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Le Deal du moment Cartes PokĂ©mon sortie dâun nouveau ... Voir le deal Freesby Archives du dormeur 2 participantsAller Ă la page 1, 2 AuteurMessageMiss Corbac. Fondatrice Barjot. Nombre de messages 10558Age 27Date d'inscription 09/03/2007FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Si tout Ă©tait Ă refaire... Le ferais-tu ? [PV L'Ombre] Ven 12 Juin - 2211 C'Ă©tait une belle fin d'aprĂšs-midi. Le soleil dĂ©clinait lentement et doucement tandis que la NĂ©kos arrivait enfin devant les portes de la citĂ©e CachĂ©. Quelques gardes sifflĂšrent tandis qu'une NĂ©kos aux oreilles, aux cheveux et Ă la longue queue de chat roux couleur de feux passĂšrent devant eux. Dans un petit rire gras et pervers, leurs regards reluqua cette jolie demoiselle qui passait, le nez rivĂ© vers les plus hauts bĂątiments de la citĂ©e, un sourire peins sur ses lĂšvres. Alvinykiosa avait marchĂ© toute la nuit, ne dormant que quelques heures pour arrivĂ© dans cette citĂ©e, lĂ ou on disait que ceux qui n'avait plus de destinĂ© et de but dans leurs vie pouvait en retrouver un. La jeune NĂ©kos dont plusieurs hommes se retournait tandis qu'elle marchait, avait les yeux rivĂ©s sur les bĂątiments, curieuse, pointant les oreilles et les bougeaient en fonctions des bruits qu'elle entendait, curieuse de cette nouvelle ville. La jeune femme sentit toutes les nouvelles odeurs, encrant dans sa mĂ©moire olfactive ses douces ou Ăącre odeur qu'elle dĂ©couvrait. Alvinykiosa explorait les avenues, les boulevard, les carrefours, les rues, les ruelles et tous les petits coins de cette citĂ©e cachĂ© qu'elle dĂ©couvrait avec gaiĂ©tĂ©, bonne humeur et entrain. Si prise par son exploration, que la nĂ©kos ne remarqua pas que le soleil s'Ă©tait couchĂ© et qu'elle n'avait toujours pas d'endroit ou dormir et passer la nuit. Alvinykiosa s'Ă©tait trouvĂ© un petit coin, sur un toit d'une maison qui surplombait une grande partie de la citĂ©e cachĂ©, ses jambes recroviller contre son corps, elle regardait tristemment la citĂ©, un air mĂ©lancolique sur le visage. Ses bras entourant ses jambes. Dans un soupire, elle posa son menton entre ses genoux, regardant la citĂ© et le coucher de soleil. Se souvenant du visage de son maĂźtre qui Ă©tait mort dans ses bras, ses quelques pensĂ©es furent accompagnĂ© d'une lĂ©gĂšre douleur qui serra son coeur d'amertume. La nĂ©kos avait le regard vide et perdu dans le vague, savourant les derniers rayons du soleil sur sa joue avant de laissr une derniĂšre larme couler, en silence. Alvinykiosa l'essuya d'un revers de manche, levant les yeux vers le ciel qui s'Ă©tait noircit et continuait de noircir au file des minutes et des heures. Le froid survint et offrit une dĂ©sagrĂ©able caresse Ă la NĂ©kos qui dĂ©cida enfin de se relever. Elle attrapa son sac qui Ă©tait posĂ© Ă cĂŽtĂ© d'elle, sautant agilement sur le sol, tout en Ă©quilibre. La NĂ©kos remit son sac sur une Ă©paule, machinalement, regardant ses pieds avant de lever lentement son regard de feu vers le ciel dont la couleur tirait de plus en plus vers le bleu nuit. Alvinykiosa soupira, marchant simplement Ă la recherche d'une auberge acceuillante, sans trop de monde, elle aimait bien le silence. Elle marchait en essayant de se souvenir d'autres choses que ces quelques souvenirs du jour ou elle a ouvert les yeux il y a plus de deux semaines. Au fond d'elle, la jeune femme savait qu'un nom ne pouvait pas prouver son existence, elle Ă©tait "nĂ©e" avec un corps d'une femme adulte. Elle voulait savoir ce qui s'Ă©tait passĂ© avant. Elle chercha, chercha, en vain. Les souvenirs d'autrefois Ă©taient scellĂ©s et bien scellĂ©s, Alvinykiosa Ă©tait destinĂ© Ă rester Alvinykiosa et ne pas redevenir Dracos Maniak alias le corbac. Il fallut bien plusieurs dizaine de minute pour qu'Alvinykiosa trouve une auberge qui lui convenait. Un peu en retrait de la citĂ©e, avec pas trop d'ambiance donc pas trop de monde. C'Ă©tait une petite auberge familial vu l'enseigne. Le regard de feu de la jeune nĂ©kos dĂ©tailla toute la bĂątisse ainsi que les chambres du dessus qui avaient tous les volets fermĂ©s. Alvinykiosa soupira, entrant dans l'auberge, laissant la porte se refermer derriĂšre elle dans un bruit sourd. Quelques regards se levĂšrent de leurs verres ou repas pour se poser sur la jeune NĂ©kos qui portait toujours des vĂȘtements lĂ©gers. Un dĂ©bardeur sans manche qui coupait au-dessus de son nombril, un jean dĂ©chirĂ© sur le devant de ses jambes. La nĂ©kos baissa un peu les oreilles et laissa une canine se planter dans sa lĂšvre infĂ©rieur, regardant tour Ă tour les visages trĂšs peu amicaux de ceux qui la dĂ©visageait soit avec dĂ©goĂ»t, soit avec perversions soit avec indiffĂ©rence. Baissant simplement les oreilles, Alvinykiosa alla poser son sac prĂ©s d'une chaise d'une table encore libre, elle se laissa tomber sur la chaise. Sentant l'ombre de quelqu'un se poser sur elle, levant son regard de feu et tombant sur un grande personne bien bĂątit. Un humain fort dotĂ© d'un tablier sale. Quelque peu intimmider, la jeune NĂ©kos baissa un peu plus les oreilles, dĂ©cidĂ©ment, elle trouverait rien d'acceuillant en cette soirĂ©e. L'homme sortit un carnet de la poche de son tablier, demandant d'une voie sĂšche et bourrue. -Qu'est-ce que vous voulez ?-Un repas et une chambre s'il vous combien de temps ?-Je sais pas encore... -C'est 17 piĂšce d'or le repas chaud et 67 piĂšce d'or la chambre pour la nuit. Vous avez une salle de bain avec et du mobilier. Le repas est payable d'avance ainsi que cette nuit, les autres vous payerez au fur et Ă mesure chaque Voici pour le repas chaud. -Merci d'moiselle, bon sĂ©jour ici. La jeune femme tendit une petite poignĂ© de piĂšce d'or, refermant une bourse de taille moyenne pleine de piĂšce d'or. Son maĂźtre lui avait laissĂ© un peu d'argent avant de mourir. Alvinykiosa regarda le patron de l'auberge mettre les piĂšce clinquantes dans la poche de son tablier, notant quelques choses dans son carnet avant de repartir. Il revient pour dĂ©poser une clefs sur la table de la NĂ©kos qui le remercia simplement. Quelques minutes passĂšrent ou la femme passa une main sur ses oreilles puis sur sa queue, encore un peu Ă©tonnĂ© de leurs prĂ©sences inconsciemment. C'Ă©tait des sentiments, faible mais existent, qui avait mis le doute dans son esprit. Elle savait qu'un nom n'Ă©tait pas la preuve d'une existence, il fallait bien plus que ça... Des souvenirs. Qu'elle n'avait pas. Le nez de la jeune femme fut titiller par une douce odeur de soupe chaude aux lĂ©gumes de la maison et de quelques nouilles misent dedans. Posant son regard et sortant de ses pensĂ©es, Alvinykiosa tomba nez Ă nez avec un bol plein d'une soupe Ă l'odeur allĂ©chante avec dedans quelques nouilles qui semblait tout autant appĂ©tissante. Tournant la tĂȘte vers la personne qui l'avait servit, elle fut agrĂ©ablement surprise de voir une femme NĂ©kos de 47 ans tout au plus. La femme lui sourit doucement. Enfin quelqu'un d'acceuillant ici ! Alvinykiosa lui fit un sourire radieux en retour, dressant ses oreilles, contente de voir un visage amical Ă son Ă©gard. -Bonne appĂ©tit !-Merci ! La NĂ©kos repartit laissant la Jeune femme attaquer son dĂźner, rangeant la clef de sa chambre dans une poche de son jean. Elle mangeait doucement, savourant le bon goĂ»t de la soupe et des pattes. On lui dĂ©posa aussi du pain et elle du refuser aimablement la bouteille de vin qu'on lui proposa. L'alcool n'Ă©tait pas une chose qu'elle avait encore essayĂ© et son maĂźtre lui avait toujours demandĂ© de boire le moins possible ou alors de façon modĂ©rer. Alvinykiosa continua de manger avant de relever la tĂȘte, avalant sa gorgĂ© de soupe et ses nouilles. Son regard de feu se posa sur une personne, instinctivement, elle grimaça de douleur, son tatouage juste en dessous de sa nuque lui faisait mal. Se redressant, elle glissa une main pour aller masser sa nuque, un geste qui Ă©tait trait pour trait le mĂȘme qu'avait l'ancien Corbac lorsque celui Ă©tait "vivant". Continuant de se masser la parcelle de peau qui lui faisait mal. Son regard ayant pas put voir la personne qui avait attirĂ© son attention pendant son repas. La marque du camp d'esclave d'AshVritt avait traversĂ© l'Ă©preuve de la renaissance de la mercenaire. Ce tatouage juste sous sa nuque. Plus les annĂ©es passĂ©es, plus il devenait inconnu de tous sauf de quelques personnes bien concernĂ©s par la guerre d'AshVritt. L'ex-exclave d'AshVritt continua de masser sa peau, dĂ©tendant son visage qui s'Ă©tait crispĂ© dans une grimace de douleur et d' Que les dieux vous protĂšge, mes frĂšres dragons. Que les dieux vous pourchasse, adversaire des autres races. »DerniĂšre Ă©dition par Miss Corbac le Mar 28 Juil - 1917, Ă©ditĂ© 1 fois L'Ombre. Jouet de la Fondatrice. Nombre de messages 521Age 28Date d'inscription 28/08/2008FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re Si tout Ă©tait Ă refaire... Le ferais-tu ? [PV L'Ombre] Sam 13 Juin - 1130 ~ [Deux ans plus tĂŽt, chĂąteau Datenshi]- Ainsi, tu as ratĂ© ton contract... Et en plus, tu et permet un carnage civil Ă N'agross qui te vaut la une des journaux ? On dirait que tu as oubliĂ© tout ton entraĂźnement... - ... - Un nouveau sceau et un entraĂźnement sous les directive de Mephisto et Eleonora te fera du bien... Emmenez le au sous sol. ~ [La veille, chĂąteau Datenshi - 9h07] - Bien, on dirait que tu vas pouvoir reprendre des fonctions Ă prĂ©sent... Deux ans pour te faire changer... Tu es devenu trop rĂ©sistant. D'habitude, une journĂ©e de supplice de ses deux lĂ est insoutenable... - ... - Soit. Notre chers client que tu connais si bien, dĂ©sir que tu faces un gros coup. Evidemment, il ne veut personne d'autre que toi, ce qui nous complique la tache... Tu seras seul. Non assistĂ©, et tu disposeras d'une surveillance minimale. Voir proche du nĂ©ant. Cette mission est Ă haut risque, des espions risqueraient de t'handicaper. Rassure toi, c'est tout Ă fait dans tes cordes... - Dites lui ce qu'il doit faire, et il le fera sans discuter... â«- Hmm... Le Prince NĂ©kosien Ă©tant encore jeune, son oncle - le frĂšre du Roi - souhaiterait prendre la place de son frĂšre avant que le jeune Prince ne le face. Ainsi, il pourra ensuite Ă©loigner le Prince du trĂŽne. Il a demandĂ© Ă notre client de lui trouver un assassin qualifier qui pourra expĂ©dier cette affaire dans la semaine qui suit... - Haha, quel imbĂ©cile... Demain, le Roi Neko ne sera plus - C'est exactement ce que je voulais... Je veux une affaire propre, sans bavure. Tu seras surement recontactĂ© pour de nouveau ordre par la suite... Notre fournisseur avait l'air d'avoir une petite idĂ©e derriĂšre la tĂȘte. Et il n'a aucune confiance en ce pĂ©rfide frĂšre du Roi. - Voulez vous dire qu'il devra ĂȘtre tuĂ© aprĂšs sa montĂ©e sur le trĂŽne ? âȘ- Non... DĂšs qu'il aura payĂ©, Ă©videment. Un asssassin viendra t'avertir. Profites-en pour faire quelques contrats. Nous avons eut des dĂ©ficite Ă©conomique depuis que nous avons dĂ»t reprendre ton comportement, mais j'espĂšre que tout cela sera rĂ©glĂ© dĂšs ton retour. - Ne vous inquiĂštez pas pour cela, tout sera parfait, mĂȘme au dessus de vos attentes... N'est ce pas, mon petit pantin...? ~ [Le mĂȘme jour, Palais des Nekos - 00h54]Les Ombres Ă©taient vraiment une arme parfaite... Le jeune assassin avait pu se faufiler jusqu'Ă la chambre du Roi sans aucun problĂšme. Les gardes ne percevaient pas son aura, et ne pouvait le voir Ă travers du royaume qu'Ă©taient les Ombres. Le Roi Ă©tait Ă une rĂ©cĂ©ption, droit et souriant sur son trĂŽne, discutant avec ardence et dĂ©termination de maniĂšre de faire progresser le pays, tout en Ă©vitant de trop entrer en guerre... Cependant, son meurtrier se trouvait dĂ©jĂ lĂ , immobile derriĂšre ce trĂŽne. Il venait d'arriver par la voix des Ombres... Tirant une lame de longueur moyenne dissimulĂ©e dans sa manche, d'un mouvement de poignet, il la tourna en direction du trĂŽne. Un bruit mĂ©tallique... Des Ă©clats du trĂŽne dont une partie avait Ă©tĂ© brisĂ©e sur le sol... Un silence, lourd, pesant... Un cri d'horreur. Le visage du Roi Ă©tait dĂ©formĂ© par une grimace de douleur. Le sang coulait de ses lĂšvres. DerriĂšre cette scĂšne, indiffĂ©rent, le jeune homme regardait le sang couler le long de la lame argentĂ©e de son arme. Les gouttes se perdaient sur le sol... Les personnes prĂ©sentes ici se prĂ©cipitĂšrent, alors que l'assassin disparut lentement dans les Ombres, son arme en main, ne laisant que ce Roi mort sur son passage... Une heure plus tard Ă peine, c'Ă©tait la folie. Le choc Ă©tait Ă©norme. Tout cela serait calmĂ© le lendemain, mais Ă l'heure actuelle, tout Ă©tait assez mouvementĂ©. Le frĂšre du Roi Ă©tait venu pleurer sur sa dĂ©pouille, et avait aussitĂŽt demandĂ© des informations sur le meurtre... De plus, il avait prĂ©vu de faire une annonce. Tout les Nekos s'y rendait. L'assassin aussi. D'une ruelle sombre, il Ă©coutait distraitement ce que cet homme corrompu osait dĂ©clamer. - Vous qui ĂȘtes autant affligĂ© que moi, sachez ceci... Je retrouverais et tuerais celui qui a prit la vie de notre Roi, non, de mon frĂšre ! Cependant, grĂące Ă cet assassinat, je pense savoir qui est l'auteur de ce crime... L'assassin tourna lentement sa tĂȘte vers la scĂšne, regardant cet homme commettre l'acte qui allait lui valoir sa vie... Allait-il oser ? Apparrement... Cependant, l'assassin n'avait pas encore reçut l'ordre de le tuer. Le futur Roi - qui serait plus qu'ephĂ©mĂšre - sortir une affiche, qu'il montra Ă la foule devant lui. - C'est cet homme ! Ca ne peut ĂȘtre que lui ! Trouvez le, il ne doit pas sortir du pays ! Nous le ferons Ă©xecuter pour son crime ! Faite attention, c'est un manipulateur et assassin dangereux ! J'ai dĂ©jĂ coupĂ© les communications qu'il aurait pu avoir avec les siens, il est coincĂ© ici. Traquez le jusqu'Ă sa mort... Sa tĂȘte est mise Ă prix dans notre pays, au prix maximal actuel ! La foule s'agita, l'assassin ferma lentement ses yeux. Faisant volte face, il s'Ă©loigna dans cette rue sombre, disparassant au coeur des Ombres... ~ [Le lendemain, taverne NĂ©kosienne - 21h02] Le soleil c'Ă©tait couchĂ© il y a peu. La silhouette sombre de cette personne poussa la porte de la taverne, se glissant dans celle ci. Il s'approcha du comptoire. Le propriĂ©taire des lieux vint prendre sa commande, le dĂ©visageant d'un air mauvais. Puis, la femme qui lui apporta sa commande - une simple biĂšre - le regarda d'un air amusĂ©. Un masque d'argent recouvrait son visage, une Ă©charpe noire enroulait le bas de son visage, et ses cheveux Ă©taient masquĂ© sous ses vĂȘtements. Une personne bien mystĂ©rieuse apparrement... Posant son coude sur le comptoire, assisse en face de cet homme, elle posa sa main dĂ©licate sur le bord de sa joue, penchant la tĂȘte pour observer cet ĂȘtre qui semblait si Ă©trange... Visage masquĂ©, voix brouillĂ©e, il Ă©tait vraiment intriguant. Elle se permit d'attraper le verre de biĂšre du jeune homme, et but un peu de celle ci, avant de lui lancer un regard amusĂ©, comme si elle attendait quelque chose. Un sourire amusĂ© se dessina aux coins des lĂšvres de cette ĂȘtre, dont la partie infĂ©rieur droite du masque Ă©tait brisĂ©e. Il porta lentement la biĂšre Ă ces lĂšvres, laissant couler l'alcool doux et chaud dans sa gorge. Souriant, amusĂ©e face Ă ce mutisme, la jeune femme se pencha lĂ©gĂšrement vers lui, et engagea enfin la discution. - Vous ne semblez pas venir d'ici... C'est d'ailleurs une Ă©vidence, vous n'avez pas d'attribut Nekosien... Sur ses paroles, elle fit bouger ses oreilles, et sa queue de chat fit de mĂȘme un mouvement ample, alors qu'elle tira la langue dans un clin d'oeil au jeune homme, dans un sourire amusĂ©. - Vous n'avez surement pas attendu parler de l'histoire d'hier alors... Le Roi a Ă©tĂ© tuĂ©. Mais celui qui a fait ça va payer le prix fort, ça, croyez moi ! Le vrai problĂšme... C'est que son successeur est surement pire que cet assassin. Je suis sur que cet homme aurait Ă©tĂ© prĂȘt Ă faire tuer son frĂšre, il a Ă©tĂ© devancĂ© et ça l'arrange bien, voilĂ tout ! - J'ai entendu parler de lui, oui... On dit qu'il a tout de suite sĂ»t qui Ă©tait l'assassin... Mais comment un homme comme lui a-t-il put le savoir, puisqu'il ne connait mĂȘme pas le monde des assassins...? - Bonne remarque... Peut-ĂȘtre que... Ca ne m'Ă©tonnerait pas de lui... Enfin, ce n'est pas vraiment important. Perdant ses yeux dans le vide, la jeune femme laissant ses doigts courire doucement sur le torse du jeune homme. Lorsqu'elle le regarda de nouveau, ce fut accompagnĂ© d'un petit sourire charmeur et provocateur. Le jeune homme avait dĂ©jĂ sentit venir le manĂšge de cette femme de toute façon, et cette maniĂšre de le toucher ou de lui tourner autour commençait sincĂšrement Ă le rĂ©pugner. Cependant, il devait ce taire et attendre pour avoir une nuit ici. Ensuite, il se dĂ©brouillerait pour passer sa nuit sans qu'elle cherche Ă venir ou autre chose du genre. - Vous allez passer une nuit ici...? - Oui. - Je vais vous montrer votre chambre, voilĂ vos clefs ! - Je vais y aller seul, merci, des clients attendent encore d'ĂȘtre servit... - Je les servirais en redescendant. - Vous me la montrerais plus tard, plus tard... - Comme vous voudrez, mais vous n'y Ă©chapperait pas ! Lorsqu'elle partie enfin, le jeune homme lĂącha un soupire de soulagement, prenant les clefs et montant Ă l'Ă©tage... Trouvant sa chambre, la n°77, il l'ouvrit, et la referma aussitĂŽt derriĂšre lui. Laissant les clefs sur la poignĂ©e et coinsant la porte, il pu enfin se laisser tomber sur le lit, retirant masque et Ă©charpe, laissant son visage Ă la peau pĂąle et ses longs cheveux de jais profiter de la lumiĂšre de la lame de la chambre. - Je hais ce pays... _________________âMy only friend is my pain... ~ Laisse moi mourir dans mon royaume de solitude. Miss Corbac. Fondatrice Barjot. Nombre de messages 10558Age 27Date d'inscription 09/03/2007FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re Si tout Ă©tait Ă refaire... Le ferais-tu ? [PV L'Ombre] Sam 13 Juin - 1214 La NĂ©kos avait regardĂ© distraitement la scĂšne, ne s'attardant pas vraiment sur l'homme et le manĂšge de la femme qui Ă©tait vraiment... Mais vraiment grossier. Alvinykiosa posa un coude sur la table ou elle Ă©tait, le regard perdu dans le vague et un morceau de pain entre les crocs qu'elle mangeait machinalement. La NĂ©kos regardait la nuit qui l'attirait, l'envoutait, l'appellait. Une trace du comportement du corbac ? Sans doute. Le corbeau avait toujours Ă©tĂ© attirer par la lune, la nuit, le silence. MalgrĂ©s son changement, elle Ă©tait toujours, au fond, le corbac. Le lĂ©gendaire corbac portĂ© disparut depuis deux ans. Deux longues annĂ©es. Dans un soupire, Alvinykiosa prit son sac, le mit sur une Ă©paule et monta, reprenant la clefs de sa chambre, jouant avec yeux se levĂšrent, attirer par une fenĂȘtre ouverte, un lĂ©ger vent frais de la nuit caressa son visage. Instinctivement, elle s'approcha, posa son sac sur le sol. Le fusil Ă pompe encrasser qui n'avait pas servit depuis deux ans fit un drĂŽle de bruit, ce bruit mĂȘler au tintement de l'arme reposant dans son fourreau depuis deux ans elle aussi. La rĂ»ne de l'Ă©pĂ©e Ă©mit un petit chuchotement imperceptible tandis que sa propriĂ©taire posait ses bras sur le rebord de la fenĂȘtre, sortant sa tĂȘte dehors et humant avec plaisir l'air de la nuit. Un air bondĂ© d'odeur de la journĂ©e et un vent frais revigorant. La nĂ©kos ferma ses yeux, profitant de cette nuit sublime qui l'attirait. Son regard de feu Ă©tait attirĂ© par la lune, elle rouvrit ses paupiĂšres et tomba nez Ă nez avec cette lune pleine qui la saluait. Dans un sourire rappelant autrefois les sourire du lĂ©gendaire Corbac, elle prit une dĂ©cision. Alvinykiosa attrapa son sac rapidement, courrant vers sa chambre, cherchant des yeux le numĂ©ro de celle-ci. Une fois trouvĂ©, elle ouvrit la porte, jeta son sac sur le lit et repartit. Fourrant la clef dans une poche. La jeune nĂ©kos fit demi-tour, toujours en courrant, elle Ă©vita habilement un des occupants de l'auberge, sautant sans hĂ©siter par la fenĂȘtre et atterrissant sur le toit. La jeune femme huma Ă pleins poumons l'air de la nuit, elle se releva et reprit une course effrenĂ©e, sautant de toit en toit, jouant dans cette nuit sublime qui lui donnait de l'Ă©nergie Ă ne plus savoir qu'en faire. Elle riait, sautait, jouait, faisait des cabrioles que son corps faisait lui-mĂȘme sans qu'elle ne donne d'ordres. Chacun de ses muscles se rĂ©veillaient, reprenant le fonctionnement et l'utilisation qu'il avait put avoir lorsque Alvinykiosa se faisait connaĂźtre sous le pseudonyme du corbac. La jeune femme sauta sur une poutre, droite comme un "i", elle regardait la lune, ses longs cheveux roux reposait dans son dos, calme, ses oreilles lĂ©gĂšrement couchĂ© et son visage fin Ă©clairĂ© par quelques rayons lunaires; la nĂ©kos savourait cette belle nuit, se sentant bien mieux dans l'obscuritĂ© que dans cette lumiĂšre aveuglante. La nĂ©kos marcha en Ă©quilibre sur la poutre, et quand elle reprit sa course, sautant sur un toit un peu plus bas, on dit que par cette nuit, on aurait put voir deux ailes d'ombre se former dans son dos, deux ailes noir de jais, deux ailes qui appartenait au seul mercenaire portĂ© disparut depuis plus de deux ans... Le un rire, Alvinykiosa reprit son souffle, elle Ă©tait revenu sur le toit de l'auberge. La jeune nĂ©kos se laissa tomber, s'allongeant et mettant ses bras derriĂšre sa tĂȘte, souriante. Elle continua de contempler la lune, simplement. Son regard de feu accrochĂ© Ă cet astre qui hantait les nuits de folies ou le Corbac entrait en scĂšne, cet astre magnifique qui avait toujours veillĂ© sur les nuits ou le corbeau voulait un peu de calme et de silence, cet astre qui Ă©tait surement la seule compagnie qui n'avait pas quittĂ© ne serais-ce que le temps d'une journĂ©e le corbac. Toujours fidĂšle au rendez-vous, toujours lĂ pour acceuillir dans ses bras noirs et froids la jeune femme. Ne s'Ă©tant pas rassasiĂ© de sa virĂ©e nocturne, la jeune NĂ©kos se releva de nouveau, sautant agilement sur le sol sans une perte d'Ă©quilibre, elle marcha simplement, les mains dans les poches. Alvinykiosa se rendit dans une grande avenue, elle la descendit en sifflotant. Regardant les maisons, les bĂątisses. Ne voyant pas que deux ombres la suivaient en silence, dans leurs mains deux lames Ă©tincelantes tout comme leurs sourires. Une troisiĂšme ombre de la nuit bloqua le chemin de la nĂ©kos qui fronça les sourcils. Alvinykiosa arrĂȘta son sifflement, tournant le regard vers les deux ombres qui Ă©taient toujours derriĂšre elle. Reposant son regard froid sur la premiĂšre, elle sortit lentement les mains de ses poches sous le regard insistant de l'homme en face d'elle. -Tu sais que c'est pas prudent de se ballader seule la nuit ma jolie ?