de Rouen, offre un magnifique panorama !On peut y admirer la courbe de la Seine, la ville, ses cent clochers » bon, une vingtaine quand mĂȘme ! et lâagglomĂ©ration de Rouen. A voir de jour et au crĂ©puscule, quand le soleil disparaĂźt en face et que les lumiĂšres de la ville sâallument ! Lâavantage du zoom câest quâon peut mieux apprĂ©cier certains monuments ! đLa cathĂ©drale de Rouen bien sĂ»r vue sur le chevet, la flĂšche hĂ©las durablement en travaux, grrrLâancienne abbatiale Saint-Ouen et sa superbe tour-lanterne Et la belle Ă©glise Saint-Maclou, avec Ă lâarriĂšre-plan les toits du palais de justice, sommet de lâart gothique !AccĂšs facile Ă la cĂŽte Sainte-Catherine en Ă pied pour les courageux, par le sentier, dotĂ© de quelques centaines de marches 525 pour ĂȘtre prĂ©cise !.Il dĂ©marre au bout de la rue du Faubourg-Martainville prolongement de la rue Martainville, juste aprĂšs le passage sous la nationale Rouen en 1 jour le vieux Rouen Ă piedPour visiter Rouen en 1 jour, je vous propose ce circuit de promenade dans le vieux relie les principales curiositĂ©s du centre ville historique, en passant par la magnifique cathĂ©drale, peinte par Ă pans de bois Ă RouenRouen compte plusieurs centaines de maisons Ă pans de bois Ă colombages, du XVe au XVIIIe plus anciennes, jusque vers 1520, sont Ă encorbellement les Ă©tages supĂ©rieurs dĂ©bordent sur les niveaux infĂ©rieurs. Certaines sont opulentes, dâautres bien nombre de maisons Ă pans de bois suivent les poutres et sont bien tordues !MalgrĂ© les regrettables destructions de la Seconde Guerre mondiale qui en a dĂ©truit environ 700, on peut encore en admirer beaucoup Ă Rouen prĂšs de 2000 !Vous en verrez le plus entre la place du Vieux-MarchĂ© et lâĂ©glise Saint-Maclou sur lâaxe ouest-est, le long de la rue du Gros-Horloge, de la rue Saint-Romain qui longe le flanc nord de la cathĂ©drale puis de la rue Martainville et ses alentours rue Damiette, rue dâAmiens.Pas mal dâautres maisons Ă colombages se situent le long de la rue des Bons Enfants puis de la rue Ganterie et la rue de lâHĂŽpital, autre axe ouest-est aboutissant devant lâabbatiale de la rue des Bons enfants et de la rue GanterieVous souhaitez en voir dâautres encore ? Allez voir le long de la rue Beauvoisine et de la rue Beffroy, juste au nord du musĂ©e des Beaux-Arts !Je vous propose un itinĂ©raire reliant les principaux points dâintĂ©rĂȘt du centre de Rouen, en passant le long des rues les plus faut absolument visiter le Vieux Rouen Ă pied, le centre Ă©tant largement piĂ©ton. Dâailleurs la rue du Gros-Horloge a Ă©tĂ© la premiĂšre voie piĂ©tonne urbaine de France en 1971. Suivez la souris ! đPlace du Vieux-MarchĂ© de RouenLa place du Vieux-MarchĂ© Ă Rouen est bordĂ©e de maisons Ă pans de bois du XVI au XVIIIe câest mignon quand mĂȘme comme moi, hum.On y trouve les nouvelles halles marchĂ© tous les jours sauf le lundi, lâĂ©glise moderne Sainte-Jeanne-dâArc, et la Croix de la se situe Ă lâemplacement du bĂ»cher oĂč Jeanne dâArc fut brĂ»lĂ©e le 30 mai 1431, lieu dâexĂ©cution des condamnĂ©s au Moyen Ăge. Hum, moins mignon du coupâŠAujourdâhui, la place du Vieux-MarchĂ© est au cĆur de lâanimation de compte de nombreux restaurants, dont La Couronne, remontant au XIVe siĂšcle, et rĂ©putĂ©e ĂȘtre la plus vieille auberge de France ! Jâai testĂ©, approuvĂ©, et jâen parle plus bas justement⊠đA deux pas, rue de la Pie, la maison-musĂ©e Pierre Corneille est installĂ© dans la maison natale du poĂšte, auteur du Cid. On y trouve quelques gravures et son cabinet de gratuit, câest une jolie maisons Ă colombages, alors nâhĂ©sitez pas Ă entrer voir ! đĂglise Sainte-Jeanne-dâArcLâĂ©glise Sainte-Jeanne-dâArc, inaugurĂ©e en 1979, possĂšde une forme de bateau toiture est recouverte dâĂ©cailles en ardoise, Ă©voquant les drakkars vikings !Elle incorpore les vitraux Renaissance de lâancienne Ă©glise St-Vincent, malheureusement dĂ©truite par un bombardement en idĂ©e de recyclage, nâest-ce pas ? đ Place de la Pucelle et hĂŽtel de BourgtherouldeA lâangle sud-est de la place du Vieux-MarchĂ© Ă Rouen, allez dĂ©couvrir la place de la Pucelle sic.On y trouve des maisons anciennes, et surtout le superbe hĂŽtel de Bourgtheroulde prononcez boutroude », un superbe hĂŽtel particulier qui accueille dorĂ©navant⊠un hĂŽtel de standing. NâhĂ©sitez pas Ă entrer dans la cour, câest vraiment beau ! Faites comme moi, admirez les dĂ©tails des bas-reliefs Renaissance ! đ Empruntez ensuite la rue du Gros-Horloge, le principal axe commercial piĂ©ton du le chocolatier Auzou, Ă lâangle de la rue de la VicomtĂ©, vous pourrez acheter des larmes de Jeanne dâArc », des amandes enrobĂ©es de chocolat, spĂ©cialitĂ© de la maison ! miam ! đGros-HorlogeLe Gros-Horloge, immense cadran Ă aiguille unique datant du XIVe siĂšcle, est lâimage emblĂ©matique de est encastrĂ© depuis 1527 dans une arche Renaissance qui enjambe la rue trĂšs commerçante du mĂȘme nom. Lâhorloge est toujours fonctionnelle ! On peut en visiter lâintĂ©rieur, et dĂ©couvrir les mĂ©canismes, les cloches municipales. Ce dernier est complĂ©tĂ© par un semainier » et les phases de la peut admirer une belle vue sur la ville depuis la terrasse du beffroi adjacent, avec vue imprenable sur la façade de la cathĂ©drale⊠quand il fait beau !Avant de poursuivre vers la cathĂ©drale, faite un crochet Ă gauche par la rue Massacre ! jusquâau magnifique palais de justice. Palais de justice de RouenLe palais de justice de Rouen est abritĂ© dans un splendide Ă©difice de la premiĂšre Renaissance, qui accueillait le Parlement de Normandie. Il nâest pas Ă©vident Ă visiter, mais vous pouvez tenter votre chance durant les pĂ©riodes creuses de lâactivitĂ© judiciaire, comme durant lâ cĂŽtĂ©s nord et ouest, on voit encore sur les façades les impacts dâobus datant de 1944⊠et les immeubles dâaprĂšs-guerre qui entourent le palais de justice. Tout le quartier a hĂ©las Ă©tĂ© ravagĂ© en avril vers la rue du Gros-Horloge par la rue Thouret, face Ă la cour du palais de de la cathĂ©draleLa place offre une vue sur la magnifique cathĂ©drale Notre-Dame, Ă la façade la plus large de fut reprĂ©sentĂ©e par Monet par tous les temps ! Hum, il a du avoir plus de mal pour la peindre au soleil⊠Bon dâaccord, je suis mauvaise langue !En face, lâancien bureau des Finances, un Ă©lĂ©gant Ă©difice Renaissance de 1510, abrite lâoffice de tourisme de sur cette place que se tient le petit marchĂ© de NoĂ«l, que nous avons eu lâoccasion de dĂ©couvrir, en se gelant bien par des tempĂ©ratures nĂ©gatives ! Ăa tombe bien, lâanimation de NoĂ«l se nomme Rouen givrĂ©e » ! HĂ©las, une partie de la place fut dĂ©truite lors des bombardements de 1944. Elle nâest pas trĂšs grande par rapport Ă la taille de la cathĂ©drale, on manque de recul !CathĂ©drale Notre-Dame de RouenLa cathĂ©drale Notre-Dame de Rouen est selon moi une des plus belles cathĂ©drales en possĂšde une tour lanterne qui culmine Ă 51 mĂštres sous fut prestement rebĂąti et Ă©tendu aprĂšs le violent incendie qui le dĂ©truisit en versĂ© par Jean sans Terre, duc de Normandie et accessoirement roi dâAngleterre aida considĂ©rablement !Lâhistoire de la cathĂ©drale ne fut pas de tout repos ! Il y eut la guerre de Cent Ans, qui marqua fortement la ville par lâOccupation un nouvel incendie en 1514, suivies des dĂ©gradations des calvinistes. Puis un ouragan en 1683, puis la RĂ©volution, puis lâincendie de la flĂšche en 1822 !Elle fut reconstruite en fonte, provoquant un psychodrame entre partisans et opposants Ă la modernitĂ© du matĂ©riau !Il y eut enfin la tragique nuit du 19 avril 1944 durant un bombardement AlliĂ©, sept torpilles ont frappĂ© la cathĂ©drale, qui faillit ĂȘtre dĂ©truite. Une longue restauration lui a heureusement rendu tout son adorĂ© contempler sa belle façade de style gothique flamboyant et cette incroyable dentelle de pierre ! Je comprends Monet et sa de la cathĂ©drale La façade de la cathĂ©drale de Rouen est encadrĂ©e de deux tours Ă gauche la tour Saint-Romain, plutĂŽt dĂ©pouillĂ©e ; et Ă droite la belle tour du beurre, magnifique oeuvre gothique pourquoi le beurre, si normand ? Et bien les fidĂšles Ă©taient autorisĂ©s Ă en consommer durant le CarĂȘme⊠à condition de payer une taxe pour financer sa construction ! Et oui, pour lâĂ©glise, business is business, ça compte !A quand une taxe pour ne pas respecter confinement et couvre-feu ? Et bien nâoubliez pas quâĂ lâĂ©poque, ces indulgences » choquantes ont menĂ© tout droit Ă la RĂ©forme protestante ! đBon, lĂ je vous lâai montrĂ©e au soleil, mais rassurez-vous, vous la verrez plutĂŽt comme ça⊠đBon comme Monet, ça permet des variations dâimpressionsâŠIntĂ©rieur de la cathĂ©drale de Rouen La nef de la cathĂ©drale de Rouen compte onze travĂ©es, couvertes de belles voĂ»tes sexpartites levez les yeux, vous comprendrez mieux !. Le chĆur est remarquable par ses le dĂ©ambulatoire, on peut observer des premier, cĂŽtĂ© sud, est celui de Richard CĆur de Lion, roi dâAngleterre et duc de Normandie. Son cĆur est inhumĂ© ici Ă©mouvant, mais on nâen fera quand mĂȘme pas un fromage, hum.La chapelle axiale, dite chapelle de la Vierge, fermĂ©e par une grille, renferme deux beaux monuments. On voit Ă droite, le tombeau des cardinaux dâAmboise. Et Ă gauche le tombeau de Louis de BrĂ©zĂ©, sĂ©nĂ©chal de Normandie, Ă©poux de Diane de Poitiers la maĂźtresse du roi de France Henri II⊠et donc premier cocu de France ! aĂŻeLa quatriĂšme chapelle abrite les deux plus vieux vitraux de la cathĂ©drale, datant du XIVe siĂšcle, dits les belles verriĂšres ». Dans le transept nord, remarquez le magnifique escalier des libraires, du XVe de lumiĂšreLâĂ©tĂ©, en principe du 1er juin au 15 septembre, la façade de la cathĂ©drale est mise en lumiĂšre, Ă lâimage dâAmiens ou de spectacle cathĂ©drale de lumiĂšre , gratuit, est projetĂ© deux fois par soirĂ©e, tous les jours horaire variable selon le mois. Le thĂšme est renouvelĂ© pĂ©riodiquement lâImpressionnisme, Jeanne dâArc ou encore Guillaume le ConquĂ©rantâŠRue Saint-RomainLa rue Saint-Romain est une des plus belles rues du vieux Rouen. Elle est bordĂ©e de maisons Ă pans de bois du XVe au XVIIIe lâaxe de la rue, on admire la flĂšche de lâĂ©glise cĂŽtĂ© sud de la rue, le portail des Libraires est un pur joyau du gothique fut Ă©difiĂ© pour donner aux chanoines un accĂšs direct Ă la cathĂ©drale depuis la rue on peut pĂ©nĂ©trer dans une cour donnant sur un des cĂŽtĂ©s du palais Saint-MaclouLâĂ©glise Saint-Maclou de Rouen est un vĂ©ritable joyau de lâart gothique flamboyant le plus pur ! Elle fut Ă©rigĂ©e entre 1437 et façade offre un Ă©tonnant grand porche Ă cinq arcades disposĂ©es en Ă©ventail, surplombant un portail central aux portes dotĂ©es de splendides vantaux Renaissance. Admirez cette dentelle de pierre !Ă lâintĂ©rieur, on remarque le joli buffet dâorgues 1521 parĂ© de boiseries Renaissance, la tour lanterne et les nâest hĂ©las, ouverte uniquement que les samedis, dimanches et lundis ! Sur la place BarthĂ©lĂ©my, qui forme parvis de lâĂ©glise, notez la maison qui penche ! AĂźtre Saint-MaclouLâaĂźtre Saint-Maclou est un endroit pour le moins insolite de Rouen !Ce bel ensemble du XVIe siĂšcle est un vestige des charniers de pestifĂ©rĂ©s du Moyen Ăge pas encore les covideux !Il abrite aujourdâhui lâĂ©cole des Beaux-Arts quelle inspiration !LâaĂźtre Saint-Maclou du latin atrium, cour se compose dâune cour entourĂ©e de quatre galeries de bĂątiments Ă pans de bien ils sont sculptĂ©s dâattributs funĂ©raires danse macabre, frise composĂ©e de motifs de crĂąnes, tibias, outils de fossoyeurs⊠On y trouve mĂȘme un drĂŽle de chat ! Il aurait Ă©tĂ© retrouvĂ© lors de fouilles, mais ce serait une blague des Ă©tudiants des Beaux-Arts !La galerie orientale accueille des expositions temporaires. En 2021, on a pu y admirer de lâart macabre ! A la belle saison, vous pouvez mĂȘme manger ou boire en terrasse au cafĂ© Hamlet sic. 184-186, rue MartainvilleRue MartainvilleLa rue Martainville est bordĂ©e de nombreuses façades Ă pans de bois, datant du XVe au XVIIIe la jolie fontaine Renaissance, juste Ă lâangle de la façade de lâĂ©glise Saint-Maclou câest la version rouennaise du Manneken-Pis ! đUn peu plus loin, la place Saint-Marc accueille le marchĂ© Saint-Marc, oĂč vous trouverez les spĂ©cialitĂ©s culinaires normandes en principe les mardis, vendredis et samedis, toute la journĂ©e.Rue DamietteLa rue Damiette accueille les antiquaires de Rouen. BordĂ©e de maisons Ă colombages, elle offre une belle perspective sur la tour centrale de lâĂ©glise passant, jetez un coup dâĆil Ă droite dans lâimpasse des Hauts-Mariages, dâallure trĂšs mĂ©diĂ©vale ! On croise la rue dâAmiens, Ă©galement bordĂ©e de vieilles gauche, remarquez la belle façade de lâhĂŽtel dâĂtancourt. Cet hĂŽtel particulier du XVIIe siĂšcle possĂšde de grandes statues ornant sa reprĂ©sentent les dieux de lâOlympe et les quatre Ă©lĂ©ments. Aujourdâhui, on peut plus prosaĂŻquement y faire⊠un test Covid ! Rue Eau-de-RobecLa rue Eau-de-Robec est bordĂ©e de belles maisons Ă pans de y voit encore le Robec, un ruisseau franchi de nombreuses petites passerelles. Bon, en rĂ©alitĂ© le Robec est canalisĂ© dans Rouen, et câest une reconstitution du ruisseau quâon admire ici ! đObservez bien les greniers-Ă©tentes qui surmontent les maisons le Robec Ă©voque en effet lâactivitĂ© de ce quartier des des ancienne maison Ă pans de bois accueille le musĂ©e national de lâ pas Ă emprunter les passages entre la rue Eau-de-Robec et la rue des Faulx, qui longe le jardin de lâhĂŽtel de ville et lâabbatiale Saint-Ouen. Dans un dâeux, on voit la petite horloge, qui concurrence » le gros !On retrouve le vrai Robec au-delĂ du boulevard de Verdun, longĂ© en partie par une Saint-OuenLâabbatiale Saint-Ouen est un joyau du