-... Le grand mĂ©chant loup rĂŽderais ?-Hahaha ! Bien pire que ce vulgaire loup ! La lame de l'homme en face d'elle se glissa sous sa gorge, ses yeux se fermĂšrent Ă moitiĂ©, un fin sourire se peinds sur ses lĂšvres tandis qu'elle le fixait, calme, sereine. Les deux autres hommes s'approchĂšrent d'un pas. Elle arqua un sourcil avant de laisser de nouveau sa voie s'entendre, elle n'avait pas peur... Ce qui Ă©tait Ă©trange pour elle mĂȘme qui s'Ă©tonnait de son comportement. Alvinykiosa ne bougea pas, ne cilla pas, sa voie Ă©tait plate, sereine, calme. Elle pencha la tĂȘte sur le cĂŽtĂ©, fixant toujours de ses yeux de feu l'homme en face d'elle. -Quoi donc alors ?-Tu ne devines pas ? Hinhinhin... Laisse-moi te dĂ©goĂ»ter de la douceur de la lune ! La lame de l'homme s'arma tout comme son bras, les sourcils de la jeune nĂ©kos se fronçÚrent, lorsque la lame allait entaillĂ© son haut et que les deux autres se jetaient sur ses bras pour l'immobiliser. Elle se baissa simplement, posant ses mains sur le sol et se projetant vers la gauche, sortant du petit triangle des bringuands. La lame de l'homme trancha la gorge d'un de ses complices, ses cris de douleur ravirent le corbac. Alvinykiosa se redressa lentement, fixant le cadavre qui bougeait encore faiblement, elle glissa son regard sur l'homme dont la lame Ă©tait souillĂ© du sang de son camarade. Son sourire grandit lentement. -C'est en tuant tes camarades que tu comptes m'avoir ?-Chienne !! Chienne ? Chien ? Les yeux de la jeune femme s'ouvrirent en grand avant de se fermer Ă moitiĂ©, le regard de chat d'Alvinykiosa changea brutalement pour le regard du cĂ©lĂšbre Corbac. Elle sera son poings, ses oreilles se plaquĂšrent contre son crĂąne et dans un grognement fĂ©roce, elle se jeta sur l'homme, Ă©vita sa lame qui entailla lĂ©gĂšrement son Ă©paule. Alvinykiosa attrapa le bras de l'homme, envoyant son coude sur son genou Ă une vitesse booster avec de la magie. L'articulation de l'homme se tordit dans l'autre sens dans un cri de souffrance. La jeune femme s'empara de l'arme de l'homme, parant de justesse la lame du deuxiĂšme complice. La seconde lame du dernier du groupe de briguand s'abaissa horizontalemet dans le but de trancher le buste de la femme net. Le corbac soupira lĂ©gĂšrement, attrapant le poignet de l'homme de justesse, elle envoya son pied dans son estomac et s'empara d'une de ses lames. L'homme Ă©tait au sol, le souffle coupĂ©, n'arrivant plus Ă respirer. Tandis que le prĂ©dateur et la cĂ©lĂšbre mercenaire s'approchait de lui lentement, jetant au sol une des deux armes. Son regard froid et dur se posa sur l'homme, sa queue de chat faisant d'ample mouvement, ses oreilles toujours plaquĂ©s sur son crĂąne, sa machoire serrĂ©. -Pi,PitiĂ© !!! -Pas de pitiĂ© pour des sous-merdes dans votre ! D'un rapide mouvement, elle trancha la gorge de l'homme. Alvinykiosa lança sa lame sur le sol, se baissant au-dessus d'une flaque du sang d'un de ses adversaires, elle trembla deux de ses doigts dans le liquide pourpe, s'approchant d'un mur d'une maison non-loin du combat achevĂ©. Elle dessina rapidement le symbole du corbac avant de s'arrĂȘter en pleins milieu. La mercenaire se rendit compte du prolongement de son dos et ses yeux tombĂšrent avec horreur et stupeur sur une queue de chat lui appartenant bel et bien. D'un mouvement de panique, elle passa une main sur sa tĂȘte, sentant avec encore plus de stupeur deux oreilles de chat. Ce fut de ce simple contact qu'elle se sentit pas dans son corps. Elle passa ses main devant ses yeux, sa vue Ă©tait bien plus net que celle d'avant. -N...NĂ©kos ?! Ce mot traversa ses lĂšvres avant qu'elle entende du bruit derriĂšre elle. Ses yeux de feu se froncĂšrent de nouveau, sentant que quelqu'un arrivĂ©, surement un pochtron qui avait abusĂ© de la boisson. La jeune femme finit d'un geste son symbole avant de partir rapidement, sautant et grimpant sur les toit avant de repartir. Elle ne connaissait pas son nom et ce symbole elle l'avait fait d'instinct... Des larmes remplirent ses yeux tandis qu'elle fuyait lĂąchement ce qu'elle avait sentit et vu, ce qu'elle avait fait. Ne regardant pas vraiment ou elle allait, la jeune femme se prit les pieds dans une tuiles, dans un cri d'horreur, elle s'Ă©tala de tout son long sur un toit. -AĂŻe..._________________ Que les dieux vous protĂšge, mes frĂšres dragons. Que les dieux vous pourchasse, adversaire des autres races. » L'Ombre. Jouet de la Fondatrice. Nombre de messages 521Age 28Date d'inscription 28/08/2008FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re Si tout Ă©tait Ă refaire... Le ferais-tu ? [PV L'Ombre] Sam 13 Juin - 1725 [Avait oubliĂ©e de le faire dans mon post prĂ©cĂ©dent, les paroles blanches sont celle de l'Ombre quand sa voix est dĂ©formĂ©e par son masque.]Alors que l'eau chaude coulait sur le corps du jeune homme, sous forme de quelques gouttes qu'il Ă©tait en train d'essuyer, il entendit deux coups frappĂ©s sur la porte. Qu'elle Ă©tait collante... Tout Ă©tait Ă©teind dans la chambre. Lentement, les deux yeux d'ambres du jeune homme se posĂšrent sur son reflet dans la glace. Son regard semblait vide, mais au fond, on pouvait y desceller une certaine tristesse... Il Ă©tait comme un oiseau qui ne pouvait plus voler. Sur son corps, une nouvelle marque Ă©tait prĂ©sente. Un sceau 100% fait par Eleonora, cette scelleuse aux talents flagrants. Cependant, ces talents n'aidaient pas vraiment le jeune homme... Il regardant sans un bruit cette croix recouverte d'un pentacle inversĂ©, le tout tatouĂ© sur son coeur. Des cinq pointes du pentacle, partaient des longs et fins trĂšs noirs, qui enlaçaient tout son corps. Un allant juste se dĂ©poser sur son ventre, la pointe du bas. Les deux pointes aux dessus allaient s'enrouler le long de ses jambes, jusqu'aux chevilles. Enfin, les deux pointes supĂ©rieur se rejoignaient d'abord sous le cou du jeune homme, puis allaient jusqu'Ă chacun de ses Ă©paules, avant de s'enrouler jusqu'a arriver vers les sceaux prĂ©sent sur les bras du jeune homme, les rejoignant. La liaison de ces deux branches remontait dans son cou, l'enlaçant lui aussi. Ainsi, tout son corps Ă©tait scellĂ©... De plus, lorsqu'il se tourna, il put voir la touche personelle d'Eleonora. La pire. Deux ailes osseuses, enchaĂźnĂ©es, dont les derniĂšres plumes tombaient doucement au sol... Sublime tatouage, sinification moins agrĂ©able. Ignorant les coups qui se faisaient plus fort, le jeune homme se rhabilla, et attrapa un objet enroulĂ© dans du tissu noir non long. Assez long, surtout encombrant, cette chose semblait lourde mais l'Ombre n'avait aucun mal Ă le porter. Il sortit de la salle de bain, sans allumer la piĂšce, et marcha vers la fenĂȘtre. Il ouvrit doucement cette derniĂšre, et se glissa hors du bĂątiment, prenant son Ă©quilibre sur une petite poutre sous le rebord de la fenĂȘtre. LĂ , il s'Ă©lança sur un toit lĂ©gĂšrement en dessous, et retomba dessus dans un bruit sourd, lĂ©ger, mais bien trop fort Ă son goĂ»t. Reformant son masque d'argent sur son visage - ce fameux masque fait d'ombre devenue argent - il commença sa course sur les toits. Son contract Ă©tait clair, assassiner sa cible avec l'arme donnĂ©e, entre 22h et 3h. Simple, rapide, tout ce qu'il fallait Ă l'assassin en cet pĂ©riode oĂč il Ă©tait recherchĂ©. Bondissant sur le toit supĂ©rieur, il chercha du regard l'enseigne d'un bar, qu'il finit par trouver rapidement. Regardant rapidement entre les fenĂȘtres, il finit par poser l'arme donnĂ©e qu'il avait calĂ©e dans son dos, et dĂ©fit rapidement l'amas de tissu. Des tintements mĂ©talliques se firent entendre Ă plusieurs reprise. - Quelle grossiĂšre maniĂšre de tuer... Observant le long canon de l'arme, sa lunette de visĂ©e, le chargeur et tout le reste, il finit par se placer, dĂ©posant la crosse du sniper contre son Ă©paule gauche. Son oeil directeur Ă©tant le gauche, il commença Ă regarder grĂące Ă celui ci les personnes prĂ©sentes dans les chambres grĂące Ă la lunette. Trouvant enfin sa cible, il Ă©tait comme prĂ©vu avec une femme pour un rendez vous qu'il attendait depuis longtemps... Lorsque le jeune homme chargea, sa cible Ă©tait assise, alors que la femme venait de retirer son haut. DĂ©cidement... C'Ă©tait la soirĂ©e. Un sourire se dessina au coin des lĂšvres du jeune homme devant le regard avide de sa cible. L'envi te dĂ©vorait, hein...? Haha, les femmes sont vraiment le points faibles des hommes tel que toi... Seul ceux qui ne peuvent profiter du plaisir sont insensible Ă leurs charmes. Un coup de feu retentit. La tĂȘte Ă©clata, et s'arracha du coup sous l'impacte Ă©norme de l'arme lĂ©gĂšrement amĂ©liorĂ©e. La femme poussa un hurlement. Le jeune homme rechargea avec une vitesse et une aisance hors paire. Sans mĂȘme prendre le temps de caler l'arme contre son Ă©paule, il enfonça la gachette dans une nouvelle dĂ©tonation. La balle passa par le coeur de cette femme appeurĂ©e, arrachant ses cĂŽtes et son sein sur son passage dĂ©sastreux. Triste scĂšne...L'assassin reposa le sniper, qui se fit dĂ©vorer par ses ombres. Puis, faisant volte face, il bondit rapidement entre les toits, arrivant dans la rue en dessous. Un applaudissement froid se fit entendre, alors que son client, satisfait, vint Ă lui. - Travail parfait, fĂ©licitation. Vous n'ĂȘtes pas connu au grand jour, mais votre rĂ©putation dans les secteurs de l'ombre n'est plus Ă faire... Passez Ă mon marcher noir Ă l'occasion, je pourrais surement vous fournir des trucs qui vous intĂ©resserez... - J'y penserais. - Je ferais peut-ĂȘtre appelle Ă vos talents encore une fois ou deux pendant votre sĂ©jour ici, alors pensez Ă moi. A la prochaine, trĂšs chers assassin. Observant la bourse dans ses mains, le jeune homme retenu tout de mĂȘme les propositions, trouvant agrĂ©ables l'idĂ©e d'avoir un client avide de ses services lĂ oĂč il aurait pu peiner Ă executer des contrats. Ce mec n'avait strictement rien Ă faire du Roi, il voulait juste des hommes compĂ©tents capable de tuer sans se faire prendre, tout en ayant un nombre croissant de personnes sur le dos. L'Ombre Ă©tait qualifiĂ©e dans ce domaine. Remontant sur les toits par le biais des ombres, le jeune homme observa la lune du plus haut sommet de la ville cette nuit. Droit face Ă cet astre qui Ă©clairait ce triste monde de sa lumiĂšre pĂąle, il profitait de cette vue, de cette impression d'ĂȘtre seul, face Ă cette lune blanche. Puis, il se laissa tomber en dessous, reprenant le chemin de sa chambre. En espĂ©rant Ă©videment que l'autre ne l'attendait pas dedans... Mais il en doutait. Ouvrant sa veste Ă©troite qui complĂ©tait sa tenue d'assassinat classique, il la laissa volter autour de lui, regardant les alentours au travers de son masque. Seules ses lĂšvres impassibles Ă©taient visibles. Le reste Ă©tait masquĂ© part ce voile argentĂ©... Etendant nettement le bruit sec d'une tuile qui lĂąche, suivit d'un cri, le jeune homme pencha sa tĂȘte vers le bas. LĂ , se trouvait une Neko, Ă©tant tombĂ©e par inadvertance surement... Et dire que les Nekos Ă©taient censĂ©s ĂȘtre aussi agile que les chats... Certains en Ă©taint loin. Le jeune homme sauta un toit plus bas, se trouvant juste au dessus de la silhouette. Il s'assit au bord du toit, une jambe pendant dans le vide, l'autre repliĂ©e vers lui, son visage calĂ© dans sa paume. - Tout les chats ne devraient pas jouer sur les toits, si vous voulez mon avi... _________________âMy only friend is my pain... ~ Laisse moi mourir dans mon royaume de solitude. Miss Corbac. Fondatrice Barjot. Nombre de messages 10558Age 27Date d'inscription 09/03/2007FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re Si tout Ă©tait Ă refaire... Le ferais-tu ? [PV L'Ombre] Sam 13 Juin - 1758 Musique ~ Elle se relevait lentement, pleurant en silence comme d'habitude. Serrant la machoire, elle ne comprenait pas, elle ne savait pas. Pourquoi pleurait-elle ? Elle a toujours Ă©tĂ© une NĂ©kos... Depuis le moment ou elle a ouvert ses yeux, il y a toujours eut ses oreilles, cette queue, ces pupilles de fĂ©lins, ces canines, toujours... Alors pourquoi ? Pourquoi cela l'avait Ă©tonnĂ© ? Avait-elle Ă©tĂ©... D'une autre race ? Alvinykiosa resta Ă quatre pattes sur le sol avant de se relever lentement, essuyant ses pleures d'un revers de manche, serrant un peu plus sa machoire au file des secondes, se maudissant de pleurer de nouveau. Ses oreilles sursautĂšrent, se relevant doucement et se tournant vers une direction. La jeune NĂ©kos tourna la tĂȘte vers un homme, assis sur un toit un peu au-dessus d'elle, se moquant surement de son manque d'agilitĂ© et de rĂ©flexe lors d'une chute. Alvinykiosa essuya le reste de ses sanglots, remettant sa tĂȘte droite et ne rĂ©pondant rien au premiers abords. Et pour rĂ©pondre quoi ? Ce qui tĂ©rrassait son esprit depuis quelques minutes ? -Je ne suis pas un chat...Ses mots avaient outrepassĂ© ses lĂšvres sans qu'elle fasse attention. Le regards haineux et rougeoyant de la jeune nĂ©kos se posa sur l'homme, serrant de nouveau la machoire et ses oreilles se plaquant petit Ă petit contre son crĂąne. En colĂšre ? Contre elle-mĂȘme. Odieux conflit intĂ©rieur qui rĂ©gnait dans son esprit, au trĂ©fond de son inconscient qui se battait contre se sceau de souvenir qui enfermait la vĂ©ritable personne qu'elle Ă©tait. Remettant sa tĂȘte droite, elle resta ainsi, laissant tomber lourdement son bras le long de son corps. Le regard vide et froid perdu dans le vague. Non, elle n'Ă©tait pas un chat. Alvinykiosa passa une main sur ses oreilles, puis elle glissa cette mains dans sa nuque, la massant doucement. AprĂšs quelques secondes, elle passa sa main sur sa queue de chat, serrant de nouveau sa machoire. ColĂšre, haine, dĂ©sespoir ? Tout ceci se mĂȘlait Ă la dĂ©couverte d'un corps qui avait toujours Ă©tĂ© le sien dans ses souvenirs de maintenant. Mais, elle le savait inconsciemment, ce corps n'a jamais Ă©tĂ© sien. Il a Ă©tĂ© crĂ©er de toute piĂšce. Les yeux de la jeune nĂ©kos se remplirent de nouveau de larmes, serrant les points, elle s'Ă©lança de nouveau sur les marque... Cette sensation... Courrant sur les toits, elle sauta agilement sur poutre et autres points ou elle rĂ©haussa sans cesse ses sauts, voulant aller au plus haut, rejoindre l'astre lunaire, oublier cette sensation, ce symbole qu'elle avait dessinĂ© de ses doigts encore imbibĂ© de sang des trois hommes qu'elle avait jeune nĂ©kos sauta pour arriver sur une poutre, elle n'avait pas remarquĂ© son bois dĂ©vorĂ© par des parasites, quand ses pieds voulurent prendre appuis, le bois craqua. La jeune femme lĂącha un nouveau cri Ă©touffer par ses soins, tombant lourdement sur le sol. Dans un miaulement de douleur, elle se releva tant bien que mal, pleurant de nouveau. Serrant son poing, elle frappa le sol de toutes ses forces, encore et encore, si bien que sa peau Ă©clata sous le choc. Le sang coulait lentement sur le sol. Tandis qu'entre deux larmes, elle dit quelques mots qu'elle se rĂ©pĂ©tait dans son ne suis pas un chat...Elle se releva, s'adossant machinalement Ă un mur prĂ©s d'elle, le visage baissĂ©, ses cheveux cachant les traits fin parcourut de larmes du visage de la nĂ©kos. Sa queue bougeait lentement, et ses oreilles Ă©taient baissĂ© par dĂ©pit. Alvinykiosa resta ainsi, contre le mur, pleurant lentement, laissant sa main saigner. Le sang glissa le long de la plaie, glissant le long des doigts de la belle nĂ©kos avant de gouttĂ© sur le sol, lentement. La douleur arriva rapidement, prenant tout le membre de la jeune femme qui ne broncha pas, assumant cette douleur en Que les dieux vous protĂšge, mes frĂšres dragons. Que les dieux vous pourchasse, adversaire des autres races. »DerniĂšre Ă©dition par Miss Corbac le Dim 14 Juin - 052, Ă©ditĂ© 1 fois L'Ombre. Jouet de la Fondatrice. Nombre de messages 521Age 28Date d'inscription 28/08/2008FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re Si tout Ă©tait Ă refaire... Le ferais-tu ? [PV L'Ombre] Sam 13 Juin - 1828 - Chat ou pas, pour l'instant, je ne vois qu'un chaton qui a besoin de rĂ©confort... Sa main se perdit dans les cheveux de la jeune Neko, se voulant rĂ©confortante. Il n'Ă©tait pas Ă l'aise dans ce genre de chose, mais encore une fois, connaissait la base des gestes Ă faire. Il n'Ă©prouvait pas de pitier. Il n'Ă©prouvait pas de compation. Il voyait juste une rĂ©action qu'on lui avait apprit Ă gĂ©rer. Ou du moins, Ă appaiser un peu. Alors, il rĂ©agissait, comme s'il devait le faire. VoilĂ tout, il ne faisait que refaire ce qu'on lui avait apprit dans diffĂ©rente condition. De plus, il pouvait s'entraĂźner sans risque de rĂ©prĂ©saille, plus personne ne pouvait le surveiller ici. - Fermez vos yeux et oubliez un peu tout ce qui vous tracasse. Vous mettre dans un Ă©tat pareil est inutile. RĂ©flĂ©chissez au calme. Ne bougez pas le temps que sa passe. Rien, malgrĂ© ses paroles, les mots sortaient comme il avait apprit Ă les dire. Il attrapa la main de la jeune femme, retira les bandages de son avant bras gauche, et les enroula autour de la main de la jeune femme. Se reculant doucement en retirant sa main des cheveux de la Neko, il regarda rapidement son Ă©tat, et passa sa main devant les quelques blessures supĂ©rficiel qu'elle avait, laissant ses ombres soigner cela un minimum. Sa nymphe lumineuse Ă©tait parfaite dans ce rĂŽle. Passant ensuite ses mains sur le visage de la jeune femme pour sĂ©cher ses larmes, geste qui lui semblait ĂȘtre rĂ©confortement, il croisa les bras et se plaça face Ă elle. Il ne chercha mĂȘme pas Ă la dĂ©tailler ou Ă observer son corps plus qu'il