gothique rayonnant Ă Rouen, Ă©difiĂ© au XIVe proportions sont imposantes elle fait quasiment la taille de Notre-Dame de Paris ! LâĂ©glise est surtout cĂ©lĂšbre pour sa sĂ©rie de magnifiques vitraux, et pour son grand orgue de CavaillĂ©-coll, un des plus grands de lors dâun concert, ou de rĂ©pĂ©titions, est impressionnant ! Allez admirer le chevet de Saint-Ouen avec ses remarquables arcs-boutants, et sa belle tour-lanterne, depuis le jardin de lâhĂŽtel de ville !Au nord du jardin, la rue Saint-Nicaise aligne de belles maisons Ă pans de bois. Au sud, câest aussi le cas le long de la rue des des Faulx Ă RouenLâĂ©glise Saint-Nicaise, dĂ©saffectĂ©e, accueille dorĂ©navant⊠une brasserie estivale Ă©phĂ©mĂšre !Rue GanterieLa rue Ganterie aligne les demeures Ă pans de bois. Elle ramĂšne vers les principaux musĂ©es de des musĂ©esAutour du square Verdrel, se situent trois des principaux musĂ©es de Rouen le musĂ©e de Beaux-Arts, le musĂ©e de la CĂ©ramique au nord du square et le musĂ©e de la Ferronnerie Le Secq des Tournelles, dans une Ă©glise des beaux-artsMais je vous dĂ©taille ces lieux plus bas ! đSur la mĂȘme place que le musĂ©e Le Secq des Tournelles, lâĂ©glise Saint-Godard est, elle, toujours affectĂ©e au culte. Elle possĂšde toujours une belle sĂ©rie de vitraux Renaissance, nâhĂ©sitez pas Ă entrer voir !Au nord des musĂ©es, en remontant vers la gare, on trouve la tour Jeanne dâ lĂ que la Pucelle fut retenue prisonniĂšre avant son jugement en 1431. La tour ne se visite plus mais est devenue un lieu dâescape retourne sur la place du Vieux-MarchĂ©, par la rue des Bons Enfants puis la rue Cauchoise, bordĂ©e de nombreux de Seine Ă RouenLes quais de Seine Ă Rouen ont Ă©tĂ© copieusement bombardĂ©s par les AlliĂ©es au printemps 1944. Il ne reste donc plus grand chose dâancien, hormis la jolie halle aux toiles, rives de Seine ont Ă©tĂ© en partie amĂ©nagĂ©es pour la promenade ses derniĂšres annĂ©es. Elles offrent une balade sympathique au bord de lâeau durant les beaux jours mais si, ça arrive !Port de RouenLe port de Rouen, Ă lâouest du centre aprĂšs le pont Guillaume le ConquĂ©rant, devient un lieu branchĂ© de la ville. On y trouvait le panorama XXL fermĂ© depuis septembre 2021.Plusieurs bars y ont Ă©tĂ© amĂ©nagĂ©s dans les hangars du port Ă lâ pouvez longer les quais rive droite sur environ un kilomĂštre, jusquâau centre commercial Docks 76, juste avant le nouveau pont se situe le musĂ©e maritime et fluvial de Rouen, avec visite possible dâune pĂ©niche. A mi-chemin, une navette fluviale relie les deux rives de la ici que se dĂ©roule lâArmada de Rouen, grand rassemblement de superbes voiliers, en principe tous les quatre ou cinq ans depuis 1989 la prochaine en juin 2023.Au-delĂ , vous verrez les installations portuaires modernes. Sachez que le port de Rouen, Ă 110 km de la mer en suivant la Seine, est le 5e port maritime de France par son tonnage !Des visites commentĂ©es en bateau sont possibles Ă la belle des Plantes de RouenLe jardin des Plantes de Rouen sâĂ©tend sur une surface de 10 ha. Il offre un joli fleurissement en saison ainsi que des voliĂšres et des serres tropicales, avec nĂ©nuphars gĂ©ants dâ libre, av. des Martyrs de la RĂ©sistance, sur la rive gauche. AccĂšs par le tram, station Europe, ou plus facilement en Rouen en 2 ou 3 jours les musĂ©es de RouenVisiter Rouen en 2 jours, ou 3 jours permet de dĂ©couvrir ses riches onze musĂ©es municipaux de Rouen et de son agglomĂ©ration sont dorĂ©navant dâaccĂšs gratuit pour tous, hormis quelques expositions. Aucune excuse donc pour ne pas aller les visiter, dâautant quâils offrent de trĂšs belles collections trĂšs variĂ©es !Ils sont pour la plupart ouverts tous les jours sauf le mardi et les 1er janvier, 1er mai, 1er et 11 novembre et 25 dĂ©cembre. Mardi, vous pourrez visiter le musĂ©e des AntiquitĂ©s, le musĂ©um et le Gros-Horloge, qui eux ferment le lundi !Trois musĂ©es se situent dans le bien nommĂ© quartier des musĂ©es, autour du square Verdrel Beaux-Arts, CĂ©ramique et Le Secq des Tournelles. Le musĂ©e des AntiquitĂ©s et le musĂ©um se situent un peu plus au nord, rue Beauvoisine, Ă 400 mĂštres de Beaux-ArtsLe musĂ©e des Beaux-Arts de Rouen est vaste et riche de belles collections de dâailleurs le premier bĂątiment en France, au XIXe siĂšcle, Ă avoir Ă©tĂ© directement conçu pour accueillir un peinture française des XVIIe au XIXe siĂšcles est particuliĂšrement bien reprĂ©sentĂ©e, avec des Poussin, Fragonard, Ingres, GĂ©ricault⊠On y trouve aussi des icĂŽnes orthodoxes, ce qui est rare en France, un Caravage, un Rubens⊠Mais le point fort du musĂ©e est sa collection impressionniste, style apparu en Normandie avec un certain Claude Monet natif du Havre !Dâailleurs, il a Ă©galement fini sa vie dans la rĂ©gion, Ă Giverny, merveilleux village Ă dĂ©couvrir avec la souris ! đOutre plusieurs toiles de Monet, on peut admirer des Caillebotte, Renoir, ou encore Pissarro⊠Une salle est entiĂšrement consacrĂ©e Ă Jeanne dâArc, personnalitĂ© Ă©ternellement attachĂ©e Ă la ville. Le musĂ©e compte une soixantaine de salles oui, quand mĂȘme !Le musĂ©e est ouvert tous les jours sauf le mardi de 10 h Ă sur le site officiel du musĂ©e des Beaux-Arts de RouenMusĂ©e de la CĂ©ramiqueLe musĂ©e de la CĂ©ramique Ă Rouen est installĂ© dans lâhĂŽtel dâHocqueville, Ă©difiĂ© au XVIIe siĂšcle. Il prĂ©sente un panorama de la cĂ©lĂšbre faĂŻence rouennaise du XVIe au XXe siĂšcle, initiĂ©e en 1530 par le Rouennais MassĂ©ot musĂ©e est ouvert tous les jours sauf le mardi de 14h Ă sur le site officiel du musĂ©e de la CĂ©ramique de RouenMusĂ©e de la Ferronnerie Le Secq des TournellesLe musĂ©e de la Ferronnerie Le Secq des Tournelles est installĂ© dans lâancienne Ă©glise gothique Saint-Laurent. En voilĂ un cadre original ! đIl expose de trĂšs riches collections du IIIe au XXe siĂšcles, de petite taille comme des instruments de cuisine ou de chirurgie, jusquâaux enseignes, balcons et rampes dâescalier !Les objets sont classĂ©s par thĂ©matique. Câest la plus grande collection de ferronnerie ancienne au monde avec plus de piĂšces ! Je vous recommande dâaller voir, câest Ă©tonnant !Le musĂ©e ouvert tous les jours sauf le mardi de 14h Ă sur le site officiel du musĂ©e Le Secq des Tournelles Ă RouenMusĂ©e des AntiquitĂ©s et musĂ©um dâHistoire naturelle de RouenLe musĂ©e des AntiquitĂ©s de Rouen est installĂ© dans un ancien couvent du XVIIe offre de belles collections de lâĂ©poque gallo-romaine, avec la cĂ©lĂšbre mosaĂŻque de Lillebonne, des objets de la vie quotidienne, etc, des momies Ă©gyptiennes dont des momies de chats !, etc. Le Moyen Ăge et la Renaissance sont Ă©voquĂ©s grĂące Ă des vitraux, retables, chapiteaux dâĂ©glise, mobilierâŠLe musĂ©um de Rouen est installĂ© dans le bĂątiment adjacent, et partage la mĂȘme entrĂ©e 198, rue BeauvoisineLe musĂ©e des AntiquitĂ©s et le musĂ©um sont ouverts du mardi au