n'en avait eut besoin pour la soigner, mais ce visage et ces vĂȘtements lui rappelĂšrent vaguement quelque chose. - Hmm... Vous ĂȘtes de la taverne vous aussi. Je peux vous raccompagner si vous le souhaitez. Ne restez pas trop seule tant que vous n'allez pas dormir. La solitude tue aussi bien que la souffrance. Se retournant en direction de la taverne, il proposa son bras Ă la Neko pour la raccompagner. Education noble oblige. Pourquoi faisait-il ça pour une Neko qui lui semblait, pour le moment, comme une autre ? Simple. Encore une fois, il appliquait ce qu'on lui avait apprit, pour mieux le refaire ensuite. Un bon pantin, il n'Ă©tait rien de plus... Et pourtant, ça ne l'empĂȘchait pas de s'ĂȘtre prit au jeu de vouloir faire aller mieux cette jeune femme. _________________âMy only friend is my pain... ~ Laisse moi mourir dans mon royaume de solitude. Miss Corbac. Fondatrice Barjot. Nombre de messages 10558Age 27Date d'inscription 09/03/2007FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re Si tout Ă©tait Ă refaire... Le ferais-tu ? [PV L'Ombre] Sam 13 Juin - 2012 Chaton ? Chat ? Alvinykiosa se laissa faire, sans bouger ne serais-ce qu'un cile, elle laissa faire l'homme qu'elle avait vu et sentit un toit juste au-dessus d'elle. La jeune femme obĂ©is simplement Ă l'homme, fermant ses yeux et resserant un peu sa machoire instinctivement. Cette main sur sa tĂȘte, descendant dans ses cheveux et essuyant ses larmes. Elle rouvrit lentement ses paupiĂšres, levant ses yeux de feu sur cette homme qui soignait ses plaies avec l'ombre dont il usait. Intriguant, la jeune femme le dĂ©tailla tandis qu'il se recula, parlant de l'auberge ou elle s'Ă©tait Ă©tablit. Alvinykiosa baissa un peu les oreilles, passant une main dessus avant de s'avancer quelques pas, desserant lentement ses poings et refoulant ses mauvaises idĂ©es. Levant ses yeux de feu sur l'homme; son regard se perdant sur ses yeux jaunes derriĂšre ce masque d'argent. Pourquoi se cachait-il ? L'homme avait raison en un point, la solitude Ă©tait froide et amer, sa morsure dĂ©sagrĂ©able et quand son esprit Ă©tait tourmentĂ© et dans un Ă©tat proche du chaos, il Ă©tait vrai qu'avoir un peu de compagnie Ă©tait bien mieux. Mais lorsqu'il prĂ©senta son bras Ă la NĂ©kos, celle-ci hĂ©sita un long moment. N'ayant eut qu'une Ă©ducation un peu basique pendant 2 semaines qui avait suivit son rĂ©veille. RĂ©primant un miaulement, elle glissa son bras instinctivement, prenant ce qui lui Ă©tait Souffla-t-elle la tĂȘte toujours baissĂ© quelques peu, elle se mordilla la lĂšvre infĂ©rieur d'un crocs, laissant l'homme la guidĂ© vers l'auberge. Dans un souffle ont put entendre un merci se rapprochant d'un miaulement de douleur interne inexplicable. Quelques vertiges la prit doucement, elle posa une main sur son visage, ses yeux voyant quelques taches rouges sur deux de ses doigts. Eloignant la main de ses yeux pour examiner le sang sĂ©cher sur ses doigts, comme un flash, elle se souvient du combat avec les trois hommes, l'adrĂ©naline, l'impression de ne pas ĂȘtre dans son corps et puis cette marque qu'elle a dessinĂ© instinctivement avec le sang des hommes qu'elle a Ă©liminĂ©. Qu'Ă©tait-ce ? Perdue, dans ses pensĂ©es, elle ne remarqua pas qu'ils Ă©taient devant l'auberge ou elle s'Ă©tait Ă©tablit le temps de ses recherches sur son existence. Mais avec cette soirĂ©e, Alvinykiosa ne savait mĂȘme plus ce qu'elle cherchait, ce qu'il fallait trouvĂ© ou encore si c'Ă©tait ici que ses recherches allaient aboutire. Elle lĂącha un lourd soupire, se massant une tempe de sa main de libre. Mal de crĂąne, et la douleur de sa marque juste en-dessous de sa nuque la lançait Que les dieux vous protĂšge, mes frĂšres dragons. Que les dieux vous pourchasse, adversaire des autres races. » L'Ombre. Jouet de la Fondatrice. Nombre de messages 521Age 28Date d'inscription 28/08/2008FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re Si tout Ă©tait Ă refaire... Le ferais-tu ? [PV L'Ombre] Sam 13 Juin - 2049 Il c'Ă©tait contenter de rester silencieux, aux cĂŽtĂ©s de cette jeune femme pendue Ă son bras, la laissant profiter d'un peu de compagnie dans ce monde de souffrance. Ils ne tardĂšrent pas Ă arriver devant la taverne, et le jeune homme ne tarda pas Ă sentir le regard haineux de la femme du tavernier ce poser sur lui. Un sourire amusĂ© et imperceptible vint illuminer le coin de ces lĂšvres. Elle devait enrager... Tant mieux. Sur le coup, il apprĂ©ciait vraiment la compagnie de cette Neko, qui allait lui Ă©viter bien des problĂšmes par la suite... Profitant de la distance, il s'arrĂȘta, et regarda la jeune femme. Posant sa main sur la sienne, il se tourna vers elle, sans lĂącher son bras. Sur son visage, Ă©taient visible des marques de douleurs. Cependant, pour le moment, il pensait plus Ă la femme qui avait tentĂ© de l'amadouer, en train d'arrangerr en les voyant aussi prĂȘt l'un de l'autre, sans pouvoir voir ce qu'ils faisaient. Qu'elle imbĂ©cile... Puis, redevenant plus sĂ©rieux, il fit doucement glisser sa main sur le front de la Neko. Une lĂ©gĂšre chaleur... Ce doutant qu'elle avait besoin de repos mais aussi de quoi calmer ses douleurs, il songea un instant Ă ce qui se trouvait dans sa chambre... Il avait bien des trucs contres tout type de douleur. Surement un peu exagĂ©rĂ© pour un cas comme ça, mais au moins, elle irait mieux. Doucement, il retira sa main du front de la jeune femme. Sa voix s'Ă©leva, doucement, calmement, comme un murmure, pour maintenire cette atmosphĂšre de calme et de confiance qu'il avait voulu instaurer. - J'ai surement de quoi vous faire aller mieux si vous le souhaitez... De plus, vous pourrez parler si vous le souhaitez, et je pourrez m'occuper de vos blessures restantes. Qu'en dites vous ? Laissant tout son temps Ă la Neko pour choisir, le jeune homme lui accorda un sourire - faisant partit de son jeu - lorsqu'elle accepta de venir. Se retournant vers la taverne, il se dirigea avec elle Ă sa chambre, alors que la patronne des lieux passa Ă cĂŽtĂ© de lui, laissant les deux ĂȘtres s'Ă©changer des phrases. Les unes se voulant tranchantes et pleines de haines, les autres moqueuses et indiffĂ©rentes. Cependant, le jeune homme fit bien attention de ne pas laisser appercevoir la jeune femme Ă cette furie, pour Ă©viter des Un don juan, ou vous n'avez rien trouvĂ© de mieux pour passer votre soirĂ©e ? - Une chose est sĂ»r, vous, vous n'Ă©tiez pas mieux.. Et tout le monde n'a pas votre esprit dĂ©placĂ©, ma chĂšre. Montant ensuite Ă l'Ă©tage en redĂ©posa sa main sur le front de la Neko, il regarda sa chambre, et lĂącha un soupire... Bingo. Elle l'avait belle et bien fait ouvrire. La porte Ă©tait intacte, les clefs aussi, mais la chaise qui bloquait la porte Ă©tait... En piteux Ă©tat. La patronne n'avait pas du apprĂ©cier le faite d'avoir Ă©tait rejetĂ©e ainsi... Enfin. Il alluma la lumiĂšre et ammena la Neko jusqu'au lit, la faisant s'assoire. Laissant volontairement la porte ouverte, pour qu'elle comprenne clairement qu'il n'avait pas de mauvaise intention ou qu'il n'Ă©tait pas au niveau de ces pervers des bas fonds, il partit fouiller dans ses affaires, et trouva enfin l'objet de ces dĂ©sires. Un mĂ©dicament un chouilla concentrĂ©, Ă effet dans la minute qui suit... Bon, au moins, ce serait efficace. Il s'approcha de la petite cuisine de la chambre, et attrapa un verre, dans lequel il mela le mĂ©dicament - qui se prĂ©sentait sous forme liquide - et de l'eau. Puis, attrapant un plateau, il y dĂ©posa un morceau de pain, et apporta le tout Ă la jeune femme. - Attention au mĂ©dicament, il n'est pas vraiment bon au goĂ»t... Mais vous irez mieux. Pour ce qui est du repas, vous voulez quelque chose ? Demandez ce que vous voulez manger et je vous fais ça. Se reculant, il retira sa veste noire, dĂ©voilant son corps simplement recouvert d'un T-shirt Ă manche long noir. Passant rapidement une main dans ses cheveux, il attrapa une chaise rapidement, et sa plaça face Ă la Neko. - Si vous prĂ©fĂ©rez que je m'occupe de vos blessures, aucun problĂšme. Oh, et pour la porte, fermez la si vous souhaitez ĂȘtre plus Ă l'aise. Se levant rapidement, il se dirigea vers la salle de bain, et alluma l'eau du robiner. LĂ , il la laissa couler entre ces mains, et en rĂ©pandit un peu sur son visage aprĂšs avoir retirĂ© son masque, laissant la Neko seule quelques instants. Puis, se sĂ©chant avec une serviette, il posa son regard sur le visage se prĂ©sentant dans la glace... Il allait devoir se mutiler un peu, pour justifier son masque et ne pas risquer de se faire prendre. Puis, redĂ©posant le masque d'argent sur sa peau, il ressortit de la salle de bain, et posa son regard sur la Neko, lui accordant un sourire rĂ©confortant. - Salle de bain, cuisine, tout est Ă votre disposition, mĂȘme si vous avez votre chambre qui n'est pas loin. _________________âMy only friend is my pain... ~ Laisse moi mourir dans mon royaume de solitude. Miss Corbac. Fondatrice Barjot. Nombre de messages 10558Age 27Date d'inscription 09/03/2007FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re Si tout Ă©tait Ă refaire... Le ferais-tu ? [PV L'Ombre] Sam 13 Juin - 2317 Assise sur le lit de l'homme, elle fixa le verre d'eau, sentant l'odeur du mĂ©dicament mĂȘler au liquide de vie. Elle hĂ©sita longuement avant de prendre le mĂ©dicamenent, la nĂ©kos prit le verre, avalant cul sec le liquide qui avait un goĂ»te plus que dĂ©sagrĂ©able. Alvinykiosa frisonna de dĂ©goĂ»ts, faisant une grimace un soupçon exagĂ©rĂ©, les oreilles en arriĂšre, elle avala difficilement le liquide avant de sauter sur le pain pour faire passer le goĂ»t. Son ventre ne criait pas famine, elle voulait juste enlever ce goĂ»t plus qu'immonde de sa bouche. La jeune NĂ©kos passa une main sur ses lĂšvres avant de regarder Ă nouveau le sang sur ses doigts, se rappellant par sĂ©rie de flash le combat, l'enivrante sensation quand elle a sentit le sang chaud de ses ennemies couler le long de son arme. Alvinykiosa se remĂ©mora le combat dans ses moindres dĂ©tails, se recrovillant sur le lit en enlevant ses chaussures juste avant. La jeune femme posa son menton entre ses genoux, le regard vide et perdu dans le vague tandis que l'homme s'assis en face d'elle. Alvinykiosa leva ses yeux, le fixant, lui, derriĂšre son masque, qui Ă©tait-il ? La jeune NĂ©kos ne put s'empĂȘcher de se recroviller un peu plus, soupirant en baissant ses yeux de feu sur ses pieds qu'elle regarda distraitement. La nĂ©kos sentit un courrant d'air lui hĂ©rissĂ© les poils de ses oreilles. Alvinykiosa se leva simplement, allant fermer la porte avant de regarder sa main sur la poignĂ©e et de se tourner vers l' avez l'habitude d'ĂȘtre ainsi avec des inconnu ?Venant se rassoir en face de l'homme, recrovillant ses jambes contre elle et entourant celles-ci de ses bras. Elle se rendit compte d'une nouvelle chose pour elle, depuis sa "naissance" elle n'avait connu que ce comportement. Sensible, attentionnĂ©, quelques gestes pour la mettre en confiance et des sourires, une voie mielleuse. Alvinykiosa n'avait pas connu l'autre face des gens, la perversion, la mĂ©chancetĂ© gratuite, le sadisme et pleins d'autres choses toutes plus noirs les unes que les autres. Elle n'avait connu que la douceur et l'attention. Peut-ĂȘtre trop un regard un peu curieux, elle pencha la tĂȘte lĂ©gĂšrement d'un cĂŽtĂ©, essayant de deviner les traits de l'homme sous son masque. Elle aurait bien voulu le voir sans, mais par politesse, elle n'allait pas tenter de l'enlever. La jeune femme tourna ses yeux vers une ouverture, une fenĂȘtre, frisonnant rien qu'a la vue de cette lune. Non pas de cette envie irresistible de sortir et de sentir le vent frais de la nuit la prendre au corps. Mais de ce frisson indescriptible, de peur ? Peut-ĂȘtre, surement, elle redoutait de revoir ses corps, ses hommes qu'elle avait mit Ă mort sans vaciller, ses main n'avaient pas tremblĂ© et lorsqu'elle avait fait ce symbole, sa main avait bougĂ© selon son instinct. La NĂ©kos fixa ses deux doigts couvert de sang sĂ©chĂ©, dans un soupire, elle cacha ses doigts en regardant le sol vaguement. Bougeant doucement sa queue de chat et ses oreilles, ne sachant pas quoi dire. Tout ce qu'elle ressentait, c'Ă©tait une envie de ne pas partir, de rester ici, avec quelqu'un, de ne pas laisser la solitude entĂąmer son ĂȘtre de nouveau. Les pensĂ©es noirs, cette sensation de ne pas ĂȘtre dans le bon corps, de ne jamais avoir Ă©tĂ© un NĂ©kos... Cette voie dans son crĂąne qui rĂ©pĂ©tait avec furie et conviction qu'elle n'Ă©tait pas un chat ou un chaton. Alvinykiosa se massa les tempes lentement, se demandant vraiment si elle pouvait demander Ă cet homme de bien vouloir la laisser dormir ici, avec lui. C'Ă©tait grotesque et dĂ©plaçé, voilĂ pourquoi dans un soupire, la nĂ©kos se rĂ©signa et se mettait dĂ©jĂ dans un Ă©tat d'esprit de retour Ă la solitude. Cette solitude amer qui avait laissĂ© comme un vide dans son de Jerry, plus de souvenirs, plus de Silvius et plus de preuves de son existences, la seule qu'elle possĂ©dait Ă©tait un vieux fusil Ă pompe, une Ă©pĂ©e qui n'Ă©tait jamais sortit de son fourreau depuis 2 longues annĂ©es et un nom. Un simple nom. Alvinykiosa leva son regard vers l'inconnu, une de ses oreilles repliĂ© sur elle-mĂȘme. Si elle voulait ne pas passer sa nuit seule, il fallait juste demander de la passer ici avec l'homme non ? Il suffisait de demander. Elle qui ne savait pas le double sens qu'une tel proposition pouvait avoir la tĂąche serait que je pourrais passer la nuit ici avec vous ?Simplement, quelques mots. Son regard posĂ© dans celui de l'homme, sa queue bougeant doucement de temps en temps, sa tĂȘte poser sur ses bras entourant le haut de ses genoux. Elle avait demandĂ© ça avec une simplicitĂ© qui trahissait l'innocence qui l'hantait. Ne voyant aucune rĂ©action d'approchement, l'homme resta sur sa chaise, immobile. Il voulait surement ĂȘtre simplement sur sa chaise et la regarder s'endormir. Baissant les oreilles, elle ne savait pas insister, elle ne savait pas demander une tel chose. Elle s'Ă©tait toujours endormis ainsi, devant les yeux de Silvius ou seul, malgrĂ©s qu'elle aurait voulu s'endormir dans les faibles bras de son maĂźtre, elle n'avait jamais osĂ© demander ouvertement la chose. Se mordant la lĂšvre infĂ©rieur, elle baissa le ton, avant de demander dans une voie proche du Vos bras ?..._________________ Que les dieux vous protĂšge, mes frĂšres dragons. Que les dieux vous pourchasse, adversaire des autres races. » L'Ombre. Jouet de la Fondatrice. Nombre de messages 521Age 28Date d'inscription 28/08/2008FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re Si tout Ă©tait Ă refaire... Le ferais-tu ? [PV L'Ombre] Dim 14 Juin - 014 - Ătre ainsi, hein...? Pour tout vous dire, je n'en sais rien. Vous ĂȘtes la premiĂšre personne Ă m'offrire une compagnie agrĂ©able depuis 2 ans, mais de la Ă dire que je suis ainsi avec tout les inconnus... Il haussa les Ă©paules, et retourna s'assoire sur la chaise, laissant le temps Ă la jeune femme de revenir face Ă lui... En y repensant, il ne savait mĂȘme pas son nom. Mais bon, Ă©tait-ce rĂ©ellement important... Soupirant, il laissa ses doigts caresser son masque d'argent, avant de se retourner vers la jeune femme lorsqu'elle reprit la parole. Passer la nuit ici hein ? Le jeune homme lui adressa un sourire, sans pour autant bouger, juste un signe de tĂȘte. Pourtant, quelque chose n'allait pas... Il pencha doucement la tĂȘte, lui laissant le temps de s'exprimer... Peut-ĂȘtre n'aurait-il pas dĂ»t. Lorsqu'elle lui exprima plus ou moins clairement le problĂšme, il se raidit sous son masque. Un peu directe sur ce coup... Elle avait beau ĂȘtre parfaitement innocente, c'Ă©tait un peu... DĂ©placĂ©. Enfin... LĂąchant un soupire, il la regarda un peu... Incapable de rĂ©sister Ă ce visage adorable, et prit de gĂȘne mais du besoin d'une prĂ©sence, il finit cependant par cĂ©der. Elle pouvait remercier sa bouille gĂȘnĂ©e et le faite qu'il n'ait vu personne d'agrĂ©able depuis deux ans... Sans un mot, il se leva, et Ă©teignit la lumiĂšre de la chambre. Revenant vers la jeune Neko, il remit sa chaise en place, et hĂ©sita un moment... Puis, regardant doucement par le fenĂȘtre, il se contenta de tirer le rideau pour masquer cette lune, qui ne laissait Ă prĂ©sent qu'un pĂąle halo illuminer la piĂšce. Dans un nouveau soupire, il regarda la Neko allongĂ©e dans les draps... Puis, relevant doucement les draps blanc aprĂšs avoir retirĂ© chaussure et chaussette, il vint se glisser contre le corps chaud de la jeune femme, lui tournant d"abord le dos... Puis, lĂąchant un Ă©niĂšme soupire, il se retourna doucement. Observant la Neko, il ferma quelques instants ses yeux sous son masque... Etait-ce vraiment une bonne idĂ©e ? Oh, et puis... Qu'importe. Il laissa ses bras passer autour du corps de la jeune femme, et la tira contre son torse, laissant ses bras enlacer autour d'elle. Se laissant enivrer par son odeur, se laissant rĂ©chauffer par sa prĂ©sence, il finit par lentement fermer ses yeux, sentant la douce respiration de la jeune femme... Ce contacte Ă©tait... AgrĂ©able... _________________âMy only friend is my pain... ~ Laisse moi mourir dans mon royaume de solitude. Miss Corbac. Fondatrice Barjot. Nombre de messages 10558Age 27Date d'inscription 09/03/2007FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re Si tout Ă©tait Ă refaire... Le ferais-tu ? [PV L'Ombre] Dim 14 Juin - 032 LĂ ... Simplement... Contre cet homme, ses paupiĂšres se fermĂšrent lentement, ses main posĂ© contre lui, elle s'endormit lentement, son souffle se perdant sur la peau pĂąle et lisse de l'homme. Se rapprochant un peu de lui, posant son front contre son buste et se laissant allĂ© dans les doux bras de morphĂ©e. Le visage calme, les oreilles bougeant faiblement lorsque que quelques choses les gĂȘnaient, sa queue poser contre une de ses jambes. Elle s'endormit lentement, le souffle rĂ©gulier, les battements de son coeur rĂ©sonnant dans ses oreilles. Comme au premier jour ou elle avait ouvert les yeux, elle entendait ce battement rĂ©gulier envahissant son esprit, rythmant ses pensĂ©es et calmant son esprit. Ce bruit... Ce battement rĂ©gulier et parfait, tout ceci l'endormait, rassurant son ĂȘtre des peurs rencontrĂ© durant cette soirĂ©e. La chaleur de l'ĂȘtre, ses bras entourant ses Ă©paules accentuait cette sensation de bien-ĂȘtre. Un sommeil profond et sans rĂȘve arriva bien vite, prenant la nĂ©ko qui sombrait lentement, enlisant son esprit dans l'engourdissement du sommeil lent et profond. Le souffle rĂ©gulier, les bruits des battements de son coeur faiblissant dans ses oreilles, cette sensation de bien-ĂȘtre, le visage calme et paisible, blottis contre l'homme, elle dormait paisiblement. Un sommeil de belle au bois dormant, un simple sommeil pour oublier tout ce qui c'Ă©tait passĂ©... Le temps d'une nuit, d'un moment. Le soleil, comme le premier jour, quelques rayons masquer par le rideau chatouilla la joue de la NĂ©ko, dans un miaulement d'inconfort, ses paupiĂšres frĂ©tillĂšrent, s'ouvrant lentement. Alvinykiosa eut l'impression de revivre ce matin, ou ses yeux venaient de s'ouvrir pour la premiĂšre fois depuis ses souvenirs. Mais ses yeux s'ouvrirent sur la chambre de l'homme auprĂ©s duquel elle s'Ă©tait endormis. La nĂ©kos miaula un peu avant de remettre les draps au-dessus de son cou, voulant, visiblement, passer encore un peu de temps sous les draps chauffĂ© et tiĂšde de la nuit passĂ©. Refermant ses yeux, pendant quelques minutes, elle resta au calme. Une douce odeur de nourriture titilla ses narines, ses oreilles bougĂšrent, entendant le bruit d'un plateau repas qu'on lui apportait au lit et de bruit de pas. Ses yeux s'ouvrirent, elle leva la tĂȘte pour voir l'homme s'approcher avec un petit dĂ©jeuner au lit. Dans un sourire, elle s'Ă©tira tel un fĂ©lin avant de s'assoir, souriant doucement, se frottant les yeux. Repliant ses jambes en tailleurs, elle laissa l'homme installer le plateau. Posant ses yeux de feu sur l'homme, elle sourit de plus belle. -Merci ! Vous avez bien dormis ? Ses oreilles, tel un gps, cherchait le chant des oiseaux qu'elle trouva sans mal, faible, mais prĂ©sent. La jeune nĂ©ko tourna la tĂȘte en direction du chant, souriant et savourant ce petit concert, lui rappellant la premiĂšre chose qu'elle a entendu aprĂšs les battements de son coeur. Son ventre la rappela Ă la rĂ©alitĂ©, et elle posa son regard gourmand sur le petit dĂ©jeuner plus que complet qu'on lui avait apportĂ©. Alvinykiosa ne sut pas vraiment par quoi commencer, mais se dĂ©cidĂ© pour un croissant qu'elle coinça entre ses dents, mangeant par petites bouchĂ©s, la tĂȘte tournĂ© vers l'homme, les oreilles bougeant au file des bruits qu'elle pouvait entendre, sa queue se mouvant lentement. Elle sourit, simplement. Un simple sourire plus que sincĂšre et radieux, elle Ă©tait contente, heureuse, ayant passĂ© une excellente nuit, elle Ă©tait juste... Que les dieux vous protĂšge, mes frĂšres dragons. Que les dieux vous pourchasse, adversaire des autres races. » L'Ombre. Jouet de la Fondatrice. Nombre de messages 521Age 28Date d'inscription 28/08/2008FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re Si tout Ă©tait Ă refaire... Le ferais-tu ? [PV L'Ombre] Dim 14 Juin - 103 - Oui, j'ai passĂ© une excellente nuit, merci. Ouvrant la fenĂȘtre avant de s'assoir sur un coin du lit, il regarda la jeune femme manger, et son visage se tourner vers lui. Un sourire... Un simple sourire. Fort, doux, rĂ©confortant, agrĂ©able... Oui, ce simple sourire suffit Ă rĂ©conforter son Ăąme gelĂ©e. - Apparemment, je n'ai pas besoin de vous demander si la votre a Ă©tĂ© bonne... Vous ĂȘtes radieuse, un vrai plaisir. Ces paroles Ă©taient sincĂšre, c'Ă©tait sensible. Lentement, le jeune homme se laissa tomber en arriĂšre, s'allongeant sur le matelas... Ne bougeant plus, ses yeux se refermĂšrent doucement, alors qu'il se perdait dans ses pensĂ©s. D'abord, il repensait Ă cette nuit... Un moment vraiment agrĂ©able, passĂ©e contre une Neko vraiment joyeuse Ă prĂ©sent. Pour lui, une prĂ©sence de ce genre Ă©tait vraiment inhabituel et trĂšs agrĂ©able, et revigorant. Une pauvre Neko innocente... Elle avait eu de la chance, elle aurait pu tomber sur d'autre genre de personne. Rouvrant lentement les yeux, le jeune homme passa sa main sur son masque, songeant Ă la suite. Il devait modifier son vrai visage, et continuer de bosser sur ces contrats... Et en plus s'occuper de la Neko. Pour combien de temps d'ailleurs...? Bonne question... - Dites moi... Je ne sais rien de vous. Pourrais-je au moins connaitre le nom de celle avec qui j'ai passĂ© ma nuit ? Un petit sourire c'Ă©tait dessinĂ© sur ses lĂšvres. Fin, mais lĂ . Il reporta lentement son regard sur le plafond, puis, finit par se relever, allant chercher des vĂȘtements propres, et adressa un rapide signe de la main Ă la jeune femme. - Prennez votre petit dĂ©jeunĂ© tranquillement le temps que j'aille me doucher. Entrant dans la salle de bain, il en referma doucement la porte derriĂšre lui, et retira ses vĂȘtements, dĂ©voilant sa peau pĂąle recouvert de son immense tatouage. Lentement, il examina son corps, et finit par se glisser son l'eau chaude. Laissant le liquide ruisseler sur son corps, il se savonna et se rinça, avant de profiter du contacte chaud et revigorant de l'eau sur son corps, restant perdu dans ses pensĂ©es, enfin au calme... Que devait-il faire Ă prĂ©sent, hein...? Attendre ? Apparemment... Alors que l'eau coulait toujours sur sa peau, il entendit la porte s'ouvrire doucement... N'y faisant d'abord pas attention, s'imaginant qu'il s'agissait de la porte de la chambre, la surprise fut cependant de taille... - Que... _________________âMy only friend is my pain... ~ Laisse moi mourir dans mon royaume de solitude. Miss Corbac. Fondatrice Barjot. Nombre de messages 10558Age 27Date d'inscription 09/03/2007FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re Si tout Ă©tait Ă refaire... Le ferais-tu ? [PV L'Ombre] Dim 14 Juin - 1308 Le croissant disparut dans le gosier de la nĂ©kos, tout comme le chocolat chaud dont elle lĂ©cha les traces de lait avec sa langue, elle engloutit aussi tout le reste pour avoir le ventre bien remplit. AprĂšs cela, elle s'Ă©tira de nouveau, faisant craquer nuque, Ă©paule, doigts. Alvinykiosa regarda l'homme allongĂ© Ă l'autre bout du matelas, elle le fixa un moment, souriant quand celui-ci avoua avoir passer une bonne nuit. La jeune femme tourna la tĂȘte vers la fenĂȘtre, le soleil avait remplacĂ© l'astre lunaire. Les yeux de feu posĂ© sur le ciel dĂ©gager parcourut par quelques nuages blanc, la nĂ©ko rĂ©flĂ©chissait, si ce qu'elle avait fait hier passerait inaperçus... Ou non. Ses yeux glissĂšrent sur l'homme quand celui-ci demanda son nom, surprise au dĂ©but qu'il ne l'ai pas demandĂ© plus tĂŽt, son visage se dĂ©tendit dans un sourire. Son nom ? Elle n'Ă©tait mĂȘme plus sĂ»r que c'Ă©tait rĂ©ellement le sien... Quelqu'un l'avait appelĂ© ainsi, elle en avait dĂ©duit que c'Ă©tait son prĂ©nom. A part ce nom, elle n'a aucune preuve de son existence et ce qui c'est passĂ© la veille accentuait son impression de n'ĂȘtre pas ce qu'elle devrait ĂȘtre. Dans un soupire, elle secoua lĂ©gĂšrement la tĂȘte, se dĂ©barrassant de ses pensĂ©es, elle devait juste rĂ©pĂ©ter ce nom qui, pour le moment, portait le nom de son existence et Ă©tait la seule preuve d'elle avec ses quelques souvenirs. -Je m'appelle Alvinykiosa et vous ? Voyant l'homme garder le silence et dĂ©cider d'aller prendre sa douche, la jeune NĂ©kos sortit des draps du lit, se mettant debout et bougeant quelque peu sa queue pour ne pas la laisser s'engourdire. La jeune femme prit le plateau pour le ramener Ă la cuisiner tandis que l'homme allait se doucher. Une fois le plateau posĂ©, les yeux de feu d'alvinykiosa furent attirĂ© par une gazette soigneusement pliĂ© sur une table. Les gros titres Ă©taient masquĂ© Ă moitiĂ© par un plis. La NĂ©kos prit le journal, le dĂ©pliant pour lire les gros titres, ses yeux lurent d'abord le nom de la gazette national, puis le titre "La mort du roi, le peuple en deuil", il y avait aussi, en bas Ă droite, un avis de rechercher. Ne s'intĂ©ressant pas Ă ce genre de chose, les yeux de feu de la jeune femme furent attirĂ© en haut Ă droite, juste Ă cĂŽtĂ© du gros titres de la mort du roi NĂ©kossien... "Le retour du Corbac !". Corbac ? Corbac ? Ce nom tilta dans son esprit, et instinctivement, elle lut les quelques lignes qui Ă©taient inscrites Ă la machine en-dessous du titre. "AprĂšs plus de deux ans d'absences, le corbac signe un nouveau meurtre. Trois brigands fervant de Scian ont Ă©tĂ© retrouvĂ© Ă©gorgĂ© et tuer sauvagement par le mercenaire sanguinaire portĂ© disparut. Sa marque inscrite dans le sang de ses ennemis se trouvait un peu plus loin sur le mur d'une maison. Un homme passant par lĂ tĂ©moigne avoir vu une silhouette s'Ă©chapper de la scĂšne aprĂšs l'avoir entendu arriver. Il donne aussi quelques dĂ©tails en appuyant le fait que la silhouette possĂ©dait des attributs de nĂ©kos-chats. Le corbac serait de notre nation ? En plus de l'assassin du roi, les troupes de l'armĂ©e royal recherche ce sanguinaire mercenaire, rappelons que la prime sur sa tĂȘte est astronomique ce qui aiderait beaucoup le royaume Ă son dĂ©vellopement !..." La suite Ă©tait sur une autre page. Alvinykiosa ouvrit le journal Ă la suite de l'article, ses yeux s'arrondirent en voyant la photo du symbole qu'elle avait tracĂ© instinctivement. Ses yeux tombĂšrent sur ses doigts ou quelques infimes traces de sangs sĂ©chĂ© persistaient. Serait-ce elle le mystĂ©rieux corbac ? Non impossible... Une sanguinaire mercenaire... Elle n'Ă©tait qu'une innocente NĂ©kos Ă la recherche des preuves de son existence... Elle ne savait pas se servir d'une arme, pourtant... Ses hommes... C'est elle qui les a tuĂ©, c'est elle qui les a exĂ©cutĂ©... La jeune NĂ©ko posa une main sur son crĂąne, fit quelques pas en arriĂšre, reculant, ses yeux se fermĂšrent avec insistance, un miaulement de douleur s'Ă©chappa de ses lĂšvres. Sa tĂȘte... Sa marque... Son dos... Son dos la brĂ»lait, sa tĂȘte lui faisait atrocement mal. Dans un nouveau miaulement, elle ouvrit ses yeux, se dirigeant vers la salle de bain Ă pas de loup pour ne pas dĂ©ranger. Elle hĂ©sita un momenet, la mains sur la poignĂ©e. Entrer ? Juste un peu d'eau... Juste... De l'eau et un miroir. Au final, elle ouvrit la porte, se glissant dans la salle de bain, elle se dĂ©barassa de son haut, elle se dirigea en serrant les dents vers le lavabo, fit couler de l'eau glaçé, elle en prit dans ses mains, posa le liquide rafraĂźchissant sur son visage. L'eau dĂ©goulina, la bouche ouverte, le soufle court, elle regardait l'eau couler lentement. Quelques secondes, puis sa machoire se ressera, elle passa une main dans son nuque, glissa sur sa peau jusqu'a sa nuque, elle massa ce symbole et la partit de peau qui portait le tatouage du camp d'esclave de la guerre d'AshVritt. Dans un miaulement de douleur Ă©touffer, elle continua d'essayer de dĂ©tendre la peau et de faire partir cette douleur qui dĂ©vorait cette parcelle de peau. Corbac... Corbac... PenchĂ© au-dessus du lavabo, son autre main se crispant sur le rebord, elle souffrait en silence, les dents serrer enfermant dans sa bouche et sa gorge tout miaulement ou cri de douleur. Alvinykiosa ferma fortement ses yeux, voyant sur ses paupiĂšres par flash la scĂšne ou elle a tuĂ© ses hommes, puis... Ses doigts trempant dans le sang de ses adversaires, ses doigts s'animant sur le mur de cette maison, ce symbole se dessinant instinctivement. Cette impression de ne pas ĂȘtre dans son corps. Une voie retentit dans son esprit, la mĂȘme voie, le mĂȘme timbre. *Tu le sais... Ce n'est pas ton corps* Une nouvelle douleur au niveau de la nuque, sa main se crispa sur sa peau, ses yeux fermĂ© tout comme sa machoire. Ses canines entaillĂšrent ses gencives et un fin filin de sang s'Ă©coula de ses lĂšvres. Cette voie retentit de nouveau. Sa voie... *Tu n'as jamais Ă©tĂ© un chat ! Souviens-toi... Souviens-toi... Le Corbac c'est...* La chaleur, Ă©touffante, prit Ă la gorge de la jeune Alvinykiosa, le goĂ»t du sang emplit sa bouche, elle cracha dans le lavabo une petite gerbes de sang. Ce liquide pourpe se mĂȘla Ă l'eau avant de disparaĂźtre. Sa main se crispa de plus en plus sur sa nuque. Cette voie... de nouveau... Sa voie. *... Toi.* Un seul mot... La jeune NĂ©ko lĂącha un miaulement de douleur, rouvrant ses yeux, dans un mouvement, elle laissa son dos cogner contre un mur froid et glĂącĂ©, elle se laissa glisser Ă son bout, une main crisper sur le haut de son tatouage. La jeune femme recrovilla ses jambes vers elle, son visage fermĂ© dans un grimace de douleur, ses gencives entaillĂ© de plus en plus, cette douleur... C'Ă©tait sa voie... C'Ă©tait ses pensĂ©es... C'Ă©tait... Elle ?_________________ Que les dieux vous protĂšge, mes frĂšres dragons. Que les dieux vous pourchasse, adversaire des autres races. » L'Ombre. Jouet de la Fondatrice. Nombre de messages 521Age 28Date d'inscription 28/08/2008FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re Si tout Ă©tait Ă refaire... Le ferais-tu ? [PV L'Ombre] Dim 14 Juin - 1333 Le bruit de l'eau qui coule dans le robinet se fit entendre, sans que la Neko semble y faire attention. Ce tournant vers elle, il dĂ©posa un morceau de tissu Ă©pais imbibĂ© d'eau froide sur le front de la jeune femme, et sans lui demander son avi, la prit dans ses bras. Toute la partie infĂ©rieur du corps de l'assassin Ă©tait masquĂ©e par les Ombres. Il ne fit mĂȘme pas attention Ă la tenue de la jeune femme. Allant la dĂ©poser sur le lit sans lui demander son avi, le jeune homme retourna dans la salle de bain, enfilant rapidement sous vĂȘtements, pantalon, et rĂ©cupĂ©rant les vĂȘtements de la jeune femme dans un soupire, les ajoutant Ă ses propres vĂȘtements sales. Elle se changerait plus tard. PrĂ©parant quelques bandes de tissu humide dans de l'eau fraiche, il en apporta quelques unes dans une bassine qu'il dĂ©posa sur la table de chevet du lit, et regarda longuement la Neko... LĂąchant un soupire, il la fit s'allonger sur le ventre, son silence ne lui donnant pas vraiment le choix. Passant sur elle, sans oser prendre appuit sur son corps, il attrapa une bande de tissu, et observa son dos. Une marque Ă©tait prĂ©sente lĂ oĂč sa main c'Ă©tait crispĂ©e... Juste en dessous de sa nuque... Il soupira, et passa doucement le tissu sur cette marque, cherchant Ă appaiser la douleur et l'esprit de la jeune femme. Il laissait ses mains rĂ©pandre le liquide frais sur le dos de la jeune femme, passant parfois une main dans ses cheveux ou sur sa joue pour la rĂ©conforter. Il dĂ©testait ce montrer ainsi, dĂ©voilant son corps tatouĂ©, mais il n'avait pas vraiment le choix... Doucement, il retira le sang prĂ©sent aux coins des lĂšvres de la jeune femme, et retira celui qu'il apperçut sur ces doigts. - Calmez vous... Doucement... Fermez vos yeux, dĂ©tendez vous un peu... Il se retira doucement, et prĂ©para de nouveau l'amer mĂ©dicament croisĂ© avec de l'eau, faisant en sorte qu'il soit moins dilluĂ© cette fois ci. Le posant Ă cĂŽtĂ© de la bassine ou les bandes reposaient dans l'eau froide, il souffla Ă la jeune femme de le boire, avant de dĂ©poser des bandes fraiches sur la totalitĂ© de cette marque gachant la peau douce de son dos. Remontant les draps juste au dessous des bandes de tissu, il lui fit signe de ne pas bouger, attrapant la chaise qui trainait pour se mettre face Ă elle. LĂąchant un soupire, il posa sa main sur le front de la Neko, la regardant avec, il fallait bien l'avouer, une pointe d'inquiĂštude... - Vous pouvez me le dire Ă prĂ©sent... Qu'est ce qui vous met dans cet Ă©tat ? Tout semble allait bien, mais il existe une chose capable de vous rendre ainsi en quelques instants... Quoi ? _________________âMy only friend is my pain... ~ Laisse moi mourir dans mon royaume de solitude. Miss Corbac. Fondatrice Barjot. Nombre de messages 10558Age 27Date d'inscription 09/03/2007FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re Si tout Ă©tait Ă refaire... Le ferais-tu ? [PV L'Ombre] Dim 14 Juin - 1450 Les yeux qui se fermĂšrent lentement, la gorge sĂšche et nouĂ©, la jeune NĂ©kos s'Ă©tait recrovillĂ© sous les draps, sa queue entourant ses mollet et elle, tremblante, regardait encore et encore cette scĂšne ou elle tue ses trois hommes. Encore et encore... Elle regarde, comme extĂ©rieur Ă la scĂšne, ses doigts dessinĂ© le symbole sur le mur, encore et toujours cette sensation de ne pas ĂȘtre dans son corps. La jeune femme entend la voie de l'homme lui souffre de prendre le mĂ©dicament, elle obĂ©is simplement, se relevant en grimaçant, elle avala le liquide avec difficultĂ© avant de rester assise sur le matelas, les oreilles baissĂ©, le regard vide. Quelques choses d'humides et de froid dans le dos sur une brĂ»lure qui la lance et lui fait plus que mal. La jeune femme passe une main sur le tissu imbibĂ© d'eau avant de soupirer. Alvinykiosa se recrovilla de nouveau remettant les draps sur elle, elle ferme ses yeux, et regarde sans pouvoir arrĂȘter ce manĂšge infernale, le regard de l'homme la suppliant de l'Ă©pargner. La NĂ©kos ouvre les yeux, prĂ©fĂšre regarder vaguement la piĂšce et le regard de l'homme poser sur elle, un lĂ©ger silence plĂąne, elle entrouvre ses lĂšvres et seulement quelques mots arrivent Ă sortir de son ĂȘtre. Tandis que quelques vertiges violent la prenne. D'un faible mouvement de menton, elle dĂ©signe la gazette encore ouverte sur l'article du hommes... Je les ai tuĂ©s... Sa gorge se ressere, un miaulement sort de son ĂȘtre, elle referme les yeux, dĂ©glutit difficilement, pose une main sur son font bouillant. Elle a chaud... Elle a l'impression de tomber... Elle se force Ă terminer sa phrase, se recrovillant un peu plus sur elle. -Corbac... Moi... ? C'Ă©tait une question Ă elle-mĂȘme, lentement, elle ferme ses yeux, insconscience. Enfermer dans les bras de morphĂ©e dans un sommeil agitĂ© mais calme en apparence, elle revit de nouveau ce combat, l'adrĂ©naline, l'envie de tuer, son regard, sa voie dur et froide s'Ă©lĂšve et dans son esprit, un vide, immense, un manque... Soudain... Un froid Que les dieux vous protĂšge, mes frĂšres dragons. Que les dieux vous pourchasse, adversaire des autres races. » L'Ombre. Jouet de la Fondatrice. Nombre de messages 521Age 28Date d'inscription 28/08/2008FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re Si tout Ă©tait Ă refaire... Le ferais-tu ? [PV L'Ombre] Dim 14 Juin - 1543 Il attrapa vivement la gazette, cherchant l'article sur la mort de trois hommes... Il se raidit en lisant le nom du Corbac, qui fut ensuite prononcĂ© par la jeune femme... Le Corbac, cette mercenaire disparue depuis deux ans, prĂ©tendue mort chez les Datenshi, Ă la suite d'une histoire oĂč le jeune homme Ă©tait liĂ©... La derniĂšre chose qu'il avait fait hors du chĂąteau Datenshi depuis ces deux derniĂšres annĂ©es... Elle, cette Neko innoncente, le Corbac ? Quelque chose clochait... C'Ă©tait Ă©trange... - Le Corbac... Dracos Maniak, la mercenaire qui Ă©tait contrĂŽlĂ©e par une drogue administrĂ©e par sa propre famille... Ce fameux Corbeau blanc... Ce serait toi, hein ? Passant doucement un morceau de tissu froid sur le front de la jeune femme, il la regardait de maniĂšre sĂ©rieuse, et distante. Encore le Corbac... Une personne Ă qui il n'aurait pas dĂ»t ĂȘtre liĂ© une nouvelle fois. Il se tourna, allant chercher son haut qu'il enfila, et reprit la gazette en main, humidifiant rĂ©guliĂšrement le dos de la jeune Neko avant de repasser les draps sur son corps. Les douleurs devraient ce calmer malgrĂ© tout sous peu... Le Corbac... Repenser Ă tout cela ne l'aidait pas vraiment... Il rechutait dans les ombres lĂ oĂč il aurait pu sortir des TĂ©nĂšbres... Fermant doucement ses yeux, il posa sa main sur le front de la Neko, sans la retirer cette fois...