samedi de 13h30 Ă 17h30 et le dimanche de 14h Ă sur le site officiel du musĂ©e des AntiquitĂ©s de Rouen et sur le site du musĂ©um de RouenMusĂ©e Flaubert et dâHistoire de la mĂ©decineLe musĂ©e Flaubert se situe dans un des pavillons de lâHĂŽtel-Dieu, oĂč naquit le cĂ©lĂšbre Ă©crivain Ă Rouen, son pĂšre Ă©tant petit musĂ©e Ă©voque lâhistoire de la mĂ©decine avec de nombreux instruments de torture mĂ©dicaux, des pots Ă pharmacie, etc. 51 rue Lecat, Ă 500 m Ă lâouest de la place du Vieux-MarchĂ©Visite virtuelle du musĂ©e par ici !MusĂ©e national de lâĂducationLe musĂ©e national de lâĂducation ou MunaĂ© » Ă Rouen est installĂ© dans une maison Ă pans de bois et Ă©tages Ă encorbellement, dite des Quatre Fils Ă©voque lâĂ©volution de lâĂ©ducation depuis le XVIe siĂšcle. Une classe de lâĂ©poque de Jules Ferry y a Ă©tĂ© reconstituĂ©e. Logique câest lui-mĂȘme qui a fondĂ© le musĂ©e ! đLes rĂ©serves musĂ©ales se situent rue de Bihorel et sont accessibles au public certains sâagit dâun musĂ©e national, comme son nom lâindique, et non municipal. Mais il est Ă©galement dâaccĂšs gratuit. Infos sur le site officiel du musĂ©e national de lâĂducationMusĂ©es de lâagglomĂ©ration de RouenQuatre autres musĂ©es vous accueillent gratuitement dans les autres villes de lâagglomĂ©ration de Rouen la Fabrique des savoirs Ă Elbeuf objets et animaux naturalisĂ©sla maison Pierre Corneille Ă Petit Couronne musĂ©e dĂ©diĂ© au poĂšte dans un manoir Ă pans de bois du XVIIe siĂšcle, avec jardin potagerle musĂ©e industriel de la Corderie Vallois Ă Notre-Dame-de-Bondeville ancienne manufacture de cordes dans un moulin industrielle Pavillon Flaubert Ă Croisset souvenirs de lâĂ©crivain dans le seule bĂątiment subsistant de sa propriĂ©tĂ©OĂč manger Ă Rouen les meilleures adresses de restaurants Rouen est une Ă©tape gastronomique de plus en plus rĂ©putĂ©e ! Votre souris prĂ©fĂ©rĂ©e a testĂ© quelques institutions de la ville, toutes dans le centre historique, et connues pour ĂȘtre de bonnes tables la Couronne rĂ©putĂ©e la plus ancienne auberge de France, depuis 1345 !, le 6e sens, et les pâtits adresses sont en effet trĂšs recommandables si votre budget le permet ! đJâai Ă©galement dĂ©gustĂ© quelques spĂ©cialitĂ©s ethniques la maison turque vous aurez devinĂ© de quelle cuisine il sâagit !, la rose des sables marocainâŠVous gouterez ici de bons plats Ă prix plus accessible Ă toutes les bourses. Mais je vous dĂ©taille bientĂŽt tout ça dans un article dĂ©diĂ© ! đOĂč dormir Ă RouenPour ma part, Ă chaque visite, jâai privilĂ©giĂ© une chambre ou un studio lĂ©gĂšrement en dehors du centre, venant en voiture. Il suffit ensuite de stationner gratuitement autour des boulevards encadrant le centre historique voir plus haut.Si vous venez en train, privilĂ©giez un appartement ou un hĂŽtel dans le Vieux Rouen vous pourrez aisĂ©ment tout faire Ă pied ! đQue faire Ă Rouen quand il pleutIl arrive quâil pleuve Ă Rouen hum. Si, si, je vous assure ! đRouen est la grande ville la moins ensoleillĂ©e de France avec 1557 h par an, devant Lille et Rennes !Bon, il pleut largement plus en quantitĂ© Ă Besançon, Brest et surtout Biarritz le record de France, et oui !. Mais Rouen totalise quand mĂȘme 134 jours pluvieux par an en moyenne, dans le top 5 françaisâŠAlors oĂč aller Ă Rouen quand il pleut ? Le jour de pluie est le moment idĂ©al pour parcourir les trĂšs belles collections des musĂ©es de principaux musĂ©es sont concentrĂ©s au nord-ouest du Vieux Rouen, pas loin de la gare. De plus, les collections permanentes sont gratuites pour tous, donc aucune raison de ne pas en profiter !A cĂŽtĂ© de la cathĂ©drale, lâHistorial Jeanne dâArc, ouvert en 2015, vous permet de connaĂźtre la parcours de la Pucelle dâOrlĂ©ans » avec une animation son et lumiĂšre. Un jour pluvieux est idĂ©al ! đIl nâexiste pas vraiment de grand centre commercial en centre-ville. Le plus proche et rĂ©cent est le centre commercial Docks 76, situĂ© en bord de Seine, Ă environ un kilomĂštre Ă lâouest du Vieux Rouen. On y trouve Ă©galement un le centre Saint-Sever, Ă cĂŽtĂ© de lâĂ©glise Ă©ponyme sur la rive-gauche Ă Rouen, concentre les enseignes habituelles des centres de la souris sur RouenFaut-il visiter Rouen ? PâtĂȘt ben quâoui, pâtĂȘt ben quânon ! đCapitale dâune rĂ©gion française ultra-touristique et aux clichĂ©s tenaces, Rouen est une ville finalement relativement mĂ©connue des rĂ©putation de ville industrielle un peu triste cache en rĂ©alitĂ© un trĂšs riche patrimoine, de beaux musĂ©es variĂ©s, et un paysage urbain ponctuĂ© de centaines de maisons Ă pans de bois le long de rues plus, lâoffre de restauration Ă Rouen, un peu limitĂ©e il y a dix ou vingt ans, sâest nettement Ă©toffĂ©e depuis. On y trouve plusieurs trĂšs bonnes tables ainsi quâun nombre croissant de bars et divers petits restos ethniques ».Bref, sur la route des plages de la CĂŽte Fleurie, ou pour un week-end, profitez-en pour vite dĂ©couvrir la capitale normande ! đQue voir aux alentours de RouenBasse vallĂ©e de la SeineRouen se situe dans la vallĂ©e aval de la Seine, plus ou moins Ă mi-chemin de Paris et du peut donc profiter dâune visite Ă Rouen pour dĂ©couvrir les abbayes du val de Seine, comme Saint-Georges-de-Boscherville ou Havre patrimoine mondial de lâUNESCOLe Havre Ă©voque plus une terne ville portuaire reconstruite quâun lieu touristique ! Mais la ville mĂ©rite une visite pour son architecture innovante dâaprĂšs-guerre, son Ă©tonnante Ă©glise et son remarquable musĂ©e ville a Ă©tĂ© listĂ©e au patrimoine mondial de lâ Sainte-Catherine Ă HonfleurFace au Havre, en traversant le pont de Normandie, vous ne manquerez pas le charmant petit port de Honfleur, avec ses nombreuses maisons anciennes Ă pans de voir, que visiter, que faire Ă Honfleur en 1 ou 2 joursLyons-la-ForĂȘtA lâest de Rouen, Lyons-la-ForĂȘt est un des plus beaux villages de France, largement construit en pans de bois. Il se situe au cĆur dâune belle hĂȘtraie, la forĂȘt de Lyons, propice Ă la proximitĂ©, allez voir Ry, le cĂ©lĂšbre village de madame Bovary, restĂ© typiquement chĂąteau de Martainville, qui abrite le musĂ©e des arts et Traditions populaires normands, mĂ©rite un dĂ©tour, de mĂȘme que lâabbaye de dâAlbĂątreEnfin il est aisĂ© depuis Rouen dâaccĂ©der au littoral du pays de Caux, nommĂ© la cĂŽte dâ de la falaise dâAmont Ă FĂ©campNâhĂ©sitez pas Ă dĂ©couvrir Dieppe, ses falaises, ses restos sur les quais et son superbe chĂąteau-musĂ©e, FĂ©camp et son palais de la BĂ©nĂ©dictine on y fabrique la fameuse liqueur.Maison normande Ă Veules-les-RosesOu encore Veules-les-Roses, charmant village cĂŽtier le long de la Veules, le plus court fleuve de France avec Ă peine un kilomĂštre de long ! Câest aussi un des plus beaux villages de France, le seul portant le label en Veules-les-Roses avec la souris ! đEt bien sĂ»r, visitez lâincontournable Ătretat, ses falaises de craie, son aiguille qui nâest pas creuse et son Ă©lĂ©phant plongeant sa trompe dans la mer » ! đPoursuivez votre balade en Normandie avec la souris et dĂ©couvrez Cherbourg et le nord du Cotentin !La"semaine rouge" d'Avril 1944. Bravo ! l'U.S Quevilly et merci RĂšgis. La Familia fĂȘte ses 15 ans ! jeudi 15 avril 2010. Et on aurait tendance Ă dire "seulement" tant la Familia fait partie des murs de cette ville « LA FAMILIA La fiesta des 15 ans » le vendredi 23 avril. Vendredi 23 avril, Ă 20 heures Ă l'Exo 7 - 13 place des chartreux - agglo de Rouen. RĂ©digĂ© Ă 10:15 dans