- Dormez un peu... Oubliez tout cela... Un sommeil sans rĂȘve sera le mieux...Restant ainsi, une main sur le front de cette jeune femme, les yeux clos, il rĂ©flĂ©chissait silencieusement... Le Corbac, encore... Etait-ce rĂ©ellement une bonne idĂ©e ? Dans ces conditions, pas vraiment... Il Ă©tait quand mĂȘme dĂ©jĂ recherchĂ© par tout le pays, alors si en plus il devait s'occuper du Corbac... Mais en mĂȘme temps, qui ne risque rien n'a rien. LĂąchant un soupire, il retira doucement sa main, dĂ©posa sans lui mĂȘme y faire attention un baiser sur le front de la Neko, puis, il se redressa et partit dans la salle de bain, attrapant une lame au passage et une tenue Ă sangle ainsi qu'une petite boite dans ses affaires. Se plaçant devant le miroire, il retira doucement son masque, observant son visage. LĂąchant un soupire, il attrapa ses cheveux, qu'il trancha net. Les longues mĂšches noires tombĂšrent au sol, laissant une coupe bien plus courte au jeune homme. Il fouilla dans la boite, en tirant des lentilles virant sur le bleu pĂąle, qu'il plaça sur ces propres iris. Continuant de fouiller dans son amas de matĂ©riel divers pour s'adapter, il finit par trouver un cache oeil qu'il dĂ©posa sur son oeil droit. Regdardant sa nouvelle apparence dans la glace, il remit son masque sur son visage, et soupira. Au moins, le trouver serait plus difficile... Mais.. Maintenant ? Le Corbac, comment pouvait-elle l'ĂȘtre, que c'Ă©tait-il passĂ© ? Il ne savait plus vraiment... Non, il ne savait plus... Il se contenta d'enfiler son haut, se prĂ©parant ensuite Ă retourner aux cĂŽtĂ©s de la jeune femme... [Post pourriiiii -"]Spoiler_________________âMy only friend is my pain... ~ Laisse moi mourir dans mon royaume de solitude. Miss Corbac. Fondatrice Barjot. Nombre de messages 10558Age 27Date d'inscription 09/03/2007FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re Si tout Ă©tait Ă refaire... Le ferais-tu ? [PV L'Ombre] Dim 14 Juin - 1658 Dans ses songes, le corbac dĂ©chu de la races des semi-dragons voguaient dans des fragments de souvenirs de ses "deux semaines de vie" officiel. Silvius... Sa voie, son enseignement son visage et enfin sa mort. Etait-il vraiment celui qu'elle devait appeller maĂźtre et peut-ĂȘtre pĂšre ? Etait-il vraiment de sa famille ? Etait-il vraiment ce qu'il disait ? Son crĂ©ateur ? Le sommeil de la jeune femme fut quelque peu mouvementĂ©, en extĂ©rieur on ne voyait que son visage calme et dĂ©tendu. A l'intĂ©rieur, un vide, un gouffre, un manque Ă©norme et un froid glaciale pĂ©nĂ©trait l'esprit et l'ĂȘtre de la jeune nĂ©kos, la faisant douter sur tout et n'importe quoi. Son existence ne pouvait pas se rĂ©sumer Ă un simple nom... Et pourtant... Quand elle rouvrit les yeux, son premier rĂ©flexe fut de contracter chacun de ses muscles, se recrovillant de nouveau sur elle-mĂȘme, le regard vide et perdu dans le vague. Alvinykiosa soupira longuement avant d'entendre les bruits de pas de l'homme, elle leva ses yeux vers lui avant de les rabaisser lentement, remontant les draps sur elle. Et maintenant ? Maintenant... La NĂ©kos resta recroviller, fixant de temps en temps l'homme avant de refermer ses yeux. Soupirant, le mĂ©dicament avait fait son effet, les douleurs, les brĂ»lures et autres symptĂŽmes qui Ă©tait apparut s'Ă©tait envolĂ©. -Merci.. Souffla-t-elle simplement, gĂȘnĂ©, elle ne savait mĂȘme plus quoi dire. Elle ne savait, Ă vrai dire, mĂȘme plus qui elle Ă©tait vraiment. Le sceau des souvenirs, inĂ©branlable, avait juste lĂąchĂ© quelques parcelles d'elle d'avant sous le coup de l'adrĂ©naline et du besoin de se dĂ©fendre d'hier soir. La jeune nĂ©ko posa une main sur son visage, caressant sa joue d'un doigt avant soupirer, glissant son regard de feu vers l'homme et Ă©tendit ses jambes. -OubliĂ© ce que je vous ai dis. Hier j'ai bel et bien tuĂ© trois hommes et peut-ĂȘtre fait ce symbole mais c'Ă©tait instinctivement, mon corps a simplement reproduis des mouvements qu'il semblait connaĂźtre, rien de plus. Elle esquissa un sourire, essayant de se rĂ©conforter elle aussi d'une certaine maniĂšre. Lentement, elle passa une main sur une de ses oreilles, caressant celle-ci. Aucune impression, rien... MĂȘme pas cette voie, sa voie, qui rĂ©sonnait dans sa tĂȘte lui affirmant que ceci n'Ă©tait pas son corps. Plus rien... Absolument... Rien. Dans un soupire, cela la rassurait tout ceci a surement Ă©tĂ©.. Un mauvais rĂȘve. Un aliment qu'elle a mal digĂ©rĂ©. Dans un sourire, elle s'assit sur le matelas, d'une main, elle rattrapa le linge imbibĂ© d'eau maintenant tiĂšde et le posa Ă cĂŽtĂ© de la bassine. Les yeux de feu de la jeune d'moiselle se posĂšrent sur son corps, d'un soupire, elle venait de penser qu'a part la tenue avec laquelle elle Ă©tait partit de chez Silvius, elle n'avait pas une fringue de rechange. Tournant la tĂȘte vers l'homme, elle se dĂ©cida Ă lui demander si elle pouvait lui en emprunter. -Je peut vous emprunter quelques vĂȘtements ? Je n'avais que ceux d'hier. L'homme haussa les Ă©paules et dit simplement qu'elle pouvait se servir. La jeune nĂ©kos se leva, passant Ă cĂŽtĂ© de l'homme et ouvrit une armoire, cherchant de quoi s'habiller. Quelques choses qui lui plaisait ou attirer son oeil. Son choix se porta sur une chemise noir de l'homme, un pantalon de toile, une ceinture grise dĂ©lavĂ© et pour les sous-vĂȘtements... Tant pis. La jeune femme s'engouffra dans la salle de bain, posant le tas de vĂȘtement encore pliĂ© soigneusement sur le rebord du lavabo, elle glissa son corps sous l'eau chaude qu'elle tiĂ©dit petit Ă petit. L'eau dĂ©valait son corps, ses formes pour enfin s'Ă©craser sur le sol de la douche. Alvinykiosa regarda ses mains quelques instants, tout Ă©tait redevenu normal... Tout. D'un sourire, elle se lava le corps, les cheveux, les oreilles et sa queue de chat. Une fois savonnĂ© et nettoyĂ© de fond en comble, la jeune nĂ©kos sortit de la douche, attrapant deux serviettes, une qu'elle passa autour de son cou pour Ă©viter Ă ses cheveux de dĂ©gouliner sur le sol et pour sĂ©cher ses oreilles et l'autre pour sĂ©cher son corps. Une fois chose faĂźtes, elle enfila la chemise, le pantalon qu'elle fit tenir avec la ceinture passant le bas de la chemise par-dessus le pantalon. La jeune demoiselle Ă©tendit les serviette qu'elle avait utilisĂ©, aprĂšs avoir libĂ©rĂ© sa queue de chat des vĂȘtements. Elle sĂ©cha ses oreilles, sa queue mais laissa ses cheveux dĂ©goulinants comme Ă son habitude. Ressortant de la douche ainsi habillĂ©, ses cheveux gouttant sur le sol. Innocente et semblant aller beaucoup mieux, elle tourna la tĂȘte vers l'homme rĂ©ajustant le col de la Que les dieux vous protĂšge, mes frĂšres dragons. Que les dieux vous pourchasse, adversaire des autres races. » L'Ombre. Jouet de la Fondatrice. Nombre de messages 521Age 28Date d'inscription 28/08/2008FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re Si tout Ă©tait Ă refaire... Le ferais-tu ? [PV L'Ombre] Dim 14 Juin - 1958 - Des mouvements qu'il semblait connaĂźtre, hein...?Le jeune homme haussa les Ă©paules, tout sauf convaincu. Il rĂ©pondit distraitement Ă la question de la jeune femme, la laissant prendre des vĂȘtements et aller ce doucher. Le jeune homme en profita pour retirer un peu son masque, et regarda longuement par la fenĂȘtre. Un vent frais soufflait, caressant sa peau pĂąle, alors qu'il songeait Ă la suite... DĂ©jĂ , changer de taverne. C'Ă©tait une Ă©vidence, puisqu'il venait de modifier son physique... De plus, il devait acheter des fringues pour la miss et, ce soir, il devrait executer son contrat... Rah. Il remit son masque, et ressera les sangles pour que le col monte jusqu'Ă masquer le bas de son visage, et attendit que la Neko soit prĂȘte, regrouppant rapidement ses affaires. Lorsqu'il entendit la porte s'ouvrire, il finissait de remonter son col autour de son cou, et prit la parole sans mĂȘme avoir eut le temps de ce retourner. - Nous quittons cette taverne. Nous allons aller en centre ville, vous acheter des vĂȘtements et ce dont vous aurez besoin, avant de chercher un autre endroit ou passer la nuit. Ensuite, nous prendrons une ou deux chambres, celon votre besoin d'intimitĂ©. DĂ©solĂ©, mais rester ici serait une mauvaise idĂ©e pour moi. Vous n'ĂȘtes pas obligĂ©e de venir, mais je pense que se serait mieux pour vous de rester avec moi pendant un certain temps. Passant rapidement sa main sur son masque pour le remettre en place, il enroulant son Ă©charpe autour de lui, pour que la diffĂ©rence au niveau de ces cheveux ne soit pas perçut le peu de temps qu'il passerait en bas. Se retournant enfin, il posa son regard sur la jeune Neko, et lĂącha un long soupire plaintif en la voyant, les cheveux dĂ©goulinant... Il s'avança vers elle, laissant Ă©chapper un petit grognement rĂąleur, et attrapa la serviette qu'il passa dans les cheveux de la jeune femme. - Vous pourriez au moins faire un effort, en sĂąchant que nous n'allons pas stagner ici... SĂšchant les cheveux de la jeune femme avec un agacement pas vraiment rĂ©primĂ©, il eut vite finit, passant une main dans la chevelure soyeuse pour vĂ©rifier si elle Ă©tait sĂšche. Envoyant la serviette dans un coin de la chambre, il attrapa son sac et la main de la Neko, lui adressant un sourire avant de sortir de la chambre. La laissant aller chercher ses propres affaires, l'assassin attendit la jeune femme vers les escaliers, avant de descendre Ă l'Ă©tage en dessous avec elle. Arrivant vers le tavernier, il lui accorda un regard froid de son unique oeil capable de voir, et lança une poignĂ©e de piĂšce sur le comptoire. - Je paie les deux chambres. Sortant de la taverne avec la Neko par la suite, il soupira, et se tourna en direction du centre ville... Souriant encore une fois Ă la Neko, il lui lĂącha la main, la laissant libre de la reprendre ou non si elle le souhaitait. Il ne connaissait pas son comportement. Reprenant sa marche, il commençait Ă chercher le meilleure emplacement de lieu oĂč il pouvait passer la nuit... Dans le centre ville, a distance moyenne de la rĂ©sidence royale, se serait surement le mieux... Un bon endroit pour intĂ©venir sans ĂȘtre au coeur de la forteresse Je te laisse guider, prend ce que tu veux. Je paie de bon coeur. _________________âMy only friend is my pain... ~ Laisse moi mourir dans mon royaume de solitude. Miss Corbac. Fondatrice Barjot. Nombre de messages 10558Age 27Date d'inscription 09/03/2007FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re Si tout Ă©tait Ă refaire... Le ferais-tu ? [PV L'Ombre] Lun 15 Juin - 138 Non sans surprise, l'homme grommela en sĂ©chant les cheveux de la nĂ©kos qui se laissa faire, fermant un de ses yeux et baissant les oreilles pour ne pas compliquer la tache. Une fois la serviette envoyĂ© en boule dans un coin et la main de l'homme passĂ© pour vĂ©rifier sa chevelure sec, Alvinykiosa laissa ses oreilles repointer leurs bouts du nez tandis qu'elle sentit la main de l'homme prendre la sienne. Lui expliquant clairement qu'il quittait l'auberge ce qui ne la dĂ©rangeait pas plus que ça au fond. Dans le couloir, elle prit la clefs de sa chambre, l'entrebailla le temps de prendre son sac ainsi que le fourreau de l'Ă©pĂ©e qu'elle avait rĂ©cupĂ©rĂ© chez son maĂźtre. La jeune NĂ©kos accrocha le fourreau au sac, rejoignant rapidement l'homme et laissant la main de celui-ci prendre de nouveau la sienne, il paya les deux chambres, la NĂ©kos fit un lĂ©ger et faible sourire au patron et sa femme la fusilla du regard aussi agrĂ©ablement qu'un alligator enragĂ© qui a fait une overdose de chili corne carne. Dans un soupire, elle n'y fit pas plus attention. Alvinykiosa sentit le contact de la main de l'homme quitter la sienne, hĂ©sitant Ă la reprendre, elle prĂ©fĂšra se mettre Ă sa hauteur, faisant plusieurs pas sans qu'elle ne cherche Ă reprendre cette main. Ainsi, l'homme lui offrait de faire les boutiques pour avoir un peu d'Ă©quipement sur elle. Les yeux de la NĂ©kos s'arrondirent avant qu'elle ne sourit doucement, glissant ses doigts dans la main de l'homme, enfermant cette main froide dans la sienne. Elle marchait simplement, souriante. Ses yeux dĂ©valant les enseignes des boutiques, elle entraina l'homme dans beaucoup de boutique et de marchand. Sac tout d'abord, ou elle eut le coup de coeur pour une besace sans fond en bandouliĂšre neuve dans un style simple fermer par une grosse boucle d'argent et ayant sur le dessus un symbole de chat broder avec du file rouge. Rangeant ses quelques affaires et les deux armes dedans une fois l'achat fait. Contente de pouvoir enfin avoir un sac pour tout mettre et tout retrouver. VĂȘtement ensuite, normal, elle acheta de quoi avoir des vĂȘtements pour deux Ă trois semaines, vĂȘtements court, lĂ©ger, ne pouvant pas gĂȘner les mouvements en pleins combats au corps Ă corps. A chaque fois, la nĂ©kos faisait un vĂ©ritable dĂ©filĂ© devant l'homme, dĂ©s fois inconsciemment pour avoir son avis. C'Ă©tait sa maniĂšre de montrer son enthousiasme. Variant les styles, et passant devant une boutique mĂ©dical, elle eut un gros coups de coeur sur une camisole encore neuve de couleur rouge sang avec des sanles noirs. La nĂ©kos obtiens donc cette camisole, coupant deux ou trois sangles pour qu'elles ne touchent plus le sol. A l'essayage, la jeune alvinykiosa ressemblait dĂ©jĂ plus au corbac qu'a une pauvre NĂ©kos innocente dans une camisole. Arme ensuite, car mĂȘme si ses souvenirs de mercenaire sanguinaire connu sous le nom de Corbac Ă©tait encore scellĂ© et enfouis, elle gardait une adoration complĂšte envers les armes lourdes, lĂ©gĂšre, blance ou Ă feu. En bref, ils passĂšrent un long moment, dans toutes les boutiques du genre ou Alvinykiosa, heureuse, regardait les armes, demandait des renseignements mais n'osait rien achetĂ©. Dans une boutique, la porte tintĂšrent pour dirent que les deux personnes venaient d'entrer. La jeune nĂ©kos attira l'oeil d'un nĂ©kos Ă l'acceuil qui sauta sur l'affaire. S'avançant, souriant, se frottant les mains, oui, on sentait dĂ©jĂ le coup tordus Ă mille mĂštre et pourtant... Alvinykiosa enivrĂ© par son shopping, elle, souriante, ne se doutait de rien. AprĂšs tout, elle n'avait pas vu, encore, ce cĂŽtĂ© lĂ des hommes. -Mademoiselle ! Que puis-je pour vous ? Une arme vous intĂ©resse ? -Bonjour ! Oui, la rapiĂšre que vous avez en vitrine, c'est une rapiĂšre runique de confection naine ?-Une connaisseuse ? Et ravissante qui plus est ! Exactement, cette rapiĂšre avait autrefois sa jumelle mais nous ne l'avons pas retrouvĂ©, c'est une rapiĂšre de confection naine portant une rĂ»ne d'attaque. Je vous sort l'arme pour que vous la voyez de plus ! AprĂšs un rapide regard vers l'homme qui Ă©tait restĂ© en retrait, indiffĂ©rent devant les achats de sa protĂ©gĂ©. Le jeune NĂ©kos alla prendre la rapiĂšre en question, il la tendit avec un sourire charmeur Ă la jeune femme, la laissant la prendre en mains et la soupeser. -Belle lame... Acier ?-C'est un alliage fait maison ! Je peut vous faire visiter les forges si vous le dĂ©sirez... Mais il y fait chaud...-Jolie lame non ? T'en penses quoi ? L'homme qui Ă©tait restĂ© en retrait arriva, posant une main sur l'Ă©paule d'Alvinykiosa, fusillant l'autre NĂ©kos de son oeil capable de voir avant de regarder la lame, haussant les Ă©paules simplement. Comme Ă son habitude depuis qu'ils avaient commencĂ© les boutiques. Le jeune nĂ©kos dĂ©glutit difficilement, lĂąchant un petit rire nerveux avant de reprendre doucement l'arme des mains d'Alvinykiosa qui lui retendait. -D'autre clients m'attendent, dĂ©solĂ©e mademoiselle ! Repassez me voir si vous voulez acquĂ©rir cette lame ! Au plaisir de vous revoir !-Aurevoir ! Alvinykiosa glissa ses doigts dans la main de l'homme comme Ă son habitude, enlaçant cette fois ses doigts avec ceux de son ange gardien qui avait, d'un regard meurtrier, enlever un danger potentiel de la route de la nĂ©kos innocente. Ressortant de la boutique pour dĂ©bouler sur le centre ville, la jeune NĂ©kos fit le rĂ©capitulatif de son Ă©quipement, vĂȘtement, affaire, sac... Pendant sa rĂ©flexion, ses doigts jouĂšrent avec ceux de l'homme sans se soucier de sa rĂ©action, regardant les boutiques en s'amusant avec la main de celui qui l'avait un peu prise sous son aile. Elle remarqua enfin la boutique qu'elle cherchait, une petite enseigne discrĂšte, quelques mannequins exposĂ©s en vitrine. L'homme soupira, demanda si on avait tout et quand son regard bleutĂ© tomba sur Alvinykiosa, celle-ci pointa du doigt la boutique de lingerie, souriant simplement sans osĂ© dire un Que les dieux vous protĂšge, mes frĂšres dragons. Que les dieux vous pourchasse, adversaire des autres races. » L'Ombre. Jouet de la Fondatrice. Nombre de messages 521Age 28Date d'inscription 28/08/2008FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re Si tout Ă©tait Ă refaire... Le ferais-tu ? [PV L'Ombre] Lun 15 Juin - 209 Les boutiques... Le grand calvaires du jeune homme froid, taciturne et silencieux. Du monde, des fringues, des vendeurs chiants, des heures et des heures pour trouver un seul article, ou rien... Un vrai cauchemar. La Neko, elle, avait l'air de s'y plaire pourtant. Elle avait dĂ©cidĂ© de prendre la main du jeune homme, qui regarda longemps ce membre froid dans ce membre chaud et regorgeant de vie et de plaisir... Une innocence dĂ©concertante. D'abord, les sacs. Le genre de truc inutile et qui prend de la place souvent pour pas grand chose... Ok ça Ă©viterait au jeune assassin d'en avoir plein les bras, mais bon. Il laissa la jeune femme acheter un sac, sans fond, gros avantage, et lui paya sans demander son reste... Segundo, vĂȘtement. Pas vraiment mieux... La Neko essaya plusieurs tenue, toujours des ensembles courts - qu'elle ne s'Ă©tonne pas d'attirer des regards mal placĂ© - et de plus, elle faisait tout une sĂ©rie de dĂ©filĂ© devant le jeune homme criant silencieusement au dĂ©sespoire, tout cela pour un simple avi... Lorsqu'ils ressortirent, le jeune homme voulait dĂ©jĂ s'arrĂȘter. Ensuite, arme. LĂ , c'Ă©tait dĂ©jĂ plus son domaine... Enfin, il l'aurait cru. Les armes de ce pays Ă©taient vraiment dĂ©plorable... Dans toutes la sĂ©rie de vitrine, aucune arme ne lui sembla vraiment intĂ©ressante... Des armes belles sans aucun avenir en combat, des trucs trop lourd, impossible Ă manier, non tranchant... Il y avait de tout. La Neko le fit entrer dans une boutique, s'Ă©tant Ă©prise d'une superbe contrefaçon... LĂąchant un soupire et remarquant que cet homme qui parlait de forge Ă©tait surement incapable lui mĂȘme de tremper une lame, il observa surtout les regards descendant lĂ©gĂšrement de cet homme. LĂąchant un soupire, il se dĂ©colla dans son coin sombre, se glissant aux cĂŽtĂ©s de la Neko en posant une main sur son Ă©paule. Elle ne broncha pas. Lentement, le visage du jeune assassin se tourna vers sa cible actuel Un pervers qu'il voulait impressionner. SuccĂšs garantit. Ce regard sombre malgrĂ© le faite qu'il soit clair et l'envi de tuer du jeune homme suffiire Ă ce Neko, qui prĂ©fĂ©ra aller se rĂ©fugier de l'autre cĂŽtĂ© du comptoire. Ils quittĂšrent ainsi les boutiques, le jeune assassin Ă©tant convaincu qu'ils en avaient finis... Se laissant tout de mĂȘme guider, il se disait qu'il allait trainer la jeune femme au marcher noir plus tard, lorsqu'ils auraient le temps. Ne prĂȘtant plus attention aux doigts jouant avec les siens, laissant doucement sa voix s'Ă©lever. - Bon, problĂšme rĂ©glĂ©... On a tout, plus qu'a trouver une auberge et... Il regarda le doigt de la jeune femme, ne s'imaginant pas que le pire Ă©tait Ă venir... Son calvaire ne faisait que commencer... - ... Dans un soupire dĂ©sespĂ©rĂ©, il regarda la boutique de lingerie - fĂ©minine uniquement Ă©videment - et se laissa entraĂźner avec une envie folle de disparaitre dans les ombres... ObligĂ© de suivre la Neko entre les rayons de sous vĂȘtements, il rabaissa lĂ©gĂšrement son masque, prĂ©fĂ©rant masquer son regard sous la honte produite par cette scĂšne... Lui, l'assassin ayant tuĂ© le Roi des Nekos deux jours aupparavant, rĂ©duit Ă suivre une Neko innocente dans une magasin oĂč il ne trouverait que des femmes et des sous vĂȘtements... Vous pensiez avoir toute la peine du monde sur vos Ă©paules hein ? Bah vous n'avez rien vĂ©cu, vous... Allant s'adosser Ă un mur juste Ă cĂŽtĂ© de la porte de la cabine d'essayage ou la Neko Ă©tait allĂ©e se fourer, il attendait, yeux fermĂ©s, qu'elle daigne enfin sortir avec ses sous vĂȘtements... Posant enfin son regard unique sur la porte, il lĂącha un soupire agacĂ©, essayant de garder sa voix calme. - ... Vous avez bientĂŽt finie ? Non pas que je dĂ©teste ce genre de lieu, mais... Je prĂ©fĂ©rerais les enfers... _________________âMy only friend is my pain... ~ Laisse moi mourir dans mon royaume de solitude. Miss Corbac. Fondatrice Barjot. Nombre de messages 10558Age 27Date d'inscription 09/03/2007FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re Si tout Ă©tait Ă refaire... Le ferais-tu ? [PV L'Ombre] Lun 15 Juin - 238 Quelques femmes de la boutiques ricanĂšrent en silence, Ă©changĂšrent quelques mots et paroles lorsque les drĂŽles de compagnons entrĂšrent dans la boutique. Alvinykiosa lĂącha les doigts et la main de l'homme, ne l'obligeant pas Ă l'aider Ă choisir les modĂšles, se doutant bien que ce genre de boutique n'Ă©tait surement pas sa tasse de thĂ©, mais ne ne pouvait pas se douter Ă quel point cela Ă©tait un calvaire plus qu'Ă©norme pour le mercenaire dont elle ignorait pratiquement tout. Alvinykiosa se fit plaisir, dĂ©couvrant chacuns de ses goĂ»ts vestimentaires, en esthĂ©tisme d'arme et en lingerie. La jeune nĂ©kos prit quelques ensembles, filant dans une cabine d'essayage ou, juste Ă cĂŽtĂ© adossĂ© contre le mur, l'homme l'attendait fixant la porte avec insistance. La jeune nĂ©kos enleva ses vĂȘtements rapidement, faisant un petit tas non-loin, elle avait accrochĂ© la bandouiliĂšre de son sac sans fond Ă un crochet et elle essaya les ensembles. D'abords seulement avec son avis pour les deux premiers, le troisiĂšme, elle se tourna et se retourna pour essayer de se dĂ©cider si elle le prenait. N'arrivant pas Ă se faire un avis et n'imaginant mĂȘme pas que cela ne se fasse pas, attrapant le rideau d'une patte et le tirant comme une fleure, elle posa ses yeux de feu sur l'homme tandis que tout les regards se posĂšrent sur pas Ă me dĂ©cider, t'en penses qu.... Alvinykiosa sentit ses joues la brĂ»ler, une effroyable rougeur la prit violemment en sentant autant de regard sur elle. La NĂ©kos, par rĂ©flexe, attrapa le bras de l'homme sans chercher Ă croiser le regard d'autres femmes, elle le tira vers elle, referma le rideau derriĂšre lui. Le front posĂ© contre le torse de l'homme quasiment coller contre elle, sa machoire refermer tout comme ses paupiĂšres, ses