From Wikimedia Commons, the free media repository Jump to navigation Jump to search Place du 19-Avril-1944 Upload mediaInstance ofsquarePart ofQ109659980LocationRouen, arrondissement of Rouen, Seine-Maritime, Normandy, Metropolitan France, France49° 26âČ 36âł N, 1° 05âČ 38âł EAuthority control Q109018417OpenStreetMap relation ID 13465109Reasonator âą Scholia âą PetScan âą statistics âą WikiMap âą Locator tool âą KML file âą WikiShootMe âą OpenStreetMap âą Search depicted Media in category "Place du 19-Avril-1944 Rouen" The following 8 files are in this category, out of 8 total. Place 19 Avril 1944 - Rouen FR76 - 2021-11-14 - 4,032 Ă 3,024; MB Place 19 Avril 1944 - Rouen FR76 - 2021-11-14 - 4,032 Ă 3,024; MB Place du 19 avril 1944 3,056 Ă 2,292; MB Place du 19 avril 1944 3,056 Ă 2,292; MB Place du 19 avril 1944 3,264 Ă 2,448; MB Plaque Place 19 Avril 1944 - Rouen FR76 - 2021-11-14 - 3,170 Ă 1,747; MB Plaque Place 19 Avril 1944 - Rouen FR76 - 2021-11-14 - 4,032 Ă 3,024; MB Rouen 2,448 Ă 3,264; MB Retrieved from " Categories Squares in RouenStreets in Rouen by nameMonuments and memorials in RouenNon-topical/index Uses of Wikidata InfoboxUses of Wikidata Infobox with mapsPages with mapsRendezvous Ă 18 h, devant le bar Les Floralies, place du 19 avril 1944, Ă Rouen. DurĂ©e : 2 h. * Corinne Bouteleux est mĂ©diatrice culturelle Ă La cathĂ©drale de Rouen fait partie des grandes cathĂ©drales de France avec celles d'Amiens, Paris, Chartres, Reims et Bourges. Mais celle de Rouen a failli ne pas survivre Ă la derniĂšre guerre mondiale. Comme tout grand ensemble architectural presque millĂ©naire, elle possĂšde deux ou trois points d'attraction qui mĂ©ritent vraiment de la connaĂźtre. L'histoire commence dĂšs le IVe siĂšcle avec la construction d'un groupe cathĂ©dral au centre de la citĂ© c'est une affirmation politique de l'importance de la nouvelle religion d'ordinaire les grands Ă©difices chrĂ©tiens Ă©taient bĂątis sur les tombes des martyrs, toujours enterrĂ©s Ă l'extĂ©rieur des villes. Ă ce groupe cathĂ©dral palĂ©ochrĂ©tien succĂšde une cathĂ©drale romane. Sa construction commence dans les annĂ©es 1020. L'Ă©difice est consacrĂ© en 1063, en prĂ©sence du duc Guillaume, le futur ConquĂ©rant. Sans doute inspirĂ© par le gothique naissant de la cathĂ©drale Saint-Denis, l'archevĂȘque Hugues d'Amiens, vers le milieu du XIIe siĂšcle, commence la modification de son Ă©glise mĂ©tropolitaine la tour Saint-Romain s'Ă©lĂšve Ă partir de 1145. Et L'archevĂȘque Gautier le Magnifique fait abattre la nef romane en 1185. Les premiĂšres travĂ©es gothiques peuvent enfin s'Ă©lever. En 1200, un gigantesque incendie, qui dĂ©truit le quartier et une bonne partie de l'Ă©difice roman, en accĂ©lĂšre la transformation. De plus, le roi Jean sans Terre offre une grosse somme pour la reconstruction. En 1204, achevant la conquĂȘte de la Normandie, Philippe Auguste peut assister Ă un Te Deum dans la nef quasiment achevĂ©e. Dans la dĂ©cennie 1240, l'essentiel est construit la nef avec une Ă©lĂ©vation sur quatre niveaux ; le chĆur avec une Ă©lĂ©vation Ă trois niveaux. Suivront les chapelles latĂ©rales Ă partir de 1270, la chapelle d'axe au dĂ©but du XIVe siĂšcle, la façade occidentale, le cloĂźtre des chanoines, les portails du transept Libraires et Calende. AprĂšs la guerre de Cent Ans, le gothique flamboyant subit un coup de fouet ultime Ă©tage de la tour Saint-Romain et construction de la tour de Beurre. En 1562, la cathĂ©drale subit le sac des huguenots, dommageable pour le mobilier, mais sans suite pour le gros Ćuvre. Si la RĂ©volution l'Ă©pargne, la seconde guerre mondiale, en revanche, va faire des ravages voir l'encadrĂ©. Dans ce site, la cathĂ©drale Notre-Dame de Rouen est prĂ©sentĂ©e sur quatre pages. L'accent est mis sur les caractĂ©ristiques de l'Ă©difice, celles qui justifient une visite la magnifique chapelle axiale dĂ©diĂ©e Ă la Vierge, les vitraux des XIIIe, XIVe, XVe, XVIe et XXe siĂšcles ; enfin le surprenant appareil architectural en quillage dans les collatĂ©raux. Cette page est consacrĂ©e Ă l'architecture extĂ©rieure façade ouest et ses tours, transept et tour-lanterne. Vue d'ensemble de la nef de la cathĂ©drale de Rouen Le visiteur peut voir, dĂšs l'entrĂ©e, que l'Ă©lĂ©vation de la nef est Ă quatre niveaux. C'est la marque architecturale des cathĂ©drales de l'Ă©poque du gothique classique fin du XIIe siĂšcle. Le chĆur ne possĂšde que trois niveaux. La façade occidentale, en gothique flamboyant, de la cathĂ©drale se distingue par la prĂ©sence de deux contreforts encadrant le portail central et de quatre flĂšches pyramidales qui la surplombent. Le chevet de la cathĂ©drale et la tour-lanterne qui culmine Ă 151 mĂštres plus haute flĂšche de cathĂ©drale de France. La Vierge dorĂ©e de Nicolas Quesnel, 1541 domine le faĂźtage en plomb de la chapelle de la Vierge. - Ă GAUCHE Le cĂŽtĂ© sud du chĆur est obstruĂ© par des locaux utilisĂ©s par le chapitre de la cathĂ©drale sacristie des chanoines, revestiaire et chartrier. Maquette de la cathĂ©drale, visible dans une chapelle latĂ©rale. Longueur totale 137 mĂštres Hauteur de la flĂšche reconstruite au XIXe siĂšcle 151 mĂštres. Les trois portails de la façade occidentale. Partie centrale de la façade occidentale au-dessus des portails. Ă droite, l'Ă©lancement de la tour de Beurre. La partie centrale mĂȘle le foisonnement du gothique flamboyant, notamment dans les gables, et ce qui est plus traditionnel, dans les rangĂ©es de statues. RangĂ©e de statues sur la façade. Un clocheton au sommet de la façade Il faut y voir une influence anglaise. La façade occidentale de la cathĂ©drale de Rouen n'a pas l'harmonie de celle de Paris ou de Reims. Construite du XIIe au XVIe siĂšcle, elle se distingue par une irrĂ©gularitĂ© gĂ©nĂ©rale, issue des changements de plans, des arrĂȘts, des restaurations et des additions diverses. Un point la diffĂ©rencie des façades des autres cathĂ©drales les tours nord et sud ne font pas bloc avec l'ensemble voir plus bas. Ce fut vers les annĂ©es 1180-1190 que l'on commença la construction des trois portails. Interrompue par l'incendie de l'an 1200, elle reprit avec force dĂ©corations, colonnettes et statues. Les tympans des portails nord et sud, qui illustrent l'histoire de saint Jean-Baptiste et celle de la lapidation de saint Ătienne, sont du troisiĂšme quart du XIIIe siĂšcle. Quant au portail central, il fut dĂ©truit au tout dĂ©but du XVIe siĂšcle. Pour des raisons de robustesse de la façade, on dĂ©cida de bĂątir deux puissants contreforts dans le prolongement des grandes arcades de la nef. Ces contreforts, de forme pyramidale, furent amplement dĂ©corĂ©s des niches y abritaient des rangĂ©es de statues surmontĂ©es de dais et de clochetons, le tout ciselĂ© dans l'art du gothique finissant. La rĂ©cente restauration terminĂ©e en 2015 met bien en Ă©vidence toute cette luxuriance, bien que la rangĂ©e basse des statues ait disparu. L'Arbre de JessĂ© de Pierre des Aubeaux, orne le tympan, lui-mĂȘme entourĂ© d'une riche archivolte consacrĂ©e aux prophĂštes, aux sibylles et aux patriarches. Toutes les parties hautes de la façade, telles qu'on les voit dans la photo ci-dessus, datent de la fin du XIVe siĂšcle et du dĂ©but du XVe. Exception faite pour le gĂąble, trĂšs Ă©lancĂ©, qui domine le portail principal et qui a le malheur de cacher en partie la rose flamboyante il date de 1514. Notons enfin l'un des signes distinctifs de la façade de la cathĂ©drale de Rouen ce sont les quatre clochetons trĂšs ajourĂ©s, en forme de pyramide, qui surplombent la partie centrale. On a pu montrer l'influence anglaise des grandes cathĂ©drales de Wells, Lichfield et Salisbury dans leur dessin. Ces clochetons furent conçus, au XIVe siĂšcle, par le maĂźtre d'Ćuvre Jean PĂ©rier qui connaissait l'art anglais. Source CongrĂšs archĂ©ologique de France, 89e session tenue Ă Rouen en 1926, article La cathĂ©drale de Rouen par Marcel Aubert. LE CENTRE DE LA FAĂADE OCCIDENTALE LE PORTAIL SAINT-ROMAIN ET L'ARBRE DE JESSĂ Le tympan avec son Arbre de JessĂ© et l'archivolte du portail central de la cathĂ©drale de Rouen. Ă gauche et Ă droite les contreforts de la façade ornĂ©s de statues posant sous leur dais. Photographie prise aprĂšs la restauration de la façade qui s'est terminĂ©e en juin 2015. ScĂšnes bibliques et personnages dans les Ă©brasements du portail central. LE NORD DE LA FAĂADE OCCIDENTALE LE PORTAIL SAINT-JEAN Le portail nord de la façade occidentale, dĂ©diĂ© Ă saint Jean-Baptiste. Le portail Saint-Jean est remarquable par les voussures de son archivolte. On quitte ici les sĂ©ries habituelles de statues de rois ou de prophĂštes pour faire place Ă la dentelle de pierre - au sens propre. Les quatre voussures de l'archivolte sont ornĂ©es, alternativement, de dessins gĂ©omĂ©triques percĂ©s Ă l'archet suivant l'habitude normande et de feuilles dĂ©coupĂ©es et refouillĂ©es, bien dĂ©tachĂ©es de leur fond. La dentelle de pierre brille ici d'un Ă©clat extraordinaire. De plus, la base des deux voussures Ă feuilles, au nord, est enrichie de bustes d'un style trĂšs sĂ©duisant. Le tympan troisiĂšme quart du XIIIe siĂšcle illustre des scĂšnes de la vie de saint Jean-Baptiste banquet d'HĂ©rode, danse de SalomĂ©, dĂ©collation et offrande du chef de saint Jean de SalomĂ© Ă HĂ©rodiade. Le registre supĂ©rieur illustre l'ensevelissement de saint Jean-Baptiste. Sources 1 CongrĂšs archĂ©ologique de France, 89e session tenue Ă Rouen en 1926, article La cathĂ©drale de Rouen par Marcel Aubert ; 2 Haute-Normandie gothique par Yves Bottineau-Fuchs, Ă©ditions Picard. Le tympan entre 1250 et 1275 et les magnifiques voussures du portail Saint-Jean. Les bustes Ă la base des voussures nord. Portail Saint-Jean. Le bourreau qui dĂ©capite le saint a un aspect nĂ©groĂŻde affirmĂ©. Base des colonnettes dans l'Ă©brasement nord du portail Saint-Jean fin du XIIe - dĂ©but du XIIIe siĂšcle. Ăbrasement sud du portail Saint-Jean fin du XIIe - dĂ©but du XIIIe siĂšcle. LE PORTAIL OCCIDENTAL NORD SAINT-ĂTIENNE Le portail Saint-Ătienne porte sud de la façade principale est d'allure plus classique, avec un thĂšme floral dans les voussures de l'archivolte. Le tympan illustre la lapidation de saint Ătienne troisiĂšme quart du XIIIe siĂšcle. La dĂ©coration de cette porte a Ă©tĂ© trĂšs mutilĂ©e au XVIIe ou au XVIIIe siĂšcle. Le portail des Libraires, sur la façade du transept nord, a Ă©tĂ© construit Ă peu prĂšs dans le mĂȘme temps que celui du transept sud fin du XIIIe, dĂ©but du XIVe siĂšcle. Le dĂ©cor a Ă©tĂ© conçu par Jean Davy. Sur la photo de droite, on voit une construction architecturale belle et Ă©quilibrĂ©e, faite de gĂąbles et de rosaces, qui est en fait inspirĂ©e du transept de la cathĂ©drale Notre-Dame de Paris voir plus bas. Le portail est entourĂ© de bĂątiments il s'agit de la bibliothĂšque des chanoines construite par Guillaume Pontifs Ă partir de 1477. Elle sera reliĂ©e Ă la cathĂ©drale, dĂšs 1479, par le bel escalier, bĂąti par le mĂȘme architecte, et que l'on voit dans le transept nord de l'Ă©difice. La cour abrita d'abord des changeurs, puis des libraires. Les chanoines percevaient ainsi des droits sur les emplacements qu'ils louaient. Ils finirent par y Ă©difier des petites maisons de rapport. Source La cathĂ©drale Notre-Dame de Rouen, Ă©ditions du Patrimoine. Le portail sud de la façade occidentale est dĂ©diĂ© Ă saint Ătienne. LE PORTAIL DES LIBRAIRES TRANSEPT NORD Le trĂšs Ă©lĂ©gant portail des Libraires et la cour des Libraires. -Ă GAUCHE La Lapidation de saint Ătienne dans le tympan du portail sud de la façade occidentale. Le registre supĂ©rieur reprĂ©sente un Christ en majestĂ© dans une mandorle. Le bas du tympan du portail des Libraires fin du XIIIe, dĂ©but du XIVe siĂšcle. Le registre du bas illustre la rĂ©surrection des morts qui sortent de leurs tombeaux par milliers. Au-dessus, les justes sont sĂ©parĂ©s des damnĂ©s. Un chaudron infernal est sculptĂ© sur la droite. La partie supĂ©rieure, qui n'a jamais Ă©tĂ© sculptĂ©e, aurait dĂ» reprĂ©senter un Christ en majestĂ©. LE PORTAIL DE LA CALENDE TRANSEPT SUD Le portail de la Calende et le transept sud. Statue d'un apĂŽtre dans un contrefort du portail de la Calende. Le portail de la Calende obĂ©it au mĂȘme principe architectural que celui des Libraires une porte avec tympan et archivolte surmontĂ©e d'un gĂąble ajourĂ©, assez pentu ; derriĂšre le gĂąble se tient une grande fenĂȘtre Ă claire-voie portant une rose, surmontĂ©e elle aussi d'un gĂąble. C'est le profil créé Ă la cathĂ©drale de Paris. On notera toutefois une diffĂ©rence entre les deux portails des transepts dans le portail de la Calende, le dessus de la grande rose est ornĂ© d'un groupe sculptĂ© reprĂ©sentant le Couronnement de la Vierge. Cette Ćuvre, donnĂ©e ci-dessous Ă gauche, est trĂšs Ă©limĂ©e. Sur le trumeau se tient le Christ qui est accompagnĂ©, dans les Ă©brasements et les contreforts de droite et de gauche, des apĂŽtres et des premiers diacres. Les voussures sont peuplĂ©es d'anges, de prophĂštes et de martyrs. Le magnifique tympan, intact, mais trĂšs usĂ© par les ans, illustre le MystĂšre pascal. Le registre mĂ©dian comprend les scĂšnes de la Passion