joues virant au pivoine. La nĂ©kos sentit son coeur s'emballer battre bruyamment et rapidement. La seule consolation, si on peut appeler sa comme ça, Ă©tait de sentir l'homme devant elle, la coinçant contre le mur de fond de la cabine. Au moins, elle savait qu'a part le regard de l'homme, dont elle se soucia aprĂšs, plus aucune autre paires d'yeux ne pouvait se poser sur elle. Alvinykiosa se sentit ensuite encore plus gĂȘnĂ© envers l'homme, l'entraĂźner dans une boutique de lingerie et maintenant dans la cabine d'essayage mĂȘme du magasin, retenant son souffle de peur de se faire rĂ©primander, attendant la sentence en baissant les oreilles Que les dieux vous protĂšge, mes frĂšres dragons. Que les dieux vous pourchasse, adversaire des autres races. » L'Ombre. Jouet de la Fondatrice. Nombre de messages 521Age 28Date d'inscription 28/08/2008FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re Si tout Ă©tait Ă refaire... Le ferais-tu ? [PV L'Ombre] Lun 15 Juin - 303 Il n'avait pas vraiment eu le temps de rĂ©agire, qu'il fut entraĂźnĂ©e dans la cabine mĂȘme ou la Neko se trouvait en sous vĂȘtements... Heureusement qu'il portait un masque, car il rĂ©alisa rapidement le gĂšne qu'il ressentait, et la rougeur dĂ©vorer ses joues... LĂ , elle avait vraiment fait trĂšs fort... Il sentait le coeur de la Neko battre, le front de la jeune femme contre son torse... Il posa son regard sur elle, plutĂŽt sĂ©vĂšre, mais... Avec sa vue plongeante, dans cette situation, il prĂ©fĂ©ra refermer ses yeux et resta sur l'image d'une Neko gĂȘnĂ©e, oreilles rabattues. Et comment lui hurler dessus un coup aprĂšs, hein ? Il lĂącha un soupire, restant un moment immobile, avant de doucement tendre ces vĂȘtements Ă la jeune femme... Si il sortait, la jeune femme serait en plus encore dans cette situation gĂȘnante... S'il restait... SĂ©rieusement, lĂ , il se demandait si il Ă©tait vraiment maudit. - Change toi, on prend tout, et on part... Passant sa main sur l'orifice du masque, il prĂ©fĂ©ra rester Ă mit distance de la Neko en attendre qu'elle se change en silence... Cependant, il repensait Ă ce contact chaud et rĂ©confortant contre lui... C'Ă©tait Ă©trange pour lui d'abord de tel contact. Lui qui Ă©tait vouĂ© Ă la froideur de la solitude... Restant silencieux et ne cherchant mĂȘme pas Ă poser son regard sur le corps de la jeune femme, il prĂ©fĂ©rait respecter sa pudeur. Lorsqu'elle fut enfin changĂ©e, il l'attrapa par la main et ouvrit le rideau, foudroyant de son regard pas vraiment rassurant toute personne ayant l'audace de tenter de ce moquer de la Neko... RĂ©sultat ? Silence pesant, toute trop intimidĂ©e par ce regard de tueur. Sortant du magasin aprĂšs avoir tout payĂ©, le jeune homme ne lĂącha pas la main de sa protĂ©gĂ©e, il prĂ©fĂ©ra se diriger sans un mot vers une taverne... Il attendit d'ĂȘtre a une distance respectable du magasin, avant de lĂącher un soupire pour regarder la Neko. - ... Boooon... Alors, pour ce qui est de ce soir... Vous souhaitez encore dormir avec moi ou une chambre sĂ©parĂ©e...? Soyez honnĂȘte si vous avez une prĂ©fĂ©rance, ça ne me gĂšne pas. Il devait bien l'avouer, ce corps chaud contre le sien rĂ©chauffait son Ăąme glacĂ©e de solitude... Haussant les Ă©paules, il se remit en direction de la taverne qu'il avait repĂ©rĂ©e - Ă une distance qui lui convenait - en attrapant instictivement les doigts de la jeune Neko, les enlaçant entre les siens... _________________âMy only friend is my pain... ~ Laisse moi mourir dans mon royaume de solitude. Miss Corbac. Fondatrice Barjot. Nombre de messages 10558Age 27Date d'inscription 09/03/2007FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re Si tout Ă©tait Ă refaire... Le ferais-tu ? [PV L'Ombre] Lun 15 Juin - 2100 Alvinykiosa, rouge pivoine, le front poser contre le torse de l'homme qui s'Ă©tait retenu de baisser les yeux sur la vue magnifique et plongeante qu'il avait, il se dĂ©colla lentement, lui tendant ses vĂȘtements et lui tournant le dos. Lui ordonnant, d'une voie non pas froide mais plutĂŽt gĂȘnĂ©, de se rhabiller et qu'il prennait le tout. La jeune nĂ©kos s'Ă©xĂ©cuta sans contester, s'habillant simplement, ses mains quelques peu tremblantes, son regard fixant le sol. La jeune femme sentit les doigts de l'homme attraper sa main, un frisson parcourut le corps de la NĂ©kos lorsque les regards des acheteuses du magasins se baissĂšrent rapidement, leurs bouches entrouverte et n'osant pas dire un seul mot, une seule syllabe devant le regard froid et destructeur de l'homme qui tenait toujorus sa main enfermer dans la sienne. Ils payĂšrent les achats et quand ils sortirent, il y avait toujours ce silence pesant entre les deux personnes, Alvinykiosa, rouge pivoine, le front poser contre le torse de l'homme qui s'Ă©tait retenu de baisser les yeux sur la vue magnifique et plongeante qu'il avait, il se dĂ©colla lentement, lui tendant ses vĂȘtements et lui tournant le dos. Lui ordonnant, d'une voie non pas froide mais plutĂŽt gĂȘnĂ©, de se rhabiller et qu'il prennait le tout. La jeune nĂ©kos s'Ă©xĂ©cuta sans contester, s'habillant simplement, ses mains quelques peu tremblantes, son regard fixant le sol. La jeune femme sentit les doigts de l'homme attraper sa main, un frisson parcourut le corps de la NĂ©kos lorsque les regards des acheteuses du magasins se baissĂšrent rapidement, leurs bouches entrouverte et n'osant pas dire un seul mot, une seule syllabe devant le regard froid et destructeur de l'homme qui tenait toujorus sa main enfermer dans la sienne. Ils payĂšrent les achats et quand ils sortirent, il y avait toujours ce silence pesant entre les deux personnes, Alvinykiosa s'en voulait profondĂ©ment, ses oreilles toujours baissĂ© et la rougeur sur ses joues Ă peine estomper. Pourquoi avoir de tel rĂ©flexe ? Elle se rendit compte qu'il faudrait faire plus attention Ă l'Ă©venir, cette sensation de honte n'avait Ă©tĂ© qu'une mauvaise expĂ©rience plus que dĂ©sagrĂ©able Ă ne jamais recommencer. Alvinykiosa ne se rendit pas tout de suite que les doigts de l'homme s'Ă©tait enlaçé aux siens. Il lui demandait si elle voulait dormir dans une autre chambre ou de nouveau avec lui. La jeune NĂ©kos n'aimait pas dormir seule et elle aurait bien voulu se rendormir une nouvelle fois dans les bras de l'homme, c'Ă©tait agrĂ©able et... Elle avait passĂ© une belle nuit. La NĂ©kos se mit Ă la hauteur de l'homme ne sachant pas vraiment comment dire qu'elle voulait passer une nouvelle nuit avec lui. Prenant sa respiration, et dĂ©tournant le regard, Alvinykiosa se lança. -Je voudrais bien dormir avec vous... S'il vous jeune NĂ©kos posa son regard sur l'homme, dans un lĂ©ger soupire. L'homme haussa les Ă©paules, cachant un sourire en coin que la NĂ©kos ne devina mĂȘme pas une seconde. Elle ne faisait que regarder la taverne ou il se dirigeait, laissant ses yeux parocurirent les quelques vosages des personnes aux alentours et autres boutiques ou maisons qu'elle n'avait pas vu lors de sa premiĂšre balade dans la citĂ©e. Lorsqu'ils arrivĂšrent dans la taverne, la NĂ©kos suivit simplement l'homme jusqu'a la chambre, se posant sur le lit une fois arrivĂ©. Alvinykiosa s'allongea en lĂąchant un Ă©niĂšreme soupire, essayant de ne plus penser Ă ce qu'il c'Ă©tait passĂ© dans la boutique. AprĂšs un rapide coup d'oeil au plafond, elle ferma les yeux simplement, soupirant, passant ses bras derriĂšre sa tĂȘte. Sa queue bougeait plus rapidement, tapant contre le matelas de maniĂšre nerveuse. Lorsque que la jeune femme se releva pour s'assoir sur le matelas, elle regarda l'homme s'installĂ©. Dans un soupire, elle tourna la tĂȘte vers la fenĂȘtre. Le soleil se couchait dĂ©jĂ ... Ils avaient donc passĂ© toute leurs journĂ©es Ă faire les magasins ? Alvinykiosa s'Ă©tonna elle-mĂȘme de cette NĂ©kos posa son coude sur ses jambes en tailleur, laissant tomber son menton dans sa paume, les yeux toujours rivĂ©s vers la fenĂȘtre. Alvinykiosa sauta sur ses jambes, ouvrit la fenĂȘtre et passa la tĂȘte, croisant ses bras et les posant sur le rebord de celle-ci, ses yeux de feu contemplait la chute du soleil et l'arrivĂ©e de la nuit. Une petite balade nocturne lui ferait du bien... La jeune femme se remit droite, tendit le cou pour voir un bout de son vais sortir ce soir, j'ai envie de me se remit sur le rebord de la fenĂȘtre, attendant la rĂ©ponse de la part de l'homme. Elle rĂ©flĂ©chissait simplement, un coude poser sur le rebord et son menton dans sa paume. Ses yeux perdu sur le coucher de soleil qui continuait doucement, sa queue bougeait lentement de quelques mouvements nerveux qui trahissait son envie de sortir un peu. La NĂ©kos ne savait pas ce qu'elle avait, mais Ă l'approche de la nuit, elle n'avait qu'une envie sortir un peu. La jeune femme se redressa ensuite, Ă©tirant jambes et bras faisant crauquer nuque, Ă©paules et doigts. Alvinykiosa s'approcha de l'homme, une irresistible envie d'un calin, d'un contact, de bras qui se referme sur elle, quelques secondes, quelques instants. Un peu en biais de l'homme, fixant son visage masquer, elle soupira, hĂ©sita quelques secondes avant de s'approcher lentement, se glissant contre lui, passant ses bras autour de sa taille et posant sa tĂȘte contre son torse. Quelques secondes Ă ne plus se sentir seule et mĂȘme si son contact Ă©tait froid, c'Ă©tait agrĂ©able. Elle ferma ses yeux, et laissa dans un souffle quelques mots pour justifier son un peu... Quelques instants...Contre l'homme, simplement, elle poussa un lĂ©ger soupire, laissant ses bras se resserer un peu plus. Elle avait froid Ă l'intĂ©rieur et se simple contact arrivait Ă faire partir ce froid. Lentement, la NĂ©kos se dĂ©colla aprĂšs ce cĂąlin, regardant le visage de l'homme avec un lĂ©ger sourire. La jeune femme glissa ses doigts dans les cheveux de l'homme au niveau de sa frange, dĂ©barassant son visage des quelques cheveux qui s'Ă©tait immiscĂ© dessus. Dans un sourire, elle glissa ses doigts dans les mains de l'homme. Notant qu'il la vouvoyait toujours, dans un lĂ©ger soupire suivit d'un sourire, elle laissa son regard de feu se planter dans l'oeil bleutĂ© de l'homme derriĂšre son masque. -Vous pouvez me tutoyer vous enleva doucement ses mains de celles de l'homme, se tournant pour regarder un peu mieu la chambre, elle prit son sac qu'elle avait laissĂ© dans un coin, sortant quelques affaires pour le lendemain. La nĂ©kos rangea le tout dans un tiroir d'une commode avant de se relever, jetant Ă oeil Ă la fenĂȘtre regardant le coucher de soleil se Que les dieux vous protĂšge, mes frĂšres dragons. Que les dieux vous pourchasse, adversaire des autres races. » L'Ombre. Jouet de la Fondatrice. Nombre de messages 521Age 28Date d'inscription 28/08/2008FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re Si tout Ă©tait Ă refaire... Le ferais-tu ? [PV L'Ombre] Mar 16 Juin - 244 - Une chambre s'il vous plait. Prenant les clefs sans prendre la peine d'Ă©couter une rĂ©ponse, le jeune homme ammena avec lui la Neko Ă l'Ă©tage, la laissant entrer dans la chambre avant de refermer celle ci. LĂąchant un soupire en voyant la Neko s'installer sur le lit, il conserva un lĂ©ger sourire, et entreprit de s'installer rapidement. Ecoutant d'une oreille distraite la jeune femme, il n'Ă©tait pas vraiment d'accord sur le coup... Ne rĂ©pondant pas tout de suite, installant encore deux et trois choses, il sentit cependant un corps chaud venir se glisser contre le sien froid. Il eut Ă ce moment la vĂ©rification qu'il haĂŻssait les contacts physiques... D'abord incapable de rĂ©agire, il Ă©tait assez... Surpris, de sentir ce front contre son torse et ces bras autour de sa taille venir aussi spontanĂ©ment. Regardant longuement la Neko, il finit par lĂącher un soupire inaudible, et ses bras passĂšrent doucement autour d'elle, alors que son regard Ă©tait Comme vous voulez... Mais ne rentrez pas trop tard, et faite attention Ă vous... L'Ă©treinte ce ressera. Il se laissa faire. Elle se sentait seule, hein...? ComprĂ©hensible. Elle se retira doucement de son corps, alors qu'il avait aussitĂŽt retirĂ© ses bras. Il laissa la main de la Neko venir dans ses cheveux, puis ses deux mains rejoindre les siennent, n'osant pas vraiment la regarder dans les yeux au dĂ©part, cĂ©dant aprĂšs quelques secondes, alors qu'elle prit par la suite la parole... La tutoyer ? A vrai dire, il n'avait jamais tutoyĂ© personne, le vouvoyament Ă©tant une maniĂšre de mettre de la distance... LĂąchant un soupire, il ne pouvait pas vraiment refuser non plus ce plaisir Ă la jeune Neko... Il Ă©tait trop gentil avec elle... Elle se retira et observa la piĂšce, alors que le jeune assassin, lui, prĂ©fĂ©ra se pencher par la fenĂȘtre, observant la vue. Il pouvait sortir par lĂ . Se tournant brĂšvement vers la jeune femme, il lui adressa un bref sourire. - Hmm... Fais attention. Si tu tardes, je viendrais te chercher... L'idĂ©e que tu sortes ne me rassure pas vraiment. Je sors aussi, le temps de rĂ©gler une histoire. Pour ce qui est du repas, je te prĂ©parerais quelque chose... Ou je t'emmenerais dans un endroit sympa. Ok ? Sans attendre de rĂ©ponse, il s'Ă©lança par la fenĂȘtre, sortant un carrĂ© de papier de sa poche qu'il dĂ©plia machinalement. Ce soir... Encore le client d'hier. Exigeant comme personnage... Soupirant, il observa la demande, qui Ă©tait assez contraignante encore une fois. Assassiner le patron d'un marcher noir lui faisant de l'ombre, et ceux avec une arme Ă feu fournie... Un flingue... Rien que ça hein ? Pfpf... La cible passerait devant le palais royal, ce soir, vers 21h... Bon bah, plus qu'a se prĂ©parer. A 21h, le coup de feu rĂ©sonna. La cible executĂ©e, le jeune homme put revoir son client, l'informant qu'il viendrait voir sa marchandise prochainement. Rentrant ensuite Ă la taverne, le jeune homme attendit, dans le silence et sa solitude habituelles... _________________âMy only friend is my pain... ~ Laisse moi mourir dans mon royaume de solitude. Miss Corbac. Fondatrice Barjot. Nombre de messages 10558Age 27Date d'inscription 09/03/2007FICHE PERSONNAGERelations Equipement Techniques Sujet Re Si tout Ă©tait Ă refaire... Le ferais-tu ? [PV L'Ombre] Mar 16 Juin - 348 Faisant un lĂ©ger signe de la main Ă l'homme qui partit, Alvinykiosa hocha et acquiĂšsa de la tĂȘte sur ses paroles. Ayant un petit sourire, ce vide semblait ĂȘtre combler... Pour le moment. La jeune NĂ©kos attendit un moment, glissant
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DĂ©couvredes vidĂ©os courtes en rapport avec le mojito cest vraiment trop bon sur TikTok. Regarde du contenu populaire des crĂ©ateurs suivants : Naruto>one pieceđ„â©đ„đ„”(@x2_bs_17),
Ăa va chauffer ce soir les go sont jolies Comme ça ya aussi des vilains mais on est ensemble La beautĂ© se vend pas Ă la pharmacie. On est ensemble. Ayiyayiya C'est dans la joie lĂ qu'on va bouger ohh Ok dĂ©marre ce soir c'est le moment t'as une heure Ă perdre c'est le moment T'as tirĂ© le gros lot on y va rapido c'est du sĂ»r tu vas pĂ©cho A l'aise ça grouille de sisters dans l'colimateur des chasseurs T'as du mal Ă danser comme Sean Paul, suis tes rĂȘves vas-y joue des Ă©paules Remplis ton verre trinc c'est la nouvelle Ăšre Zinc Tout ce qu'il faut pour te plaire Y'a des belles gosses y'a des beaux gosses en force oh ! C'est dan la joie que tu vas swinguer Ă©h ! T'en fais pas on va s'marer c'est la nouvelle danse C'est la grande classe prends place personne te remplace ! Ayiyayiya C'est dans la joie lĂ qu'on va swinguer ohhhhhhh Fais un saut a ESSO en fond de ?? Dans ton vaisseau t'as c'qui faut c'est pas rien une belle go y'a pas photo On a la puissance envoie la sono c'est maquille y'a pas le feu y'a pas le trac si tu manges pas de suite ça va ĂȘtre froid Rajoute une bouf man ! degoutĂ© fĂ© com chĂ© toi ga ! Te-gou Dj ! perds pas une seconde non Dj ! faut que tu laches la bombe c'est yes yes yes quand tu te presses presses ya foye ! lache ton dernier pas de danse si tu glisses t'as vraiment pas d'chance Hey mokobĂ© toutes les femmes dans cette boĂźte elles s'appellent "laisse moi tranquil" ??? oooooooh ! Ayiyayiya C'est dans la joie lĂ qu'on va swinguer ohhhhhhh ! Ayiyayiya C'est dans la joie lĂ qu'on va swinguer ohhhhhhh ! Ăa fait mal mais c'est doux quand mĂȘme on s'en fout des couleurs blanc, noir, jaune, bleu, bleu ciel, on s'en fout ça c'est cadeau pour vous jeux de jambes Yeah ! pour ce son lĂ c'est mon ami Ă©coute ce son lĂ c'est pour toi que nous avons bayĂ© c'est pour toi que nous avons chantĂ© c'est pour toi qu'on fait tout ça ! Paroles2Chansons dispose dâun accord de licence de paroles de chansons avec la SociĂ©tĂ© des Editeurs et Auteurs de Musique SEAM
Lemojito câest vraiment trop bon si je te trompe avec me prend pas pour un con. 27 Dec 2021
Julian Constant arrivĂ© au restaurant, Le Mexicain quartier Daumesnil, dĂ©balle un cadeau. Julian sourit, il ne sâattendait pas à ça. Enfin, je touche au but » se dit-il, puis lâhomme lance un peu mĂ©prisant Ă la serveuse _ Un Mojito et vite sâil vous plait ! La serveuse sâavance vers lâhomme pour lui dire quâil sâest trompĂ© de pays... Soudain ! PAN PAN ! Deux Ă©normes dĂ©tonations... Julian Constant sâĂ©croule avec deux balles dans le ventre, le regard plein dâincomprĂ©hension. J moins sept... mercredi Emma Satie marche dans les couloirs de la station de mĂ©tro OdĂ©on. Il nây a pas grand monde en cette fin de matinĂ©e. Les Ă©coles sont fermĂ©es. La femme est dans ses pensĂ©es, elle cherche Ă ĂȘtre le plus naturel possible. Elle vient faire une rencontre et tout doit bien se passer. Elle consulte son tĂ©lĂ©phone, ralentit, accĂ©lĂšre, consulte son tĂ©lĂ©phone. LĂ , sortie cĂŽtĂ© cinĂ©ma. Emma regarde du bas les marches, personne, elle attend, une silhouette se profile elle engage la montĂ©e. ArrivĂ©e au milieu, la Brune croise un homme brun assez grand, un lĂ©ger parfum lui parvient aux narines. Elle se retourne, pas vraiment son habitude, lâhomme se retourne Ă©galement, par habitude lorsquâil croise une beautĂ©. Ăchange de sourire, le brun sâarrĂȘte, entre sa main droite dans une poche intĂ©rieure de sa veste et remonte la dizaine de marches qui les sĂ©parent. La femme a un moment dâeffroi. Lâhomme _ Eh tout va bien ! Bonjour ! Julian, câest mon prĂ©nom. Tenez voici ma carte, si le cĆur vous en dit, on peut se revoir. Puis le Brun redescend prendre son mĂ©tro sans se retourner. Emma surprise par son culot, reste stoppĂ©e sur les marches la carte de visite en main, sobre blanche avec des Ă©critures bleu foncĂ©. Lâodeur lui revient en mĂ©moire, elle range la carte dans son sac Ă main et continue sa montĂ©e, un sourire aux lĂšvres. Puis son visage sâassombrit rapidement. Emma rentre dans son deux piĂšces, ouvre les deux fenĂȘtres. Elle se pose sur le sofa et allume une cigarette. La Brune sort la carte de visite de lâinconnu, relit le nom, revoit le visage, le sien sâassombrit Ă nouveau. J moins six... jeudi. Dix heures, Emma se retrouve rue Daumesnil. La Brune jette un Ćil sur la carte de visite, numĂ©ro cent soixante-sept. Câest ici. Elle pousse la porte vitrĂ©e de lâagence immobiliĂšre, JC immobiliĂšre. Un jeune homme derriĂšre un bureau lui lance un bonjour et bienvenue Ă notre agence » avec un sourire commercial rodĂ© mais bienveillant. Puis-je vous ĂȘtre utile ? » _ Bonjour monsieur. Euh... oui je souhaiterais voir monsieur Julian Constant sâil vous plait. _ Vous avez rendez-vous avec M. Constant ? _ Non, dĂ©solĂ©e je viens Ă lâimproviste. _ Ah ! Oui effectivement Julian est en rendez-vous Ă lâextĂ©rieur. Je peux peut ĂȘtre vous renseigner sur un bien que vous souhaitez acquĂ©rir ou louer ? _ Oh non merci... Câest personnel. Je lâappellerai, rien de grave. Merci, au revoir. Emma ressort de lâagence rapidement. Nâimporte quoi, je fais nâimporte quoi » rage-t-elle intĂ©rieurement. Câest qui ce mec ? Je ne sais pas si jâaurai la force dâaller jusquâau bout. En plus son parfum quel culot ! ». Tout en maugrĂ©ant Emma emprunte les escaliers de la bouche de mĂ©tro. Elle se rend dans le quartier Montparnasse dans une parfumerie. Ensuite, elle se dirige vers les jardins du Luxembourg, un parc oĂč elle aime flĂąner et lire quand le temps sây prĂȘte. Elle repĂšre un bel arbre qui abrite un banc public vide, elle sây dirige. Aujourdâhui comme les autres jours, depuis un mois elle ne travaille plus. Quand elle a remis sa dĂ©mission Ă sa patronne, elle ne sâest pas justifiĂ©e malgrĂ© les protestations. Aujourdâhui elle profite du jardin comme elle a su le faire parfois. Mais la volontĂ© de rencontrer Julian la perturbe. Elle veut connaĂźtre lâhomme. Un ballon blanc et bleu arrive aux pieds dâEmma. Machinalement, elle stoppe la balle, regarde Ă droite et Ă gauche personne en vue. Elle range le ballon sous le banc et retourne Ă ses pensĂ©es. _ Madame... Madame ! Emma surprise lĂšve les yeux, un petit garçon se tient devant elle, droit comme un I. _ Je peux prendre le ballon sâil vous plait ? Demande le garçon en pointant du doigt ce dernier situĂ© sous le banc. _ Oui bien sĂ»r ! Prends-le. RĂ©pond la femme. Le jeune choppe le ballon et sâen va en courant avec un merci Ă peine perceptible. Ce pourrait ĂȘtre mon fils » pense Emma. La femme sort son tĂ©lĂ©phone portable et la carte de visite de Julian Constant, tape le numĂ©ro, aprĂšs quelques sonneries _ Allo Monsieur Julian Constant... Emma Satie au tĂ©lĂ©phone. J moins cinq... vendredi. Le rendez-vous a Ă©tĂ© fixĂ© vers dix-huit heures dans un bar Place de la Bastille. Emma connaĂźt bien ce quartier, elle y vit depuis une dizaine dâannĂ©es dans son deux piĂšces. Un appartement agrĂ©able et lumineux, un loyer excessif comme dans tout Paris. Elle a vĂ©cu des jours heureux dans ce lieu. Dans les tous prochains jours elle quittera la capitale, pour lâĂ©tranger. Tout est prĂȘt, billets, bagages, papiers... Emma est en jean noir, chemisier bleu ciel pareil Ă ses yeux, chaussures assorties au chemisier, sac Ă main du mĂȘme ton. La classe simple, mais attrayante. La Brune est dĂ©tendue, son stress est repoussĂ© dans une zone extĂ©rieure Ă elle et hors dâatteinte. Emma arrive en avance Ă ses rendez-vous, quâils soient personnels ou professionnels. Cela lui donne de lâassurance. La brune reprend la carte de visite de Julian. Julian Constant, quelques instants avec cet homme. Est-ce vraiment ce quâelle veut ? _ Bonsoir Emma ! Julian se pose devant Emma, un grand sourire aux lĂšvres. Il Ă©carte ses bras. On sâembrasse ? Emma se lĂšve, redresse ses pieds, tend son coup et claque deux baisers francs sur les joues de lâhomme. Elle aime les hommes grands, bruns ou blonds. Le mĂȘme parfum vient lui caresser les narines... Monsieur de Givenchy ! Un parfum lĂ©gĂšrement citronnĂ©, du moins câest ce quâelle en retient ! Ătonnant parce que lâon ne retrouve plus les flacons sur les Ă©talages des parfumeries. Lâodeur lui remue les tripes. Emma se reprend rapidement _ Bonjour Julian, je vous propose un verre pour faire plus ample connaissance. AprĂšs on verra bien. _ Parfait. RĂ©pond le Brun impressionnĂ© par lâassurance de la Brune. Une coupe de champagne semble appropriĂ©e pour ce premier rendez-vous. Emma sait que cette boisson passera bien. Les grosses banalitĂ©s du dĂ©but lâagacent un peu. TrĂšs vite elle le juge imbu de lui-mĂȘme, voir un peu macho. Oui mais tu as acceptĂ© le rendez-vous rapidement, alors il se sent conquĂ©rant !» se dit la Brune. Ă la deuxiĂšme coupe Emma se dĂ©tend, Le tutoiement sâinstaure et la conversation prend une tournure plus agrĂ©able, cinĂ©s, voyages... AprĂšs une heure bien passĂ©e, il est temps de bouger. Julian lance lâinvite fatidique _ Je connais un petit restaurant indien sympathique. Est-ce que cela te dit ? En fait jâai dĂ©jĂ rĂ©servĂ© ! _ Trop sĂ»r de toi Julian ! Je dĂ©cline lâoffre, pas ce soir. Je rentre chez moi, je prĂ©fĂšre et nâinsiste pas sâil te plait, jâai horreur de ça. Puis Emma se lĂšve. On se revoit rapidement, je te promets, elle lâembrasse lui tourne le dos et sâen va. J moins quatre... samedi. Neuf heures. Julian Constant ouvre lâagence immobiliĂšre, il est furieux. Le dĂ©part prĂ©cipitĂ© dâEmma lâa laissĂ© sans voix. Incroyable ! Jamais je ne me suis fait larguer comme ça ! Ouais larguĂ© ! Non mais elle se prend pour qui celle-lĂ ! » _ Bonjour Julian comment va ? Lance son secrĂ©taire derriĂšre son dos. La bonne humeur de son collaborateur quel que soit lâheure horripile Julian. _ Salut ! Grommelle Julian. Comment faites-vous pour toujours ĂȘtre comme ça, câest agaçant. AprĂšs son invective le Chef dâentreprise se renferme dans son bureau. Constant consulte son agenda, rendez-vous avec Madame Grivo Ă onze heures. Sexy avec du fric, voilĂ comment lâagent immobilier caractĂ©rise sa cliente. Un mari toujours en voyage. je nâai jamais essayĂ© avec elle ». Julian regarde son tĂ©lĂ©phone. Si Emma appelle il ne rĂ©pondra pas. Le patron sort de son bureau. _ Henry ! Vraiment quel drĂŽle de nom pour un type de trente-cinq ans, je ne mây ferai jamais » pense Julian. Henry est face au paperboard du planning des visites du samedi. TrĂšs peu aujourdâhui. Ce sont les vacances. Le secrĂ©taire se retourne et Julian avance, la diffĂ©rence de taille est flagrante entre les deux hommes. Un choix du patron, embaucher une personne pas plus grande que lui. MĂȘme si cela nâest pas trĂšs Ă©thique. Câest une maniĂšre pour lui dâavoir une ascendance sur son employĂ©. Autre exigence du patron, avoir les yeux marron comme lui ! Manquerait plus que son subalterne est les yeux bleus ! La conversation tourne autour de lâorganisation de la journĂ©e, une routine utile. Ă la fin de lâentretien Julian retourne dans son bureau, sâassoit, sort quelques dossiers dâun des deux tiroirs et les pose. Puis il tire lâautre tiroir plus bas, il nây a quâun dossier, il lâouvre sans le sortir. Plusieurs liasses de billets sont entassĂ©es. Il en retire une et ponctionne une dizaine de cinquante euros qui trouvent refuge dans son portefeuille. Julian sourit et regarde Ă nouveau son tĂ©lĂ©phone. Emma FlĂąne dans son appartement ce matin. Ă plusieurs reprises elle a pris son portable, composĂ© le numĂ©ro de Julian mais lâa reposĂ©, elle hĂ©site encore... Enfin elle se dĂ©cide _ Allo Julian ? Bonjour câest Emma. _ Bonjour Emma. Julian ne voulait pas rĂ©pondre, mais rester sur un Ă©chec blesse son ego. _ Peut-on se voir demain, aujourdâhui je ne peux pas, jâai quelques rendez-vous. _ Ce soir alors ? _ Non je suis prise... Emma nâen dit pas plus, un silence sâinstalle... Elle attend... _ Dâaccord demain pour le dĂ©jeuner, je dĂ©cale un rendez-vous. Douze heures trente Ă Bastille dans le mĂȘme bar. Ăa te va ? _ Parfait, Ă demain. Emma raccroche. Julian se sourit Ă lui-mĂȘme, son ego rassurĂ©. Avant de sortir de son appartement Emma envoie un message Bonjour Phill. Rendez-vous ce soir Ă Bastille Ă vingt heures. » Dix-neuf heures trente, Emma arrive place de la Bastille, elle se rend dans une brasserie Ă lâopposĂ© du bar dâoĂč elle doit rejoindre Julian demain, en avance comme dâhabitude. Elle entre et va sâinstaller sur une banquette au fond de la salle. Emma a rendez-vous avec Phill Merco. Elle doit finir la prĂ©paration de son dĂ©part, câest Phill qui sâest occupĂ© de tout, papiers, billets, formalitĂ©s. Un an plus tĂŽt elle ne connaissait pas cet homme. Depuis leur premiĂšre rencontre la Brune se sent peut-ĂȘtre amoureuse... mais peut-ĂȘtre nâose-t-elle pas...». Sa hauteur, sa blondeur, ses yeux bleus et son accent... Mais une blessure dans sa vie ne suffit-elle pas ? ». J moins trois... dimanche. Douze heures cinquante, Julian est en retard. Pour lui ce nâest pas un problĂšme. Elle attendra » Lâhomme est sĂ»r de lui. Cette fois-ci il ne lĂąchera pas lâaffaire. Emma est installĂ©e sur la terrasse, la douceur du printemps le permet. Julian se dirige vers la femme, elle sourit _ Bonjour Julian. Tu dĂ©cales un rendez-vous pour venir ? On est dimanche ! _ Je travaille souvent le dimanche et parfois câest le seul jour disponible pour certains clients. Me voilĂ dispo Ă votre service chĂšre Emma ! Grand sourire aux dents blanches. Et surtout avec lâenvie de tâavoir » mais cette rĂ©flexion il la garde pour lui. Il ne sâexcuse mĂȘme pas » ironise intĂ©rieurement Emma. Un serveur passe prendre commande. _ Salades et rosĂ© est ce que ça te va ? Propose Emma. _ TrĂšs bien. Le serveur prend note et sâen retourne. Emma lance la discussion _ Alors quâelle personne es-tu ? Monsieur Julian Constant. Lâhomme ne sâattendait pas à ça, il commence. Des Ă©tudes commerciales, pas de grandes Ă©tudes, un BTS. Des jobs dans diverses boites oĂč il se dĂ©brouille et qui lui ouvrent des contacts dans lâimmobilier. LâopportunitĂ© de reprendre une agence se prĂ©sente, le concurrent dâun ami, une cessation avec liquidation un peu forcĂ©e. Il y a maintenant presque six ans. La biographie de Julian prend du temps, il est presque le seul Ă parler et cela convient Ă Emma. En lâĂ©coutant sa petite voix lâinterpelle, il ne manque pas dâaplomb ce mec... » Le dĂ©jeuner tire Ă sa fin. _ Je parle, je parle... Ă toi Emma, raconte-toi. Ă elle-mĂȘme, sĂ»rement pas ! » Ă Julian _ Plus tard. Tu mâinvites nâest-ce pas ? Julian sourit _ Oui je te lâai dit. _ Alors peux-tu rĂ©gler ? Jâai envie de marcher un peu. Le couple se retrouve le long du canal. Julian essaie de prendre Emma par le bras, mais la femme se soustrait dĂ©licatement. Emma parle un peu de son enfance, dans sa campagne natale, sans trop dĂ©voilĂ© certaines choses. Elle est venue sur Paris pour son premier travail. Le tĂ©lĂ©phone de Julian sonne _ ObligĂ© de rĂ©pondre annonce le brun en regardant son Ă©cran. _ Pas de problĂšme, je vais plus en avant. Un instant plus tard, Julian est gĂȘnĂ©, mais il doit partir, un contre temps. _ On se retrouve ce soir ? Un concert rue des lombards si tu veux ? _ Je ne sais pas. Appelle-moi. On verra. Ils sâembrassent et se quittent. Emma nâa pas trĂšs envie de passer la soirĂ©e avec cet homme. J moins deux... lundi. Julian prisonnier hier soir nâa pu se libĂ©rer. AprĂšs son appel Ă Emma pour une invitation en fin de journĂ©e, il se dit Bon sang je ne dois pas lui ĂȘtre indiffĂ©rent puisquâelle accepte de me revoir, ce soir câest le bon ». Son Ăąme de prĂ©dateur commence Ă sâimpatienter. Le couple se retrouve rue des lombards. Un pot, un petit concert et câest dans la boite » Phantasme lâhomme. Le temps est trĂšs doux. Lâhomme est en tenue dĂ©contractĂ©e, jean, chemise blanche, basket de marque bien sĂ»r. La femme est en jupe courte bleu-ciel, chemisier noir, chaussures et sac assortis. Julian la regarde, Emma ressent lâattirance du brun pour elle. Emma est lĂ dans un but bien prĂ©cis, elle veut gagner la confiance de cet homme tout en gardant la juste distance. Ils se dirigent vers le Jazz CafĂ©. Julian tente de prendre Emma par la main, mais elle lui dit _ Attends un peu mon ami, jâai besoin de temps. Ne mâen veut pas, câest comme ça, une histoire douloureuse Ă oublier. Tu me plais mais ça ne suffit pas. _ Une histoire douloureuse, raconte... Sâil te plaĂźt ! _ En dĂźnant, on arrive. Tous deux sâinstallent dans un endroit discret, il y a peu de monde. Des instruments de musique sont en place sur une petite scĂšne. Le couple commande des mojitos le cocktail prĂ©fĂ©rĂ© de Julian, celui dâEmma aussi, heureux hasard... AprĂšs quelques banalitĂ©s et un mojito la femme se lance dans son histoire. Un amoureux rencontrĂ© lors de vacances au BrĂ©sil. Les contacts continus avec les technologies dâaujourdâhui, câest facile. Ădouard vient en France la rejoindre, ils mĂšnent une vie sĂ©parĂ©e pendant deux ans et emmĂ©nagent ensemble, lĂ oĂč elle vit encore. Des projets de vie soit en France, soit au BrĂ©sil. Des enfants peut-ĂȘtre. Enfin des choses banales, mais le couple fonctionnait bien. Un bonheur simple et lĂ©ger. Et puis il y a cinq ans le drame... Son amant perd la vie. Tout sâĂ©croule... Pendant quâEmma se raconte, Julian se parle Ă lui-mĂȘme Elle est craquante cette nana... Deux, trois mojitos et câest bon... Allez câest parti... Ădouard, encore un nom stupide... Cinq ans... Merde cinq ans sans coucher... » Les musiciens sont en places depuis quand ? Ni lâun ni lâautre ne peut le dire. Julian avance sa main vers celle dâEmma. Cette derniĂšre ne la retire pas. J moins un... mardi. Julian est frustrĂ© et ne comprend pas elle joue Ă quoi cette femme ? ». Lâhomme nâa pas lâhabitude dâune rĂ©sistance aussi poussĂ©e. Hier soir, aprĂšs le concert, le couple sâest retrouvĂ© au pied de lâimmeuble de Julian. MalgrĂ© son insistance, Emma a refusĂ© de monter jusquâĂ lâappartement, lui disant juste patience mon ami, patience » elle lâa embrassĂ© puis elle est partie sans se retourner. Quand Emma lâa appelĂ© ce matin il a annoncĂ© ĂȘtre occupĂ© aujourdâhui, de la paperasse pour lâagence, et son employĂ© est en congĂ©s. Puis il sâest ravisĂ© en la rappelant une heure plus tard. Il la veut. Emma a acceptĂ© de se rendre Ă lâagence. DĂšs que la brune referme la porte. Julian lâinterpelle _ Dis-moi tu nâas jamais rencontrĂ© dâautres hommes depuis... le drame. Emma esquivant la question _ Et toi, tu nâas jamais eu de drame dans ta vie ? La question surprend Julian Ă en ĂȘtre gĂȘnĂ©. _ Euh... Non jamais. Tu veux un cafĂ© ? _ Oui, merci. Elle insiste tu es sĂ»r de nâavoir jamais vĂ©cu de drame dans ta vie ? _ Oui ! Quand mĂȘme je mâen souviendrai ! Pourquoi cette question ? Lâhomme nâest pas Ă lâaise. Puis agacĂ© Quâest-ce que tu cherches Emma ? _ Rien. Elle boit son cafĂ©. Moi aussi jâai des choses Ă faire ? Elle se lĂšve. Demain midi je tâinvite au restaurant, Le Mexicain, il se trouve dans une petite rue quartier Daumesnil. Tu rĂ©serves en demandant une table tranquille, sâil te plait. _ Je ne sais pas, pourquoi pas ce soir ? _ Non jâai dĂ©jĂ un rendez-vous ? Alors ? _ Je ne sais pas. Au revoir Emma. Le soir dans lâappartement dâEmma, Phill Merco est assis sur le canapĂ© _ Emma câest Ă moi de le faire. Tu as fait beaucoup plus que je nâaurai imaginĂ©. La premiĂšre fois que je tâai abordĂ©, jâĂ©tais sans scrupules. Ton frĂšre sâest fait manipuler, il a participĂ© Ă mon Ă©viction et au reste. Jâai tout perdu Ă cause de lui et ma haine câĂ©tait transposĂ©e vers toi. Aujourdâhui câest diffĂ©rent... Emma coupe la parole de Phill. _ Ce salaud de Constant a dĂ©truit ma vie ! Mon amour, mon enfant, mon frĂšre, en cinq minutes tout a basculĂ©. Cinq ans que jâattends une rĂ©ponse Ă ses actes. MalgrĂ© mes protestations et mes investigations bien maigres il faut le reconnaĂźtre. LâenquĂȘte nâa rien donnĂ© tu le sais, les flics en croquaient. Toi il tâa juste dĂ©pouillĂ©, ruinĂ© quâest-ce que le pognon Ă cotĂ© de trois vies ? _ Quoi ton enfant, mais je ne savais pas ! Il nâa jamais Ă©tĂ© question dâenfant dans lâenquĂȘte. _ JâĂ©tais enceinte... En plus ce connard porte le mĂȘme parfum que portait Ădouard, ça me dĂ©goute. Phill se lĂšve en disant _ Câest moi qui le ferais... Tout est prĂȘt. Puis il serre Emma dans ces bras. Celle-ci lui demande de partir, elle ne veut pas quâil reste. Un an avant. _ Allo Mme Hart ? _ Oui ! Ă qui ai-je lâhonneur ? _ Phill Merco. Vous ne me connaissez pas. Moi je vous connais, vous ĂȘtes la sĆur de Paul Hart. Je me trompe ? La vois est ferme et assurĂ©e avec un lĂ©ger accent de lâest. _ Oui... Pardon ! Non câest mon frĂšre... Enfin câĂ©tait... Que voulez-vous ? _ Je suis un ami de votre frĂšre, je veux la mĂȘme chose que vous. En ce moment vous ĂȘtes disponible. Je vous propose une rencontre. Dans une heure en haut des marches de la station OdĂ©on cotĂ© cinĂ©ma. Dâaccord ? _... _ Jâinsiste ! Dâaccord ? _ Mais qui ĂȘtes-vous, Je ne vous connais pas ! _ Je vous lâai dit un ami de votre frĂšre Paul. Ă dans une heure. Juliette Hart pose son portable sur la table basse en face dâelle. Elle ouvre une des fenĂȘtres de son deux piĂšces, une brise chaude de printemps lui caresse les joues. Elle allume la cigarette quâelle a entre ses doigts depuis le dĂ©but de lâappel. Un frisson lui parcours le dos. Une heure plus tard Juliette Hart se trouve Ă lâendroit indiquĂ©. Un homme grand et blond lâaborde _ Juliette Hart ? La femme acquiesce, elle reconnaĂźt immĂ©diatement lâaccent. _ Je veux tuer lâhomme qui a dĂ©truit votre vie. Jâai besoin de vous. J moins 1 heure... mercredi Emma ouvre la porte du restaurant et jette un Ćil alentour. Elle cherche Julian des yeux, Emma avance vers le comptoir situĂ© en fond de la salle... Personne _ Bonjour Madame ! Lance la serveuse avec un accent latino et un sourire lumineux. _ Bonjour dit Emma un peu crispĂ©e. On a rĂ©servĂ©e au non de M Julian dit-elle. _ Oui deux personnes nâest-ce pas ? _ Câest ça. RĂ©pond Emma. _ Vous souhaitiez un endroit discret, si jâai bien compris ? _ Oui, de prĂ©fĂ©rence. _ Suivez-moi. La serveuse accompagne Emma plus encore dans le fond de la salle et prend sur lâouverture de gauche. Elle demande en tendant la main. _ Est-ce que cela vous ira ici, madame ? Emma dĂ©couvre une piĂšce plus grande que celle de lâentrĂ©e, avec des tables plus espacĂ©es. Des plantes grasses de type cactus sĂ©parent les tablĂ©s. Des posters de dĂ©serts arides sont accrochĂ©s aux murs peints en jaune dorĂ© avec quelques touches dâorange. Des sombreros ornent les poutres. _ TrĂšs bien ! Lorsque Monsieur Julian arrivera vous pourrez lui indiquer lâendroit demande Emma. _ Bien sĂ»r ! Señora lance la serveuse toujours avec son sourire digne dâun soleil. Emma sâassoit sur une chaise face Ă lâouverture de la salle de maniĂšre Ă repĂ©rer Julian dĂšs son entrĂ©e. Elle dĂ©pose sa veste sur le dos du siĂšge et mets son sac Ă main sur lâassise dâĂ cĂŽtĂ©. Il nây a personne dans la salle. Une porte de secours se situe sur sa droite. Elle se lĂšve et se dirige vers cette derniĂšre. La femme pose sa main sur la poignĂ©e de la porte, appuie, un clic dâouverture trĂšs discret se dĂ©clenche. Emma attend quelques secondes... Rien. Elle ouvre la porte, jette un Ćil dehors et referme. _ Parfait, maintenant attendons. Se dit-elle. La serveuse revient voir Emma quelques minutes plus tard. _ DĂ©sirez-vous une boisson en attendant la personne madame ? _ Volontiers ! Una Margarita por favor señora ! dit Emma amusĂ©e. _ Me llano Ana. _ Pardon ? _ Je mâappelle Ana, Madame. _ Ah ! Alors une Margarita Ana sâil vous plait. Une demi-heure plus tard la serveuse se reprĂ©sente devant Emma. _ La personne que vous attendez viendra-t-elle, señora ? _ Je dĂ©sespĂšre lĂ ! Apportez-moi une autre Margarita por favor ! _ Bien je vous prĂ©pare ça. J instant zĂ©ro Quand Ana sort de la salle, Julian entre et lance avec un grand sourire Ă Emma _ DĂ©solĂ© Emma, annonce lâhomme. Il se penche et embrasse la brune sur la joue. Un rendez-vous imprĂ©vu, tu sais ce que câest ? Les clients en prioritĂ©. Le visage de la femme se durcit _ Ouais tu aurais pu envoyer un message quand mĂȘme dit sĂšchement Emma. Emma se penche pour prendre son sac Ă main quâelle pose sur la table. _ Quoi ! On sâen va dĂ©jĂ ? Questionne Julian. La brune sort un paquet emballĂ© de son sac _ Non. Elle tend le cadeau Ă Julian, pour toi ! Julian surpris du geste dâEmma, prend le paquet et le dĂ©balle tout en restant debout. Monsieur de Givenchy. Lâhomme sourit. _ VoilĂ Ana commande quelque chose Ă boire... _ Un Mojito et vite sâil vous plait ! Lance le brun un peu mĂ©prisant envers la serveuse. PrĂ©cipitamment Emma passe la main dans son sac, sort un flingue et tire sur Julian... PAN PAN... deux balles. Julian Constant, regardant la Brune, sâĂ©croule les yeux pleins dâincomprĂ©hension. Puis la Brune hurle haineuse _ Connard, câest le Mexique ici ! MĂȘme pas foutu de commander la bonne boisson. Puis elle se tourne vers Ana stupĂ©faite. Tout en prenant son sac Ă main et sa veste Emma crie et braque la serveuse de son flingue _ Recule ! Recule ! La Brune se dirige vers la porte de secours, lâouvre et se tire en courant. J zĂ©ro plus... cinq minutes _ Ăa va ?... Oh Emma ça va ? Hurle Phill en dĂ©marrant sur les chapeaux de roue. _ Emma ferme ses yeux, enlĂšve sa perruque et secoue sa chevelure rousse. Elle retire ses lentilles et se tourne vers Phill... Elle lui sourit de ses yeux verts uniques. Ă cet instant prĂ©cis, il comprend pourquoi il est amoureux de Juliette Hart.
Cest le rendez-vous incontournable pour savourer le meilleur Mojito des Baléares. Jeff et Sonia sont toujours de belle humeurs et l'accueil y est toujours chaleureux. Les Mojito sont à tomber (et vous faire tomber si vous en abusez), instalé dans les rues piétonnes de la fin du port d'Ibiza l'endroit est un peu plus calme que dans le centre.