baiser de Judas, Christ aux outrages, retrait des vĂȘtements et Mise au tombeau. Celui du bas accueille une RĂ©surrection et une Ascension. Enfin, le registre supĂ©rieur couronne le tout avec une Crucifixion trĂšs riche en personnages. Source La cathĂ©drale Notre-Dame de Rouen, Ă©ditions du Patrimoine. Le tympan du portail de la Calende. En haut, la Crucifixion. Au milieu des scĂšnes de la Passion. En bas, RĂ©surrection et Ascension. La cathĂ©drale dans la seconde guerre mondiale. En 1938, dĂšs la crise de Munich, un plan global de protection fut mis au point. Les Ă©chafaudages garnis de sacs de sables s'Ă©levĂšrent Ă l'extĂ©rieur et dans la chapelle de la Vierge. Les vitraux anciens c'est-Ă -dire Ă l'exclusion de ceux du XIXe siĂšcle furent mis en caisse et expĂ©diĂ©s au donjon de Niort. Les Allemands entrent dans la ville le 9 juin 1940. Un bref combat de chars entraĂźne un incendie entre la cathĂ©drale et les quais de la Seine. Le feu gagne l'Ă©chafaudage de bois installĂ© autour de la tour de Beurre et se propage aux combles du collatĂ©ral sud. Charpentes et toitures sont dĂ©truites. Il faut rĂ©parer et restaurer. L'entreprise Lanfry, chargĂ©e de la tĂąche, achĂšve l'ouvrage Ă la fin de 1941. En avril 1944, en prĂ©paration du dĂ©barquement de Normandie, la RAF veut dĂ©truire le nĆud ferroviaire et la gare de triage prĂšs de Sotteville-les-Rouen. Comme Ă Nevers au mois de juin suivant ce qui sera fatal Ă la cathĂ©drale Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte, l'aviation anglaise va largement dĂ©border de son objectif et bombarder des zones situĂ©es Ă plusieurs kilomĂštres de sa cible. Dans la nuit du 18 au 19 avril, le cĆur historique de Rouen est gravement touchĂ© lors d'un raid des bombardiers alliĂ©s. Cinq bombes et torpilles frappent presque Ă mort la cathĂ©drale. C'est d'abord le collatĂ©ral sud qui reçoit deux engins explosifs toutes les chapelles latĂ©rales sud sont dĂ©truites Ă l'exception de la chapelle Sainte-Catherine. Ses arcs-boutants ont rĂ©sistĂ© et, par chance, ils vont rĂ©ussir Ă contenir la poussĂ©e des voĂ»tes de la nef et empĂȘcher la chute du mur gouttereau dont les piliers ont pourtant Ă©tĂ© fragilisĂ©s par les explosions. Plus grave encore, une torpille vient frapper la pile sud-est de la croisĂ©e du transept. Ce qui endommage la pile voisine et projette des milliers d'Ă©clats alentour. L'effet de souffle pulvĂ©rise la rose nord du transept et dĂ©forme la rose sud. Une autre torpille vient frapper le dĂ©ambulatoire et dĂ©truit une partie des stalles. Spectacle de dĂ©solation des morceaux de piliers et de murs jonchent le sol par milliers, le mobilier est dĂ©truit, la vitrerie rĂ©duite en miettes, les murs sont trouĂ©s, les remplages soufflĂ©s. Les tours de la façade ne sont pas atteintes. Pour l'instant... Il y a pis la structure elle-mĂȘme du bĂątiment est menacĂ©e car la pile sud-est de la croisĂ©e, atteinte de plein fouet par une torpille, peut s'effondrer sous les huit mille tonnes de la tour-lanterne et de sa flĂšche. Il faut Ă©tayer sous la croisĂ©e de toute urgence. Jean-Pierre Chaline [cf source] nous apprend que, faute de madriers disponibles, les ouvriers de l'entreprise Lanfry s'en vont en pleine nuit ! dans la forĂȘt du Rouvray abattre les arbres nĂ©cessaires. Des cintres en bois, renforcĂ©s d'une maçonnerie de briques, soutiennent enfin les piles endommagĂ©es de la croisĂ©e. Sur le cĂŽtĂ© sud de la nef, le collatĂ©ral a Ă©tĂ© dĂ©truit. On implante des tirants mĂ©talliques dans les Ă©lĂ©vations pour soulager la pression de la voĂ»te sur les arcs-boutants de la chapelle Sainte-Catherine, seule chapelle sud Ă ĂȘtre encore debout. -»» 2/2 L'archange Saint Michel pĂšse les Ăąmes dans le gĂąble au-dessus de l'archivolte du portail. 2/2 -»» Puis vient la semaine rouge». Du 30 mai au 5 juin 1944, une sĂ©rie de bombardements frappe Rouen et sa pĂ©riphĂ©rie. Le soir du 1er juin, c'est le feu qui embrase la ville. La tour Saint-Romain est atteinte dans ses parties hautes. Charpente et toiture s'effondrent. Les cloches du beffroi tombent sur la voĂ»te... qui ne cĂšde pas. Le feu, attisĂ© par un vent violent, gagne les combles du collatĂ©ral nord et ceux de la nef. Mais Ă une hauteur que les lances des pompiers ne peuvent atteindre. Alors, c'est une chaĂźne humaine qui les remplace avec des seaux d'eau montĂ©s jusqu'au bas de la flĂšche. Dans la nuit, le vent se calme, ce qui permet enfin d'Ă©teindre l'incendie. Ă nouveau, en toute hĂąte, il faut consolider et Ă©tayer toutes les parties fragilisĂ©es. L'entreprise Lanfry est au four et au moulin, nous disent les sources. AprĂšs la guerre, c'est elle qui sera chargĂ©e des trĂšs nombreux travaux de rĂ©paration et de restauration. La cathĂ©drale ne sera rendue au culte qu'en 1956. La restauration de certaines parties de l'Ă©difice exigera encore plus de temps. Ainsi, le toit de la tour Saint-Romain ne sera achevĂ© qu'en 1987. Que se serait-il passĂ© si...? Si les secours n'avaient pas Ă©tĂ© aussi rapides, si les arcs-boutants de la chapelle Sainte-Catherine n'avaient pas Ă©tĂ© assez robustes, il est vraisemblable que toute la voĂ»te de la nef se serait Ă©croulĂ©e et, avec elle, le collatĂ©ral nord. La pile sud-est cĂ©dant sous le poids, la tour-lanterne se serait effondrĂ©e en dĂ©truisant le chĆur et le transept. N'auraient sans doute subsistĂ© de la cathĂ©drale de Rouen que la façade, ses deux tours et la chapelle de la Vierge... Notons, pour terminer, que la semaine rouge» vit la destruction de quelques grands Ă©difices publics rouennais, comme la bourse, le théùtre des Arts et l'hĂŽtel des douanes. L'Ă©glise Saint-Vincent a, elle aussi, Ă©tĂ© totalement dĂ©truite. Ses vitraux Renaissance, heureusement mis en caisse avant la guerre, ont Ă©tĂ© remontĂ©s dans la nouvelle Ă©glise Sainte-Jeanne d'Arc. Ils n'y sont pas tous. L'abside de la chapelle d'axe de la cathĂ©drale, dite chapelle de la Vierge, abrite quelques vitraux de Guillaume Barbe vers 1470 issus de Saint-Vincent. Sources 1 Rouen, Primatiale de Normandie, Ă©ditions La NuĂ©e Bleue, collection La GrĂące d'une cathĂ©drale», article La cathĂ©drale Ă l'Ă©preuve de la Seconde Guerre mondiale» de Jean-Pierre Chaline ; 2 Rouen, La reconstruction, ItinĂ©raire du Patrimoine. Flagellation, Passion et Mise au tombeau dans le tympan du portail de la Calende. LES TOURS DE LA FAĂADE OCCIDENTALE LA TOUR SAINT-ROMAIN NORD La tour Saint-Romain 82 mĂštres de haut est la partie la plus ancienne de la cathĂ©drale. Son aspect la rapproche plus d'un beffroi que d'une tour d'un Ă©difice religieux. Ă l'origine, sa partie infĂ©rieure fut conçue comme partie intĂ©grante de l'enclos canonial. Les historiens la datent des annĂ©es 1150-1160. Sa succession de baies gĂ©minĂ©es, qui s'agrandissent Ă mesure que l'Ă©tage s'Ă©lĂšve, conserve un petit air roman. Enfin, la partie supĂ©rieure, que l'on distingue trĂšs facilement grĂące au changement de couleurs elle n'a pas Ă©tĂ© restaurĂ©e rĂ©cemment, a Ă©tĂ© Ă©levĂ©e de 1469 Ă 1477 par Guillaume Pontifs qui construira juste aprĂšs la bibliothĂšque des chanoines. Cet Ă©tage, en gothique flamboyant, est surmontĂ© d'un toit en pavillon dĂ©truit en 1944 et reconstruit. Le dernier Ă©tage roman» accueille les cloches. Le carillon de la cathĂ©drale de Rouen est l'un des plus importants de France. Dans la salle basse de la tour Saint-Romain se trouve le baptistĂšre de la cathĂ©drale. Initialement, la tour Saint-Romain ne devait ĂȘtre rĂ©unie Ă la cathĂ©drale que par un pont de pierre, construit Ă plus de douze mĂštres au-dessus du sol. Ce pont donnait directement dans les tribunes de la nef nord. Comme les tribunes n'ont jamais Ă©tĂ© construites voir l'encadrĂ©, la porte qui reliait les deux bĂątiments a Ă©tĂ© bouchĂ©e, le passage transformĂ© en chapelle. Le vide entre les deux bĂątiments a, quant Ă elle, Ă©tĂ© bouchĂ© dĂšs la fin du XIIIe siĂšcle. Sources 1 CongrĂšs archĂ©ologique de France, 89e session tenue Ă Rouen en 1926, article La cathĂ©drale de Rouen par Marcel Aubert ; 2 La cathĂ©drale Notre-Dame de Rouen, Ă©ditions du Patrimoine. La tour Saint-Romain. Le niveau du bas en gris clair est du XIIe siĂšcle. Le niveau supĂ©rieur, en gothique flamboyant, a Ă©tĂ© ajoutĂ© au XVe siĂšcle. Le toit qui domine l'Ă©tage flamboyant a Ă©tĂ© dĂ©truit en juin 1944 et rebĂąti. La tour de Beurre et son gothique flamboyant fin du XVe siĂšcle. Statues d'Adam et Ăve sur la tour de Beurre CĂŽtĂ© ouest. Fin du XVe siĂšcle . La tour de Beurre 75 mĂštres de haut. Comme la tour nord de la cathĂ©drale de Bourges, elle doit son nom Ă l'argent collectĂ© par le chapitre auprĂšs des paroissiens qui devaient payer s'ils ne voulaient pas manger maigre pendant le CarĂȘme. Cette tour, de style gothique flamboyant, est nettement postĂ©rieure Ă la tour Saint-Romain puisqu'elle a Ă©tĂ© construite par Guillaume Pontifs Ă partir de 1485. Ă l'origine, dans ce qui est maintenant le rez-de-chaussĂ©e de la tour, se trouvait la chapelle de la paroisse Saint-Ătienne-la-Grande-Ăglise en effet, la cathĂ©drale n'Ă©tait pas une paroisse, mais l'Ă©glise mĂ©tropolitaine de Normandie. Cette chapelle, qui semblerait remonter au Xe siĂšcle, occupait en fait un espace plus vaste c'Ă©tait le bas de la tour et les deux chapelles latĂ©rales sud attenantes, espace auquel il faut encore ajouter les deux travĂ©es du collatĂ©ral sud qui bordent ces chapelles. En 1496, un accord eut lieu entre les trĂ©soriers de la paroisse Saint-Ătienne et le chapitre de la cathĂ©drale le rez-de-chaussĂ©e de la tour fut canoniquement dĂ©clarĂ© paroisse. Henri Potin, supĂ©rieur des Carmes de Rouen et collaborateur de l'archevĂȘque Georges Ier d'Amboise, vint bĂ©nir sa base architecturale afin d'en concrĂ©tiser la dĂ©dicace. Ă la RĂ©volution, cette paroisse fut supprimĂ©e et la cathĂ©drale prit le relais en une vaste paroisse, Notre-Dame-la-Grande-Ăglise. Revenons Ă la construction de la tour de Beurre et suivons ce qu'en dit le CongrĂšs archĂ©ologique de France tenu Ă Rouen en 1926. On savait que la chapelle Saint-Ătienne reposait sur un sol de mauvaise qualitĂ© et l'on hĂ©sitait Ă construire une tour au-dessus. Toutefois, en 1485, Guillaume Pontifs fit des sondages et informa le chapitre que l'on pouvait Ă©lever la tour sur de simples fondations. La construction commença, mais rapidement des tassements se produisirent, qui firent pencher vers le sud l'Ă©lĂ©vation dĂ©jĂ construite. Pontifs dut reprendre d'aplomb la construction. C'est son successeur, Jacques Leroux, qui termina les parties hautes. Ce qui donna d'ailleurs lieu Ă d'Ăąpres discussions avec le chapitre. En 1507, Leroux commença Ă Ă©lever une flĂšche, mais dut arrĂȘter au profit d'une couronne octogonale. Sur le plan ornemental, cette tour soulĂšve l'intĂ©rĂȘt par la prĂ©sence de grands contreforts enrichis de niches contenant de remarquables statues. Au deuxiĂšme Ă©tage, sur la face est, se trouve notamment illustrĂ©e la lĂ©gende de l'ara cĆli l'autel cĂ©leste une sibylle est interrogĂ©e par l'empereur Octavien pour savoir s'il doit ĂȘtre adorĂ© comme un dieu et si rien n'est plus puissant que lui dans le monde. La sibylle lui montre alors une vision cĂ©leste oĂč l'on voit la Vierge tenant un nouveau-nĂ©. Ce qui veut dire que ce nouveau-nĂ© est plus puissant que l'empereur. Et Octavien s'agenouille pour l'adorer. On retrouve, dans la pierre de la tour de Beurre, les personnages de cette lĂ©gende Octavien, deux de ses officiers, son fauconnier, son connĂ©table, la sibylle et sa servante. Les statues, groupĂ©es par deux dans leur niche, sont dominĂ©es par la Vierge et l'Enfant adossĂ©s Ă un remplage. La photo ci-dessous Ă gauche en donne une illustration globale. Sources 1 CongrĂšs archĂ©ologique de France, 89e session tenue Ă Rouen en 1926, article La cathĂ©drale de Rouen par Marcel Aubert ; 2 Rouen aux cent clochers de François Lemoine et Jacques Tanguy, Ă©ditions PTC. Les statues du deuxiĂšme Ă©tage, cĂŽtĂ© est, de la tour de Beurre. Elles illustrent la lĂ©gende de l'ara cĆli et de la sibylle de Tibur. Statues sur le cĂŽtĂ© ouest de la tour de Beurre. Fin du XVe siĂšcle. LA TOUR-LANTERNE Ă LA CROISĂE La tour-lanterne comporte trois niveaux. Le premier, qui n'est pas visible sur les photos de cette page, remonte au XIIIe siĂšcle c'est le niveau initial, celui par lequel les maçons ont commencĂ© pour Ă©difier la lanterne de la croisĂ©e. Ses ouvertures sont aveugles. L'Ă©tage au-dessus Ă©tage du bas dans la photo ci-dessous est de la mĂȘme Ă©poque. Il a Ă©tĂ© consolidĂ© par Roulland le Roux au dĂ©but du XVIe siĂšcle. Sur ces deux niveaux subsistent encore des traces de l'incendie de 1514. Le dernier Ă©tage gothique est l'Ćuvre de ce mĂȘme Leroux au dĂ©but du XVIe siĂšcle. Dans l'Ă©tage du XIIIe siĂšcle voir ci-dessous, on a deux arcades en tiers-point ; dans celui du XVIe, quatre arcades aux gĂąbles flamboyants, sĂ©parĂ©es par des piles, elles-mĂȘmes surmontĂ©es de pinacles. Le style Renaissance est dĂ©jĂ prĂ©sent les statues des angles sont nichĂ©es sous des dais dĂ©corĂ©s de coquilles ornementation typique de la Renaissance que l'on voit bien dans la photo ci-contre. En 1523, une premiĂšre flĂšche en bois fut Ă©levĂ©e sur le troisiĂšme niveau. Elle disparut dans l'incendie de 1822. Ă la suite de quoi, elle fut remplacĂ©e par la flĂšche en fonte d'Alavoine. Sources 1 CongrĂšs archĂ©ologique de France, 89e session tenue Ă Rouen en 1926, article La cathĂ©drale de Rouen par Marcel Aubert ; 2 Haute-Normandie gothique par Yves Bottineau-Fuchs aux Ă©ditions Picard. Les niveaux 2 et 3 de la tour lanterne et leurs sculptures flamboyantes. PARTIE EXTĂRIEURE -»» Page 1 TRANSEPT ET CHĆUR BAPTISTĂRE ET CHAPELLES LATĂRALES DĂAMBULATOIRE ET CHAPELLE DE LA VIERGE A10JJu.