Icon Sport PubliĂ© Vendredi 26 AoĂ»t 2022 Ă 1000 Dans PSG. Le PSG a fait l'offre qu'il fallait pour faire signer Bernardo Silva au mercato. Mais Manchester City a refusĂ©, Pep Guardiola craignait que Paris soit tout simplement trop fort cette saison avec ses stars Ă profusion. A moins dâune semaine de la fin du mercato, le Paris Saint-Germain a encore un appĂ©tit dâogre. Le club de la capitale a tentĂ© le coup pour rĂ©cupĂ©rer Bernardo Silva. Un joueur qui fait rĂȘver le FC Barcelone, mais qui rĂȘve aussi de prendre son envol alors quâil nâest pas toujours vu comme un Ă©lĂ©ment indispensable aux yeux de Pep Guardiola. Pourtant, ces derniers jours et probablement encore pour les prochains, une vĂ©ritable partie de poker menteur sâest installĂ©e. Cela a commencĂ© avec le sentiment du Portugais quâun transfert Ă©tait possible cet Ă©tĂ©, notamment parce que Manchester City nâa jamais vraiment fermĂ© la porte. Le PSG a des arguments pour Bernardo Silva Le FC Barcelone est venu aux renseignements, sans pouvoir attaquer sĂ©rieusement faute de pouvoir se sĂ©parer de Frenkie De Jong. RĂ©sultat, câest le Paris SG qui est passĂ© Ă lâaction en proposant 70 millions dâeuros pour rĂ©cupĂ©rer lâancien ailier de lâAS Monaco, que Luis Campos aimait bien. Paris nâĂ©tait peut-ĂȘtre pas le premier choix de Bernardo Silva, mais lâĂ©quation Ă©tait rĂ©alisable avec des arguments sportifs et financiers copieux. Cela a provoquĂ© une rĂ©action en chaine tout aussi spectaculaire. Manchester City a refusĂ© lâoffre parisienne, et a immĂ©diatement proposĂ© une prolongation de contrat avec un salaire amĂ©liorĂ©e Ă la De Bruyne » pour son joueur, qui lâa refusĂ©e. RĂ©sultat, un dĂ©part a Ă©tĂ© remis sur la table en cas de proposition réévaluĂ©e de la part du PSG. Manchester City reject PSGâs initial âŹ70m offer for Bernardo Silvaâą PSG believe Guardiola blocked transfer over fear midfielder will turn Qatar-owned club into Champions League winnersâą Bernardo rejected MCFC contract offer on De Bruyne-level salary â Duncan Castles DuncanCastles August 25, 2022 Il se murmure en effet quâune offre Ă hauteur de 100 millions dâeuros de la part du PSG obligerait presque Manchester City Ă dire oui. Mais selon The Times, la situation est beaucoup plus complexe et Pep Guardiola estime quâil ne faut surtout pas vendre son ailier portugais au champion de France. La raison est simple, lâeffectif parisien fait peur, et le Paris SG est vu comme un trĂšs sĂ©rieux prĂ©tendant Ă la victoire finale en Ligue des Champions. Au point que Pep Guardiola estime que, non seulement il sera trĂšs difficile de remplacer Bernardo Silva en cas de dĂ©part en fin de mercato, mais quâen plus le PSG deviendrait quasiment intouchable en Europe sâil venait Ă recruter le Portugais. Une crainte que les propriĂ©taires de Manchester City peuvent aussi comprendre, eux qui nâont pas envie de voir lâĂ©tat voisin du Qatar, soulever une premiĂšre Ligue des Champions avant le club qui reprĂ©sente les intĂ©rĂȘt des Emirats Arabes Unis. Photo Icon_68414508
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Interviewavec lâinspirante SĂ©verine Assous. Nos amis les artistes. Vous avez vu nos derniĂšres nouveautĂ©s sur notre compte Instagram, mais avouez que vous aimeriez bien connaĂźtre les artistes qui se cachent derriĂšre ces illustrations fun, punchy, colorĂ©es ? Aujourdâhui, on vous prĂ©sente SĂ©verine Assous, lâartiste Ă lâorigine de
Paroles de la chanson Le Mojito par Zdrid Family Jâsuis posĂ© avec une fimby jâai soif et ma gorge met des fimbus Juste avant jâĂ©tais chez la daronne jâai dĂ©marrĂ© le pundu Jâai les dents vertes comme la canette de mojito Belle dĂ©couverte, dĂ©sormais je ne bois plus de lâeau Nan je ne bois plus de lâeau, nan je ne bois plus de lâeau, nan je ne bois plus de lâeau Maintenant jbois que du mojito Le mojito câest vraiment trop bon si je te trompe avec me prend pas pour un con Le mojito câest vraiment trop bon quand jbois cette boisson ça me fait des frissons Devant une fiction Ă la maison le mojito câest la meilleure boisson Le mojito, le mojito, le mojito câest la meilleure boisson Momojito câest pour les couche-tard mais aussi pour les couche-tĂŽt Si tu ne peux pas ouvrir la canette masta ne dĂ©gaine pas le couteau Quand tu vas au work work work work work ou quand tu vas en classe classe classe classe classe Il te fait le taf taf taf taf taf Jâai la canette facile je reçois Ă domicile Avec 2-3 carreaux de glaçons, le mojito câest la meilleure boisson 77, 78, 91, 92, 93, 94, 95, la Z Le mojito câest vraiment trop bon si je te trompe avec me prend pas pour un con Le mojito câest vraiment trop bon quand jbois cette boisson ça me fait des frissons Devant une fiction Ă la maison le mojito câest la meilleure boisson Le mojito, le mojito, le mojito câest la meilleure boisson Jsuis posĂ© Ă la chicha tu connais lâaddiction, chicha gout menthe tu connais lâaddition Jâai besoin dâune boisson qui me fait des frissons et moi en tĂȘte jâai dĂ©jĂ ma potion Ouais câest trĂšs clair trĂšs clair pas de maniĂšre maniĂšre En temps normal tu connais dĂ©jĂ la chanson donc le mojito câest la meilleure option Ăa fait boum boum la Z, boum boum la Z, tej ton matui, donne-nous le mojito Tej ton matui donne-nous le mojito Le mojito câest vraiment trop bon si je te trompe avec me prend pas pour un con Le mojito câest vraiment trop bon quand jbois cette boisson ça me fait des frissons Devant une fiction Ă la maison le mojito câest la meilleure boisson Le mojito, le mojito, le mojito câest la meilleure boisson Le mojito câest vraiment trop bon si je te trompe avec me prend pas pour un con Le mojito câest vraiment trop bon quand jbois cette boisson ça me fait des frissons Devant une fiction Ă la maison le mojito câest la meilleure boisson Le mojito, le mojito, le mojito câest la meilleure boisson
LeBar Bu câest le fruit dâune association de trois passionnĂ©s : Michel qui tient dĂ©jĂ Burger and Coffee et qui assure en cuisine et Big et Ben qui sâoccupe des cocktails ! [] Voici mon dernier coup de coeur ! Une nouvelle adresse trĂšs hipster qu'est le Bar Bu. SpĂ©cialisĂ© en burger, fish and chips et cocktails. Le Bar Bu . Pages Navigation Menu. Qui je suis et comment
Paroles de la chanson Mojito par Poupie And I know right why this take was motherfuckin' good Je ne supporte la menthe que dans un mojito J'ai pas de prĂȘt Ă la banque car c'est des gros mythos Ils t'ont virĂ© de la bande vu que t'as vomis tĂŽt Et si je fais aucune vente, j'irai pas au Hilton Mais si je cartonne, j'irai revoir la banque Et ça changera la donne Hmm-mm Je vois dans tes yeux Qu'il y a beaucoup d'espoir et que tu me veux Mais je rentre trop tard, j'veux pas d'amoureux Je connais les scĂšnes phares de ces films trop vieux Hmm, je bois vite, c'est mieux Et tous les gens comme toi, c'est trop dangereux Je l'ai fait plus d'une fois, c'est fini les jeux Je t'en prie reste pas lĂ , j'crois que je prends feu Ah, et j'aime pas le football Quoi, qu'est-ce que tu vas faire ? Viens, on inverse les rĂŽles LĂ , j'reprends les affaires Je prends parfois c'qu'on me donne pour le mettre Ă la benne Il fallait que je dĂ©missione, j'avais bien trop la haine Je ne cĂŽtoie aucune conne, mais j'en connais certaines Mes contacts Ă Barcelone, si tu veux j'te les prĂȘte Je fais trop la fĂȘte donc j'dis n'importe quoi Il est temps que j'm'arrĂȘte Shit I wanna tell a story Of a lonely man Watchin' the sky turn shady Every time it rains And on the Sunday evening He walks along the river City gets so sparkly From the hearts of the strangers Hmm-mm, j'ai tournĂ© des heures Fais l'tour du carrĂ© VIP, les filles veulent pas d'fleurs Elles dansent en bas rĂ©silles, j'ressens la douceur Mais ça sent l'ecstasy, j'crois qu'il est plus l'heure Hmm, faut qu'je prenne un bain Que j'remette tout en place, laisse-moi faire le plein J'veux limiter la casse, qui m'arrive rien T'aimerais que j't'embrasse, tu t'maries demain Ah, et j'aime pas le football Quoi, qu'est-ce que tu vas faire ? Viens, on inverse les rĂŽles LĂ , j'reprends les affaires Claro prefiero decir que no te miro, no TambiĂ©n hay otro, pero ??? Claro que busco, lo que quiero lo tengo Cada silencio, me llama ??? Et j'aime pas le football Je ne supporte la menthe que dans un mojito On inverse les rĂŽles J'ai pas de prĂȘt Ă la banque car c'est des gros mythos Et j'aime pas le football Ils t'ont virĂ© de la bande vu que t'as vomis tĂŽt On inverse les rĂŽles Claro que busco Alors c'est vrai que j'suis pas fiable et que j'ai trop de dĂ©fauts Mais qui n'a jamais pris partie dans les pires dĂ©faites J'voulais juste pĂȘter mon cĂąble En fait, j'avais tout faux Je danse encore sur une table Mais je crois qu'il y a plus de fĂȘte Et je crois qu'il y a plus de fĂȘte Y a plus de fĂȘte J'crois que j'ai Ă©tĂ© bĂȘte J'crois que j'ai Ă©tĂ© bĂȘte From the hearts of the strangers And you're gone with the dark And if I stay, you just run
oubien un peu de yaourt avec du miel ou de la confiture. ou bien un peu de flacons d'avoine mélangé avec du muesli (de votre choix) et du lait écréme. ou bien un salade avec du bcp de citron et bcp de vinaigre. vinaigre c'est bien pour tuer les microbes, aux temps romains les légionnaires en consommait bcp.
Voici mon dernier coup de coeur ! Une nouvelle adresse trĂšs hipster » quâest le Bar Bu. SpĂ©cialisĂ© en burger, fish and chips et cocktails. Le Bar Bu câest le fruit dâune association de trois passionnĂ©s Michel qui tient dĂ©jĂ Burger and Coffee et qui assure en cuisine et Big et Ben qui sâoccupe des cocktails ! Ce que lâon peut dire au Bar Bu câest quâil y a de lâambiance, la bande son peut mĂȘme surprendre, ça peut passer dâun style bien particulier Ă un autre complĂštement diffĂ©rent. Jâai eu lâoccasion de mordre mon burger sur du Nirvana⊠ça a rajoutĂ© de lâintensitĂ© Ă ma dĂ©gustation ! đ Jâai vraiment ressenti que câest la nouvelle bonne adresse dont tout le monde parle dĂšs son ouverture, the place to be » quoi ! LâĂ©quipe est vraiment trĂšs cool. On y est un peu comme chez soi dans le sens oĂč on se met Ă lâaise trĂšs vite, on profite entre amis sans trop se rendre compte de ce qui se passe autour. La dĂ©coration est un mĂ©lange de matiĂšres brutes » de bois, de mĂ©tal et de pierres, trĂšs moderne. Niveau carte, les burgers ont tous des noms de⊠barbus bien sĂ»r ! đ La premiĂšre fois que jây suis allĂ©e nous Ă©tions trois. Jâavais optĂ© pour le barbe bleue » Steack hachĂ©, fourme dâAmbert AOP, poire, roquette, tomate, huile de noix. Rien que de lire lâassociation de fromage bleu et de poire, câest sur⊠je ne pouvais pas choisir autre chose ! En bouche câest vraiment savoureux, le pain est bien moelleux et se tient bien. Il a une bonne densitĂ© sans ĂȘtre bourratif. La cuisson demandĂ©e Ă point »est bien respectĂ©e et le burger est gĂ©nĂ©reusement garni !! Les poires Ă©taient gouteuses mais jâai vraiment trouvĂ© dommage de les retrouver crues dans le burger. Les cuire un petit peu aurait Ă©tĂ© plus gourmand en bouche. Mais je dois avouer que je me suis quand mĂȘme rĂ©galĂ©e ! Les ingrĂ©dients sont de qualitĂ©. Mon chĂ©ri et un ami qui mâaccompagnaient ont craquĂ©s sur le Chuck Norris » Poulet panĂ© maison, avocat frais, cheddar, salade, tomate et sauce burger. Et comme si ça ne suffisait pas, tous deux ont dĂ©cidĂ© de le complĂ©ter dâun steak hachĂ© et de piment en plus pour mon chĂ©ri ! Et rien Ă direâŠ. câĂ©tait une TUERIE !!! Encore meilleur que le mien, et associer poulet et steak hachĂ© câĂ©tait vraiment trop bon ! Chaque burger est accompagnĂ© de frites avec une sauce maison qui nous a beaucoup marquĂ©s ! Une sauce fumĂ©e du mĂȘme type que la sauce barbecue mais bien meilleure ! Elle est vraiment excellente !! Il y a aussi un peu de coleslaw mais que jâai trouvĂ© assez fade⊠đ et de salade, tomate, cornichon Ă rajouter dans le burger si on le souhaite. Nous Ă©tions quand mĂȘme assez repus aprĂšs ça⊠Mais vous connaissez mon gros appĂ©tit et surtout ma curiositĂ© lorsque je dĂ©couvre un nouveau restaurant, jâai quâune envie câest de dĂ©couvrir aussi leur desserts. đ Du coup jâai rĂ©ussi Ă trouver une grosse petite place pour leur cheesecake ! đ Et quâest ce que je nâai pas Ă©tĂ© déçue !! Il Ă©tait dĂ©licieux ! Une grosse part de cheesecake frais et un peu granuleux en bouche, donc pas trop compact comme certains, et surtout le fond de biscuit Ă©tait bien Ă©pais et vraiment gouteux !! Je tournais des yeux en le savourant sous les yeux exaspĂ©rĂ©s de mon chĂ©ri et de notre ami. La gourmandise est un vilain dĂ©faut ? maaaaaais non ! đ Cette premiĂšre visite au Bar Bu nous a tellement conquis que nous y sommes retournĂ©s⊠deux jours plus tard ! đź Cette fois ci avec la clique, nous Ă©tions 7 gourmands Ă table. Le chuck Norris est ressorti avec le supplĂ©ment steak hachĂ©, mais il y Ă©tait aussi en version classique et tout de mĂȘme bien copieux Il y a eu aussi un Capitaine Haddock » Cabillaud frais panĂ© maison, cheddar, oignons rouges, salade, tomate et sauce tartare. DemandĂ© sans oignons rouges mais avec une compotĂ©e dâoignons Ă la place, câĂ©tait vraiment sympa dâaccepter ce changement sans supplĂ©ment. Apparemment il a Ă©tĂ© apprĂ©ciĂ© et remportĂ© en doogy bag » car trop copieux ! đ Le Big Lebowski » donnait vraiment envie avec son steack recouvert de cheddar ! Il est Ă©galement composĂ© de tomate, salade et sauce burger. JâĂ©tais persuadĂ©e lâavoir pris en photo mais je ne lâai pas retrouvĂ© ! Et enfin je me suis laissĂ©e tenter par le ZZ Top » steak hachĂ©, bacon grillĂ©, oeuf au plat, cheddar, salade, tomate, oignons rouges et sauce barbecue au Jack Daniels avec un supplĂ©ment de piment. Et le petit kiff de voir le jaune dâoeuf coulant au moment oĂč on referme le burger avec le bun Et un nouveau dessert de testĂ© mousse mascarpone au kinder ComposĂ© de crĂšme mascarpone au chocolat kinder et surmontĂ© de chantilly, de quelques brisures de biscuits et dâun kinder maxi. CâĂ©tait pas mauvais mais entre la crĂšme au mascarpone, la chantilly et le chocolat kinder je trouvais ça un peu trop gras et lourd. Jâai laaaargement prĂ©fĂ©rĂ© le cheesecake ! đ En tous cas vous pouvez aller au Bar Bu les yeux fermĂ©s, personne nâa Ă©tĂ© déçu et je lis pas mal dâarticles et dâavis positifs un peu partout sur eux ! Quelque chose me dit que je vais y retourner bien vite ! đ MISE A JOUR â JEUDI 04/12/14 Je nâai pas mis bien longtemps pour retourner au Bar Bu ! Et cette fois ci en compagnie de Ben alias Uncle Bens » sur Instagram cliquez sur son nom pour vous retrouver sur son instagram garni de jolies photos gourmandes ! đ . CâĂ©tait une bien bonne soirĂ©e oĂč lâon a pas arrĂȘtĂ© de papoter ! Câest quâon avait pas mal de choses Ă se dire depuis notre dernier petit dĂ©jeuner chez Dunk ! đ Mais trĂȘve de blabla pour cette mise Ă jour et je vous explique les nouveautĂ©s de Bar Bu ! Je nâai vraiment pas Ă©tĂ© déçue ! 3 Tout dâabord ils ont mis un trĂšs bel accent sur la dĂ©coration de NoĂ«l jâai oubliĂ© de prendre des photos pour vous montrer ! mais au moins vous aurez la surprise quand vous irez ! đ Vraiment une ambiance trĂšs festive et un immense sapin ! Câest encore plus chaleureux que dâhabitude ! ^_^ En amuse bouche, un petit veloutĂ© de potiron nous a Ă©tĂ© offert ! Jâai trouvĂ© ça trĂšs sympa ! đ RĂ©confortant ! ça nous a rĂ©chauffĂ©s ! đ Nous avons ensuite pris des cocktails et ce fut la premiĂšre fois que jâen prenais pour ma part ! Ben sâest laissĂ© tenter par un virgin Mojito Ă la mandarine ! Ă©tonnant dâentendre cette saveur pour un mojito ! Et pour moi un mojito au fruit de la passion Avec alcool bien sur ! Pocharde que je suis ! haha ! Et lâheure des choses sĂ©rieuses est arrivĂ©e⊠La commande du plat ! đ Ben a testĂ© leur fish and chips du jour.. aux gambas ! Des gambas gĂ©nĂ©reuses ! ça avait lâair bien bon ! đź Et pour ma part le burger du jour ! le GĂ©rard Jugnot en rĂ©fĂ©rence aux BronzĂ©s font du ski avec un burger esprit montagne composĂ© de Steak hachĂ© de bĆuf gĂ©nĂ©reux, galette de pomme de terre faite maison, lard fumĂ©, saucisse dĂ©taillĂ©e en petit morceaux, fromage Ă raclette et compotĂ©e dâoignons⊠UNE TUERIE !!! Avec son bun par dessus câĂ©tait impossible de le manger Ă la main, trop gros pour ma bouche ! xD Jâessayais de rester concentrĂ©e sur les paroles de Ben mais jâavoue que je mâenvolais de bonheur Ă chaque bouchĂ©e ! Ce fut mon burger prĂ©fĂ©rĂ© du Bar Bu ! đ Il me semble que le pain Ă changĂ© ! Il semblait un peu plus compacte Ă la consistance comme un pain viennois ! CâĂ©tait booooon ! đ A la fin du plat jâĂ©tais dĂ©jĂ repue ! Mais quand deux gourmands se rencontrent, dur de dire non au dessert ! đ Surtout quand jâai appris quâil y avait un nouveau dessert lâapple pie au speculoos ! Les pommes Ă©taient fondantes et au gout fort de cannelle, surmontĂ©es de lamelles de pommes crues. Mais le crumble de Speculoos en dessous Ă©tait un pu trop simplet et pas assez gourmand Ă mon goĂ»t. Je mâattendais Ă une vraie pĂąte Ă la saveur Speculoos, lĂ il me semblait que câĂ©tait simplement des Speculoos Ă©miettĂ©s surmontĂ©s de compotĂ©e de pomme Ă la cannelle. Pas mauvais mais pas exceptionnel ! Mais câest pas grave⊠Le GĂ©rard Jugnot » englouti juste avant mâas vite fait oublier ce dessert moins apprĂ©ciĂ© ! đ Encore merci Ă lâĂ©quipe toujours sympa et Ă trĂšs bientĂŽt ! đ Le Bar Bu â Restaurant Burger â Marseille 8 Rue EuthymĂšnes, 13001 Marseille Ouverture Du Lundi au Dimanche de 11h00 Ă 02h00 TĂ©lĂ©phone 06 72 95 26 56 â 04 88 64 44 37 Page Facebook Site Internet
Lemojito câest vraiment trop bon si je te trompe avec me prend pas pour un con 10 Jan 2022
Il y a quelques jours ma belle sĆur mâa parlĂ© dâun nouveau glacier rockân roll SĂšve tu devrais vraiment y aller, câest top, les filles sont cool, la dĂ©co te plaira bien et les glaces sont Ă tomber⊠» Stop ne mâen dit pas plus⊠Enfin si, il me faut lâadresse, le nom et dĂšs demain, jây cours ! » Le lendemain me voilĂ donc en route vers le Cooky Woogy, au 12 rue Alexandre Fourtanier, juste derriĂšre la place St-Georges Ă Toulouse bien sur. Au Cooky Woogy, il y a de bons cookies mais câest avant tout un glacier â salon de thĂ© ouvert il y a tout juste un mois dans le centre ville. Pour vous accueillir deux petites nenettes, ClĂ©lia et MaĂ©, qui sont aux petits soins. Il faisait trĂšs chaud le jour oĂč jây suis allĂ©e du coup la glace sâimposait ! Jâai pris dans une coupe yaourt et sorbet framboise, deux parfums qui se marient Ă merveille. La chantilly jâadore ça est faite maison. Les filles peuvent mĂȘme vous faire des ĂNORMES glaces avec de la chantilly, des bonbons, des fruits⊠SpĂ©cial gourmands, diabĂ©tiques sâabstenir. Elles mâont fait goĂ»tĂ© presque tous leurs parfums et franchement je ne sais pas dire lequel jâai prĂ©fĂ©rĂ©. La framboise, le caramel au beurre salĂ©, la violette, lâorĂ©o, miam !! g Mais il y a aussi le yaourt, le chocolat, la moutarde Ă lâancienne. Moutarde Ă lâancienne ??? Oui Moutarde Ă lâancienne, vous avez bien lu !!! Et ça dĂ©chire !!! Les filles mettent les glaces et sorbets salĂ©s tomates basilic â poivron dans les plats du midi. Parce quâici, le midi, câest plateau de charcuterie Corse, la classe !! Au total il y a 48 parfums de glaces Ă©laborĂ©s par le meilleur ouvrier de France Pierre Geronimi. Question dĂ©co câest rockân roll, rouge et noir comme leur logo dans lâesprit Tim Burton Charlie et la chocolaterie » et trĂšs rockabilly. Des fauteuils rouges, des tableaux dâartistes exposĂ©s sur le mur, de la bonne musique rockân roll Ă©videment. Et puis quand vient le soir, je vous suggĂšre un bon Mojito fait avec du sorbet Mojito trop bon ou une Piña Colada avec son sorbet Coco-Ananas. Jâai testĂ© le Mojito, câest divin !! f Et hop la boule de glace dans le Mjito !!! Câest joli, hein ? Avec sa petite fleur et son parfum des Ăźles, je me croirais presque en vacances ! Contrairement Ă la place St-Georges oĂč on attend une heure avant de pouvoir sâasseoir et quand, ENFIN, une table se libĂšre, on sâassoit comme on le peut, sans gĂȘner la dame dâĂ cĂŽtĂ©, sans marcher sur son sac ou ses pieds⊠Je ne sais pas vous mais moi ça mâĂ©nerve. 1 Et une fois assise, je nâentend pas la personne avec qui je suis, car câest le brouhaha, jâattends encore un bon moment avant que le serveur vienne prendre notre commande. Et puis je sent la bonne odeur de transpiration des gens aux tables voisines. Lâhorreur !!n l f Chez Cooky Woogy, câest no stress, chĂ©ri !! Ce que jâai particuliĂšrement apprĂ©ciĂ©, câest le calme de cette petite rue juste Ă deux pas de la cohue, le soleil, la musique et le fait de respirer sans avoir lâimpression quâon me pique mon air ! j Cooky Woogy est un glacier mais aussi un salon de thĂ©. Vous pourrez boire un thĂ© chaud ou un thĂ© glacĂ©, de trĂšs bons jus de fruits, citronnades...Et des limonades italiennes Pinâup trop belles, nâest ce pas ?. Et puis Chez Cooky, y a des Cookies !!! Aaaaah, bin normal quoi, vu le nom !! ThĂ© Alveus, CafĂ© Nespresso, Jus de fruits Alain Millat, Limonade Abondio, Citronade Bella Lula, Cookies Moustache.Et voilĂ les deux starlettes, MaĂ© et ClĂ©lia sur mon Mojito !! Je vous rassure elles ne piquent pas les Mojitos de tout le monde Les filles organisent des expositions, des Ă©vĂšnement, vide-dressing⊠A lâintĂ©rieur il y a un coin crĂ©ateur et une bibliothĂšque. Pour plus dâinformations nâhĂ©sitez pas Ă aller faire un tour sur le Facebook Cooky Woogy â Je vous redonne lâadresse Cooky Woogy 12 rue Alexandre Fourtanier 31000 Toulouse â Allez moi je vous laisse, si vous allez chez Cooky Woogy faĂźtes une bise ou deux de ma part aux filles et nâhĂ©sitez pas Ă me laisser un message. Nâoubliez pas que vous pouvez aussi me suivre sur les rĂ©seaux sociaux et mĂȘme voter pour que SĂšve & DĂ©co soit Ă©lu blog du mois Marie-Claire IdĂ©es.
XZl1w3. d3etmu3xpj.pages.dev/242d3etmu3xpj.pages.dev/911d3etmu3xpj.pages.dev/474d3etmu3xpj.pages.dev/229d3etmu3xpj.pages.dev/623d3etmu3xpj.pages.dev/513d3etmu3xpj.pages.dev/501d3etmu3xpj.pages.dev/617d3etmu3xpj.pages.dev/513d3etmu3xpj.pages.dev/129d3etmu3xpj.pages.dev/325d3etmu3xpj.pages.dev/233d3etmu3xpj.pages.dev/652d3etmu3xpj.pages.dev/794d3etmu3xpj.pages.dev/822
le mojito c est vraiment trop bon parole